Malgré toutes les garanties données par le ministre de l’Intérieur en personne, les plages continuent à être sous la domination des gangs de jeunes, qui vendent, louent et font commerce lucratif de parasols, tables et chaises.
Non seulement, ils louent très cher, mais ils coupent la plage en deux, et évidemment, ils squattent les meilleurs espaces, tant et si bien que les familles tranquilles et les papas-gâteaux ne trouvent de solution que d’aller louer leurs services. Autrement dit, il y a la loi, mais il y a aussi son double. Bédoui aura jusqu’à la fin du mois d’août pour démontrer que la loi est unique, qu’elle est au-dessus de tous.
I. M. A.