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Baisse de 26% du nombre de décès dus au Covid dans le monde

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Près de 2,6 millions de personnes ont contracté le Covid-19 dans le monde entre le 17 avril et le 14 mai, et plus de 17.000 personnes en sont mortes, le nombre de décès a diminué de 26% par rapport aux 28 jours précédents et le nombre d’infections a baissé de 14%, a déclaré jeudi l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon un bulletin d’information de l’OMS, il y a eu 2.592.575 cas et 17.106 décès en quatre semaines dans le monde. C’est la Corée du Sud qui a recensé le plus grand nombre de cas au cours de cette période (418.960). Viennent ensuite les Etats-Unis (355.376), le Japon (229.877), l’Inde (162.559) et le Brésil (153.829). Les Etats-Unis ont recensé le plus grand nombre de décès entre le 17 avril et le 14 mai (5.333), suivis du Brésil (1.305), de la France (925), de la Russie (882) et de l’Inde (656). Le bulletin montre une augmentation des contaminations recensées en 28 jours par rapport aux quatre semaines précédentes en Asie du Sud-Est (+52%) et dans la région du Pacifique occidental (+47%). Les autres régions ont recensé une diminution ou une stabilisation. Selon l’OMS, le nombre de cas rap portés ne reflète pas l’incidence mondiale totale « en raison du déclin des tests [de dépistage du Covid] dans le monde et des retards potentiels dans les informations communiquées ». Le 11 mars 2020, l’OMS a qualifié la flambée de Covid-19 de pandémie. Selon les chiffres du 17 mai 2023 publiés sur le site internet de l’organisation, 766.440.796 cas ont été recensés dans le monde pour 6.932.591 décès. Le directeur général de l’OMS, Tedros Adanom Ghebreyesus, a déclaré lors d’une réunion d’information à Genève, le 5 mai, que le nombre réel de décès était d’au moins 20 millions.

Aïn Témouchent : saisie de plus de 8 kilos de kif traité et arrestation de quatre individus
Les éléments de la brigade de lutte contre les stupéfiants, relevant du service de wilaya de la police judiciaire de la sûreté d’Aïn Témouchent, ont réussi à saisir 8,7 kilos de kif traité et l’arrestation de quatre individus, a-t-on appris, jeudi, de la sûreté de wilaya. L’opération est intervenue suite à l’exploitation d’informations, faisant état de l’existence d’un réseau criminel organisé spécialisé dans le trafic de stupéfiants, activant dans la région ouest du pays et faisant de la wilaya d’Aïn Témouchent un endroit pour le trafic de drogue, a indiqué la même source, ajoutant que les investigations enclenchées par la brigade de lutte contre le trafic des stupéfiants ont conduit à l’identification des suspects et le lieu de leur activité criminelle. La surveillance des activités des suspects s’est soldée par l’arrestation de quatre individus, âgés entre 38 et 52 ans, impliqués dans cette affaire et la saisie de 8,7 kilos de kif traité, que le réseau s’apprêtait sur le territoire de la wilaya, selon la même source. L’opération s’est également soldée par la saisie de de ux véhicules de tourisme, qui étaient utilisés dans le transport des stupéfiants, ainsi qu’une somme de 13.000 dinars, a-t-on ajouté. Les quatre suspects ont été présentés devant les instances judiciaires compétentes à Aïn Témouchent, qui ont ordonné de les placer en détention provisoire, a indiqué la cellule de communication et des relations publiques.

Démantèlement de plusieurs réseaux de trafic de psychotropes à Oran
Les services de police d’Oran ont réussi à démanteler plusieurs réseaux criminels spécialisés dans le trafic de stupéfiants, avec la saisie de plus 7.300 comprimés de psychotropes, a-t-on appris jeudi de ce corps de sécurité. Ces opérations sont intervenues cette semaine suite à l’exploitation d’informations parvenues aux différents services, notamment les brigades de lutte contre la criminalité, de recherche et d’intervention et la première et cinquième sûretés urbaines, faisant état de l’existence des réseaux activant dans le trafic de psychotropes, a indiqué la cellule de communication et des relations publiques de la Direction de sûreté de wilaya. Cette opération s’est soldée par l’arrestation de 18 individus, âgés entre 20 et 35 ans, dont des repris de justice, ainsi que la saisie de 7.375 comprimés de psychotropes, ainsi que deux véhicules et une moto utilisés dans le transport et le trafic de stupéfiants, en plus d’un lot d’armes blanches prohibées et une somme de 570.000 dinars provenant des revenus du trafic, a-t-on indiqué. Toutes les procédures légales ont été prises à l’encontre des suspects, qui ont été présentés devant les instances judiciaires compétentes sous l’accusation de formation d’associations de malfaiteurs et trafic de psychotropes, selon la même source.

Un milliard de personnes exposées au choléra
Un milliard de personnes dans 43 pays sont exposées au choléra, a averti hier l’ONU, et bien que les moyens de stopper « cette pandémie des pauvres » soient bien connus, les ressources manquent désespérément pour les mettre en oeuvre. « Il y a une pandémie qui tue les pauvres devant nos yeux et nous savons exactement comment l’arrêter mais nous avons besoin de plus de soutien et de moins d’inertie de la part de la communauté mondiale, car si nous n’agissons pas maintenant, cela va empirer », a alerté Jérôme Pfaffmann Zambruni, chef de l’unité des urgences de santé publique de l’UNICEF, lors d’une conférence de presse à Genève. « L’OMS estime qu’un milliard de personnes dans 43 pays sont exposées au risque de choléra », a souligné son collègue Henry Gray, un des responsables de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en charge de lutter contre le fléau, qui se répand comme une traînée de poudre en l’absence de conditions sanitaires adéquates et de manque d’eau potable. Le choléra provoque des diarrhées et des vomissements et peut être particulièrement dangereux pour les jeunes enfants.
L’ONU a besoin de 640 millions de dollars pour lut ter contre la maladie infectieuse, mais a déclaré que plus on attend pour augmenter les moyens de lutte, plus la situation s’aggravera. Selon l’OMS, les campagnes de vaccination ont été gravement entravées. Jusqu’à présent cette année, 24 pays ont signalé des épidémies de choléra, contre 15 à la mi-mai l’année dernière. Des pays qui ne sont généralement pas touchés sont désormais victimes du vibrion cholérique et le taux de mortalité dépasse de loin celui habituellement constaté de 1%.
Au total, l’OMS et l’UNICEF, qui travaillent en étroite coordination pour combattre la bactérie ont besoin respectivement de 160 et 480 millions de dollars au cours des 12 prochains mois pour intervenir dans plus de 40 pays.

Véhicules électriques : BMW va investir 1,3 milliard de dollars en Chine
Le constructeur allemand BMW a annoncé jeudi un investissement de 1,3 milliard d’euros pour produire en Chine sa future gamme de voitures électriques et les batteries associées à partir de 2026. « L’intégration de la Neue Klasse dans notre production en Chine est liée à la mise en place d’une ligne d’assemblage de batteries haute tension pour la prochaine, puis la sixième génération de batteries et contribuera de manière significative à la poursuite de l’électrification de notre portefeuille et donc au succès de notre entreprise », a déclaré dans un communiqué Milan Nedeljkovic, membre du conseil d’administration de BMW et responsable de la production à Shenyang, en Chine.
Son usine chinoise permet une production locale des véhicules destinés à la Chine, son marché principal. Comme pour ses concurrents allemands, la Chine est également le premier marché de véhicules électriques au monde pour BMW. Mais sur ce segment, BMW représentait en 2022 moins d’1% des parts de marché en Chine, loin derrière Tesla (7,8%) et le chinois BYD (16%).
Le groupe espère néanmoins que les vente s de véhicules électriques représenteront la moitié de ses livraisons mondiales d’ici 2030.

Sept morts et 452 blessés sur les routes en une semaine
Sept (7) personnes ont trouvé la mort et 452 autres ont été blessées dans 386 accidents de la circulation survenus au cours de cette semaine en zones urbaines, a indiqué jeudi un bilan des services de la Sûreté nationale. Comparativement aux statistiques de la semaine précédente, le bilan fait état d’une baisse du nombre des accidents (- 4), et de ceux des blessés (- 20) et des décès (- 5) cas. Le facteur humain demeure la principale cause de ces accidents (+96%), notamment en raison du non-respect du code de la route et de la distance de sécurité, de l’excès de vitesse, de la fatigue et du manque de concentration au volant, outre l’état du véhicule, ajoute la même source.

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