Accueil L'EXPRESS Saisie de plus de 11.000 comprimés psychotropes à Biskra

Saisie de plus de 11.000 comprimés psychotropes à Biskra

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La brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de la commune d’Ourlale dans la wilaya de Biskra a saisi plus de 11.000 comprimés psychotropes et arrêté un individu présumé impliqué dans l’affaire, a-t-on appris samedi dernier auprès du Groupement territorial de ce corps constitué. Agissant sur la base de renseignements dénonçant une tentative de faire passer une quantité de psychotropes vers les wilayas du Nord du pays via la route nationale RN3 dans son tronçon reliant les wilayas de Biskra et M’ghair, il a été procédé à l’intensification des opérations de contrôle soldées par la découverte de la quantité des psychotropes au cours d’une fouille dans un bus de transport de voyageurs, a précisé la même source à l’APS. En plus de la saisie de 11.550 comprimés psychotropes, les éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté un suspect impliqué dans le trafic et contrebande de produits pharmaceutiques de manière illégale, selon la même source sécuritaire. Un dossier pénal est en cours d’élaboration dans cette affaire en attendant son transfert vers les instances judiciaires compétentes, a-t-on souligné.

Turquie : plus de 1 000 migrants secourus en une semaine
Les garde-côtes turcs ont secouru 1.074 migrants irréguliers en une semaine, ont rapporté samedi des médias. Le commandement des garde-côtes a déclaré samedi dans un communiqué que « 1.074 migrants avaient été secourus lors de 26 opérations, entre le 2 et le 8 septembre », rapporte l’agence de presse turque Anadolu. Le commandement a également affirmé l’arrestation de deux personnes soupçonnées d’être impliquées dans le trafic de migrants.

Tunisie : 11 corps de migrants repêchés après le naufrage d’une embarcation
Le nombre de corps de migrants repêchés suite au naufrage d’une embarcation au large de Chebba en Tunisie, dans la nuit de mardi à mercredi, est porté à 11, ont indiqué les unités de la Garde maritime tunisienne aux médias locaux. « Le nombre de corps de migrants repêchés après le naufrage d’une embarcation au large de Chebba est porté à 11, après avoir retrouvé samedi soir 5 autres cadavres lors des opérations de recherche », a indiqué une source de la Garde nationale maritime à l’agence de presse tunisienne TAP, rappelant que 6 autres corps ont été repêchés auparavant. D’après la même source, 12 autres seraient encore disparus étant donné que l’embarcation comptait environ 37 personnes, toutes de nationalité tunisienne, selon les investigations ordonnées par le ministère public.

Un site du nord de la Suisse choisi pour le stockage des déchets nucléaires
Un site du nord de la Suisse, non loin de la frontière allemande, a été choisi pour le stockage de ses déchets radioactifs, qui seront profondément enfouis dans le sol, ont annoncé samedi les autorités helvétiques. Après avoir cherché pendant près de 50 ans le meilleur moyen de les entreposer, ce pays se prépare à son « projet du siècle », consistant à disposer le combustible nucléaire usé « en couches géologiques profondes » dans de l’argile. La région des Lagern qui a finalement été retenue à l’issue d' »enquêtes approfondies » pour ce dépôt était le « plus sûr » des trois sites qu’elle avait envisagés -les deux autres se trouvaient dans le Weinland zurichois et dans le Jura Est en Argovie -, a déclaré à l’AFP Felix Glauser, le porte-parole de la Coopérative nationale pour le stockage des déchets radioactifs (Nagra). La Nagra a directement informé la population locale et devrait présenter lundi sa proposition au gouvernement suisse, selon l’agence de presse suisse Keystone-ATS. Ce dernier ne devrait toutefois pas prendre de décision définitive à ce sujet avant 2029 et il est peu probable qu’il ait le dernier mot, car la question sera probablement soumise à un référendum dans le cadre du système suisse de démocratie directe, après avoir été discutée au Parlement fédéral. Les centrales nucléaires suisses produisent des déchets radioactifs depuis plus d’un demi-siècle. Mais après la catastrophe de 2011 à la centrale japonaise de Fukushima, la Suisse a décidé de progressivement sortir du nucléaire, ses réacteurs pouvant continuer à fonctionner tant qu’ils restent sûrs. Pour l’instant, les déchets sont stockés dans un « dépôt intermédiaire » à Wurenlingen, à une quinzaine de kilomètres de la frontière allemande.

Des documents confidentiels de l’OTAN en vente sur le Darknet au Portugal
Les autorités portugaises ont été prévenues par les Etats-Unis que des documents classifiés de l’OTAN, qui leur avaient été transmis, étaient en vente sur la toile. La faille proviendrait de négligences de plusieurs services de sécurité du pays. Branle-bas de combat à Lisbonne. Le Bureau de la sécurité nationale (GNS) portugais ainsi que le contre-espionnage (SIS) et le renseignement extérieur (SIED) sont sur les dents. Depuis le mois d’août, leurs agents passent au peigne fin l’intégralité du réseau de communication interne de la Défense du pays. La raison d’une telle agitation ? Des centaines de documents classifiés, qui leur avaient été communiqués par l’OTAN, se sont retrouvés en vente sur le Darknet, a ainsi révélé le Diario de Noticias. Là où le bât blesse, c’est que non seulement ce sont les services américains qui ont découvert ces fuites, mais qu’en prime elles proviendraient de négligences au sein des agences de sécurité portugaises. En effet, les ordinateurs infectés auraient été identifiés «principalement» au sein de l’Etat-major général des forces armées portugaises (EMGFA), ainsi qu’au sein de son propre renseignement militaire (CISMIL), mais encore à la Direction générale des ressources de la défense nationale (DGRDN). Or, ces institutions «disposent de connexions sécurisées – le Système intégré de communications militaires (SICOM) – pour recevoir et transmettre des documents classifiés, mais ont utilisé des lignes non sécurisées», relatent des sources du quotidien portugais au sein de la Défense. C’est ainsi que les documents top-secret de l’Alliance confiés au Portugal ont été exfiltrés vers le Darknet par des bots, durant un temps indéterminé. «Il s’agissait d’une cyberattaque prolongée dans le temps et indétectable», précisent ces mêmes sources. Leur véritable ampleur n’a pas encore pu être évaluée.

Gaz : La zone euro risque une récession en 2023
La zone euro s’expose à une «récession» pour l’année 2023 en cas de «coupure totale» des livraisons de gaz russe, a prévenu lors d’une conférence de presse la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde. Au cours d’une conférence de presse le 8 septembre, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, a mis en garde l’Union européenne.
Un «scénario pessimiste» de prévisions élaboré par l’institution monétaire, «incluant une coupure totale des livraisons de gaz russe [anticipe] une récession pour 2023» pour la zone euro, a-t-elle expliqué. «Nous y sommes presque [après la fermeture du gazoduc Nord Stream]», a-t-elle ajouté. Les membres de l’UE, très dépendants du gaz russe, accusent régulièrement Moscou de se servir du gaz comme d’un moyen de pression, en réduisant à plusieurs reprises les livraisons de gaz vers l’Ouest. De son côté, la Russie fait valoir que les incidents de livraison sont le fait des sanctions occidentales.

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