Accueil ACTUALITÉ LE FFS : « L’Algérie doit garantir pleinement son indépendance économique »

LE FFS : « L’Algérie doit garantir pleinement son indépendance économique »

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Le Front des forces socialistes a annoncé que son 6ème congrès ordinaire sera tenu les journées des 29, 30 septembre et 1er octobre 2022.
En effet, dans un communiqué de presse rendu public hier par l’instance présidentielle du parti signé par le membre de l’Instance présidentielle, Hakim Belahcel, le vieux parti de l’opposition a indiqué « … Dans le prolongement de la décision de la convocation du 6ème congrès ordinaire le 22 mars 2021, l’Instance Présidentielle, conformément à ses prérogatives statutaires et réglementaires fixe la date du 6e Congrès Ordinaire du parti pour les journées des 29, 30 septembre et 1er octobre 2022 », ajoutant que cette décision, motivée par les engagements pris par l’IP lors du dernier congrès extraordinaire et à la demande pressante de nos militants, intervient après la mise en place de la Commission de préparation du congrès et tout le dispositif organisationnel.
Par ailleurs, la même source a évoqué dans son communiqué « le combat démocratique et pacifique du parti pour le libre exercice de l’autodétermination du peuple algérien », considérant dans ce sillage que « face aux multiples bouleversements que connaît le monde actuel, il devient impératif et urgent de démocratiser les institutions, pour s’assurer l’adhésion du peuple algérien, préserver la souveraineté nationale et garantir pleinement son indépendance économique ». « Il est temps de donner du mouvement au statut quo. Le FFS reste résolument engagé à promouvoir les efforts politiques, pacifiques et patriotiques pour sauver notre Nation d’un effondrement que l’on sait inévitable si rien ne change ».
Dans ce cadre le parti du défunt Hocine Ait Ahmed a affirmé son attachement à l’ouverture d’un dialogue inclusif « nous ne cesserons jamais de le répéter : l’instauration d’un climat d’apaisement général est nécessaire à l’ouverture d’un dialogue de toutes les parties représentatives de la société civile et politique, pour convenir d’un programme consensuel de sortie de crise sur le plan politique, économique et sociale. Les mesures d’apaisement concernent aussi bien la libération de tous les détenus politiques et d’opinion que la levée des entraves à l’exercice politique, journalistique et syndical », conclut le FFS.
Sarah O.

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