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Fin des essais cliniques du vaccin russe contre le Covid-19

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Les essais cliniques du deuxième vaccin russe contre le Covid-19, baptisé EpiVacCorona et développé par le Centre national de recherche en virologie et biotechnologie Vektor,
se sont achevés, a annoncé, hier, Rospotrebnadzor. Dans un entretien accordé à la chaîne russe NTV, la responsable du Service des droits des consommateurs et du bien-être humain Rospotrebnadzor, Anna Popova, a déclaré que les essais cliniques du vaccin conçu par le Centre national de recherche en virologie et biotechnologie Vektor avaient pris fin.«Vektor a terminé les essais cliniques littéralement aujourd’hui.» Mme Popova a également indiqué que tous les vaccins russes sont développés sur la base de plateformes différentes. «Ce qui est très bien, parce que ces vaccins avec des moyens d’influences sur l’organisme un peu différents» vont permettre de les produire sur des «sites technologiques complètement différents», a-t-elle dit. Et d’ajouter: «Nous ne serons pas limités dans la quantité que nous pouvons produire.» Le Centre national russe de recherche en virologie et biotechnologie Vektor a lancé le 27 juillet les essais cliniques du vaccin contre le coronavirus EpiVacCorona. Au moins 300 volontaires âgés de 18 à 60 ans, dont 60 employés du centre, y ont participé. Le 17 septembre, Rospotrebnadzor a annoncé que la phase 1 des essais cliniques avait prouvé la parfaite sécurité du vaccin. Quant à son efficacité, elle sera testée sur 3.000 volontaires. Le 22 septembre dernier, Rospotrebnadzor a déclaré que l’enregistrement de ce vaccin serait achevé vers le 15 octobre prochain.

L’OMS revoit ses prévisions Covid-19 pour l’Afrique
La transmission relativement faible du Covid-19 et le nombre assez peu élevé d’infections en Afrique, d’ailleurs en baisse au cours de ces deux derniers mois, tiennent à plusieurs facteurs socio-écologiques ainsi qu’à des mesures opportunes et énergiques prises par les différents gouvernements, selon un communiqué de l’OMS. Dans un communiqué publié jeudi dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a évoqué les facteurs sociaux et environnementaux grâce auxquels l’Afrique avait été relativement épargnée par la pandémie de coronavirus. Le document indique que depuis le 20 juillet, l’Afrique a connu une baisse soutenue des nouveaux cas de Covid-19. Au cours des quatre dernières semaines, 77 147 nouveaux cas ont été signalés, contre 131 647 pendant les quatre semaines précédentes. «La tendance à la baisse que nous avons observée en Afrique au cours des deux derniers mois est sans aucun doute une évolution positive et témoigne des mesures de santé publique énergiques et décisives prises par les gouvernements de toute la région», a déclaré la Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique. Elle a cependant rappelé la nécessité de rester vigilants car l’assouplissement des mesures sanitaires pourrait conduire à ce que les cas recommencent à prendre de l’ampleur, comme cela ressort des tendances similaires dans d’autres régions du monde. Parmi d’autres facteurs socio-écologiques l’OMS cite la faible densité et la mobilité de la population, le climat chaud et humide. «L’Afrique n’a pas connu une propagation exponentielle du Covid-19 comme beaucoup le craignaient au départ. Mais la propagation plus lente de l’infection dans la région signifie que nous nous attendons à ce que la pandémie continue à couver pendant un certain temps, avec des flambées occasionnelles», a déclaré Mme Moeti.

BNP Paribas visée par une enquête
Accusée de «complicité de crimes contre l’humanité» au Soudan, la banque française BNP Paribas est désormais visée par une enquête en France.
Des ONG ont obtenu en août cet été l’ouverture d’une enquête en France visant la banque française BNP Paribas, accusée de «complicité de crimes contre l’humanité» au Soudan, avait annoncé jeudi dernier, la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH) sur Twitter. Cette information judiciaire a été ouverte le 26 août au tribunal de Paris pour «complicité de crimes contre l’humanité, de génocide et d’actes de torture et de barbarie», près d’un an après le dépôt d’une plainte avec constitution de partie civile par la FIDH, la Ligue des droits de l’Homme (LDH) et neuf militants soudanais ayant fui leur pays, a confirmé à l’AFP une source judiciaire. La plainte avec constitution de partie civile entraîne quasi-automatiquement la désignation d’un juge d’instruction pour mener les investigations. La première banque européenne, déjà visée par une enquête pour complicité de crimes contre l’humanité lors du génocide au Rwanda, est accusée par les plaignants de ne pas avoir respecté l’embargo contre le régime d’Omar el-Béchir, destitué en 2019.
Elle s’est ainsi selon eux rendue complice de crimes commis entre 2002 et 2008, en particulier au Darfour, région meurtrie depuis par une guerre civile qui a fait plus de 300 000 morts, selon l’Onu.

Disney annonce la suppression de 28 000 emplois
Le géant des divertissements Disney a annoncé la suppression aux États-Unis de 28 000 emplois, au sein de son activité qui comprend les parcs d’attraction, les croisières, l’événementiel et les produits dérivés, touchée de plein fouet par la crise sanitaire. La décision vient de « l’impact prolongé du Covid-19 sur nos affaires, y compris les réductions de capacité sur les sites, en lien avec la distanciation physique, et les incertitudes sur la durée de la pandémie », a expliqué le groupe dans un communiqué. D’avril à juin, le chiffre d’affaires de cette activité avait plongé de 85% sur un an, à 983 millions de dollars

Une parisienne découvre 500 000 euros en liquide
L’héritière d’un appartement à Paris a trouvé sa cave fermée au cadenas, avant d’y découvrir une valise contenant plus de 500 000 euros en liquide. La police recherche ses propriétaires, la piste du blanchiment d’argent est évoquée. Une Parisienne de 55 ans a appelé la police le 28 septembre car elle avait découvert dans sa cave une valise remplie de coupures, relate Le Parisien. La quinquagénaire a hérité de sa mère un appartement dans un immeuble du VIIe arrondissement. La propriété comporte une cave attenante à l’appartement. La femme a cependant découvert que celle-ci était fermée au cadenas. Elle a alors collé dans le hall de l’immeuble un message demandant au «locataire indélicat» de se manifester.
Un mois après personne n’avait répondu. Elle a alors invité un serrurier et un diagnostiqueur chargé par une agence immobilière. Celui-ci est tombé sur une valise bourrée de coupures de 100, 50 et 10 euros, constituant au total une somme de plus de 500.000 euros. Un officier de la police judiciaire a ensuite ramené la valise au commissariat. Le parquet a confié l’enquête à la Brigade de recherches et d’investigations financières (BRIF), spécialisée dans le blanchiment d’argent. Ses enquêteurs examineront la valise pour retrouver ceux qui l’ont cachée.

Le Kremlin répond à Joe Biden
Commentant l’expression «caniche de Poutine» lancée par Joe Biden à Donald Trump lors du premier débat, pour la présidence américaine, le porte-parole du Kremlin a indiqué que Moscou observait et a attesté de nouvelles manifestations de «culture politique» aux États-Unis. «Il est le caniche de Poutine. Il refuse de dire quoi que ce soit à propos des primes pour tuer des soldats américains», a lancé l’ancien vice-Président de Barack Obama lors du premier débat avec le Président sortant Donald Trump qui a duré 96 minutes et a été marqué par des interruptions incessantes, accusations de mensonges et langage grossier. Commentant cette phrase, le porte-parole du Kremlin a constaté qu’il s’agissait de nouvelles manifestations de «culture politique» américaine. «Nous, comme chacun dans le monde, surveillons le déroulement de la campagne électorale aux États-Unis. Nous ne pouvons pas rester indifférents, car c’est l’une des plus grandes économies du monde. Bien sûr, nous enregistrons de nouvelles manifestations de culture politique, de culture électorale aux États-Unis», a-t-il déclaré aux journalistes, hier.

Mis aux poings
« Les aides humanitaires envoyées par l’Algérie au Niger suite aux dernières inondations qui ont frappé ce pays, causant des pertes humaines et matérielles, constituaient un devoir humanitaire envers l’État du Niger ». Ammar Belhimer, ministre de la Comuminication, porte-parole du gouvernement

C’est inné chez les Algériens que d’aider autrui

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