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MISE EN SERVICE DE LA NOUVELLE AÉROGARE D’ALGER : Une affaire de «quelques semaines», annonce Zaâlane

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Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaâlane, a déclaré, hier, que « la nouvelle Aérogare internationale, Houari Boumediène, rentrera en service « dans les prochaines semaines », sans avancer une date précise, alors que ce Mega Projet, devait être en service selon les déclarations du ministre, avant la fin de l’année dernière. Effectuant sa tournée, hier, la deuxième en une semaine, qui l’amène à inspecter la nouvelle Aérogare internationale « Houari Boumediène, le ministre n’a pas avancé une date précise, quant à l’entrée effective, en service du nouvel Aéroport international d’Alger, alors que tout le monde l’attendait, sur ce point. Dimanche dernier, sa visite d’inspection à la nouvelle Aérogare internationale Houari Boumediène, s’inscrivait dans le cadre du suivi périodique des grands projets de son secteur, selon un communiqué de son ministère, lors de laquelle, il s’est penché, sur l’état des lieux de la réalisation de la nouvelle Aérogare international d’Alger, dont les dernières retouches semblent avoir fortement retardé son ouverture, annoncée, pour fin 2018. Il est à noter que le secteur du transport a bénéficié, dans le cadre de la LF 2019, d’une enveloppe de plus de 250 milliards de dinars algériens, destinés à la réévaluation du programme sectoriel en cours de réalisation, soit près de 90% du budget d’équipement consacré à ce secteur. Aussi il s’agit, d’une enveloppe de 250,177 milliards de DA du budget d’équipement qui a été consacrée à la réévaluation du programme sectoriel en cours de réalisation, tandis qu’un montant de 29,26 milliards de DA a été alloué à la réalisation du nouveau programme. Novembre dernier, le ministre a informé les membres de la commission de la finalisation des travaux de réalisation et d’extension du métro d’Alger, El Harrach-Aéroport international de 9,5 km linéaire. Autre problème qui a surgi dans le secteur de Zaâlane, la situation dans laquelle se trouvent les travailleurs du groupement algéro-turc Ozgun-Nurol-Engoa, chargé du projet de la pénétrante autoroutière Tizi-Ouzou-Bouira, au nord-ouest de Bouira, « en grève depuis le 30 décembre dernier, à cause des licenciements et des retards accumulés dans le non versement de leurs salaires » selon les employés. Ces derniers affirment que l’administration « les a obligés à prendre un congé sans solde de 45 jours, et n’a gardé que cinq travailleurs » sur plus de 80 exerçant sur le chantier du tronçon de Aomar» et la réception de l’infrastructure, qui était programmée, pour mars 2017, a été reportée au même mois de l’année 2020.
Lilia Sahed

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