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Il n’a assisté qu’à 2 des 6 derniers matchs de l’équipe nationale : Zetchi boude-t-il Madjer ?

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Ce n’est un secret pour personne. Depuis sa nomination à la tête du staff technique national, l’entraîneur Rabah Madjer ne cesse de faire l’objet de critiques les plus acerbes. C’est que l’ancienne star du football national n’est jamais parvenue à convaincre de par la manière de jouer des Verts et leurs résultats, sans oublier ses choix de joueurs très souvent contestés.

A présent, que d’interrogations surgissent à propos de la réelle position du président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, au sujet de l’avenir de Madjer aux commandes techniques du ‘’Club Algérie’’. Des interrogations devenant de plus en plus persistantes, notamment depuis le départ de l’ex-ministre de la jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, auquel on impute justement la responsabilité de l’engagement de Madjer en tant que sélectionneur national, sachant que l’homme est resté loin des terrains depuis plus de dix années.Il faut dire que Zetchi avait déjà critiqué à sa manière le successeur de l’Espagnol, Lucas Alcaraz, à l’issue du précédent match amical perdu contre l’Iran. Ce jour-là, le président de la FAF avait affirmé que le coach national était censé revoir certaines choses au sein de la sélection.
Mais c’est surtout les absences à répétition de Zetchi des rencontres des Fennecs qui donnent libre court à différentes spéculations le donnant tout simplement pas tout à fait emballé à l’idée de préserver Madjer à la tête de la barre technique.
En chiffres, le fondateur du PAC n’a assisté qu’à deux rencontres de l’équipe nationale sur six jouées sous la houlette de Madjer. Voilà qui pourrait être perçu comme un signe qui ne trompe pas concernant les réelles intentions de l’homme fort du football algérien vis-à-vis de Madjer. Seulement, pour l’heure, Zetchi ne veut nullement s’empresser pour ne pas consommer son deuxième entraîneur national en l’espace d’une seule année, lui qui avait fait un très mauvais choix quelques semaines après son plébiscite à la tête de la FAF, en optant pour l’Espagnol Alcaraz, avant de lui montrer la porte de sortie au bout de six mois de travail seulement. Cette éviction, rappelle-t-on, cause actuellement à l’instance fédérale des tracasseries au niveau de la FIFA, la première structure footballistique mondiale, à laquelle a recouru Alcaraz pour réclamer des indemnités devant dépasser le million d’euros.
Hakim S.

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