Un individu âgé de 55 ans, qui vendait à ses victimes de fausses décisions de pré-affectation de logements sociaux, vient d’être arrêté par les services de police d’Oran, a appris l’APS vendredi de la cellule de communication de la sûreté de wilaya d’Oran. La même source précise que les services de la 22e sûreté urbaine de la sûreté de wilaya d’Oran ont réussi à mettre fin aux agissements d’un malfaiteur spécialisé dans l’escroquerie et le faux en écriture et usage de faux, notamment dans les documents officiels. L’arrestation de cet individu a été faite sur la base d’informations que les services de police ont reçu, indiquant que le mis en cause escroquait des citoyens en leur remettant de fausses décisions de pré-affectation de logements sociaux contre la somme de 400 000 dinars, ajoute la même source. L’individu en question a été surveillé de près par les policiers et une souricière lui a été tendue. Celle-ci s’est soldée par l’arrestation du mis en cause au volant de sa voiture, indique-t-on. Après la fouille du véhicule du suspect, les policiers ont découvert des documents administratifs et, poussant plus loin les investigations, ils ont effectué une perquisition au domicile du mis en cause qui a permis de mettre la main sur d’autres documents, notamment 20 décisions de pré-affectation de logements sociaux portant les noms de plusieurs personnes, 5 documents portant les sceaux de différentes administrations, 83 dossiers administratifs contenant des pièces d’identité et autre documents personnels de citoyens, 3 trousseaux de clés neufs sensés être celles de logements sociaux, 7 cachets humides, entre autres. Présenté devant le parquet, l’individu a été placé sous mandat de dépôt, en attendant de comparaitre devant la justice, indique-t-on de même source.
Récupération d’un véhicule volé à Mila
Les éléments de la police judiciaire relevant de la Sûreté de la wilaya de Mila ont récupéré, durant la semaine en cours, un véhicule touristique volé et arrêté deux suspects, a appris l’APS vendredi des services de Sûreté de la wilaya. « Suite à une plainte faisant état du vol d’un véhicule touristique, la nuit du 28 avril dernier, les éléments de la police judiciaire ont ouvert un enquête. Cette enquête a permis l’arrestation du suspect, âgé de 31 ans, qui a reconnu avoir volé le véhicule en utilisant une copie de la clé », a-t-on précisé de la même source. L’enquête a permis, en outre, de découvrir que la voiture était dans un garage de l’un des amis du suspect et qui a été également arrêté. Après l’achèvement des procédures judiciaires, les deux suspects ont été présentés devant le procureur de la République auprès du tribunal de Mila, qui a ordonné le placement en détention du suspect principal et la libération du deuxième suspect, précise la même source.
Test réussi pour la technologie de rentrée et de descente d’engins spatiaux plus lourds
La Chine a testé avec succès la technologie de rentrée et de descente de son nouveau programme spatial, ce qui rend possible l’atterrissage d’engins spatiaux plus lourds, a rapporté vendredi l’agence Chine nouvelle. Les méthodes actuelles d’atterrissage des engins spatiaux telles que l’atterrissage avec parachute et sur coussin d’air ne peuvent pas satisfaire les besoins de décélération des missions de rentrée d’engins spatiaux plus lourds, a indiqué la China Aerospace Science & Technology Corporation (CASC). La CASC a mené avec succès trois essais, y compris de techniques améliorées d’atterrissage en parachute et sur coussin d’air, ainsi que de la technologie de rentrée et de descente gonflable (IRDT). Elle a publié les résultats des tests sur son site Internet plus tôt cette semaine. Les parachutes améliorés se sont révélés fiables avec une puissante structure et des performances solides. Ils peuvent être utilisés pour ralentir un engin spatial lors de la phase initiale de rentrée atmosphérique. Selon les résultats des tests, la technologie améliorée d’atterrissage sur coussin d’air utilise des matériaux extrêmement robustes pour couvrir les engins spatiaux lors de l’atterrissage et est en mesure d’augmenter la capacité de décélération actuelle. L’IRDT est un système intégré foncièrement nouveau de décélération gonflable à isolation thermique que la CASC a déployé lors d’essais. La technologie sera utilisée dans l’exploration de l’espace lointain et lors du retour rapide des stations spatiales, des satellites scientifiques et du fret spatial, selon la CASC.
Cuba, l’un des seuls endroits au monde où les abeilles sont en bonne santé
A Cuba, où les pesticides ont disparu depuis le début des années 1990, les abeilles se portent bien. Le miel, de qualité biologique, est devenu le quatrième produit d’exportation après le poisson, le tabac et les boissons. Cette bonne santé des abeilles est liée à un milieu naturel préservé selon les apiculteurs. Comme sur l’île d’Ouessant, en Bretagne. Cuba est surtout connu pour sa production de cigares. Mais avec une production de 7 200 tonnes de miel biologique en 2014, d’une valeur d’environ 23,3 millions de dollars, selon les statistiques gouvernementales citées par la FAO, le miel est devenu le quatrième produit d’exportation. Certains apiculteurs annoncent une production de 45 kg de miel par ruche. Un résultat que la France peut envier.
Les rendements actuels dans l’Hexagone sont en moyenne moitié moins importants. Biologique, le miel l’est de fait. L’île n’utilise plus de pesticides car l’ex-URSS a cessé de lui en fournir depuis le début des années 90. Comme ils sont trop coûteux pour l’économie de l’île, l’agriculture est devenue essentiellement biologique. » C’est un environnement très naturel ici « , a observé Raul Vásquez, un employé de la ferme. Et il ajoute « Le gouvernement n’est pas autorisé à nous vendre des produits chimiques – ce pourrait être la raison pour laquelle les abeilles ne meurent pas ici comme dans d’autres endroits « . Le secteur apicole est encore minuscule comparé aux poids lourds du miel que sont la Chine, la Turquie et l’Argentine. Mais le miel vaut plus cher que le pétrole et les apiculteurs cubains croient en un avenir prospère.
Un incendie ravage une partie d’un établissement de maternité à el Oued
Un incendie s’est déclaré, vendredi, au niveau de l’établissement hospitalier public spécialisé Mère-Enfant Bachir Bennacer au centre ville d’El-Oued à cause d’une étincelle électrique dans une chambre, sans faire de victimes, a appris l’APS de sources médicales. L’incendie, qui s’est déclenché à 16h30, a touché le rez-de-chaussée et le premier étage provoquant une panique chez les malades et leurs accompagnants. ‘ »Le pavillon de la médecine et la chirurgie des nouveaux nés contenait neuf enfants sous contrôle médical et neuf femmes les accompagnant », a affirmé la direction de l’EHS. Le wali de la wilaya d’El-Oued, Abdelkader Bensad s’est déplacé sur les lieux pour s’enquérir de l’ampleur des dégâts occasionnés par cet incendie et des opérations de nettoyage pour la réhabilitation des pavillons endommagés. Il convient de souligner que les malades hospitalisés au niveau de cet établissement ont été transférés vers l’établissement public de santé Ben Omar El-Djilani de Chatt.
Le chewing-gum, allié contre le surpoids chez les hommes
Des scientifiques japonais ont affirmé hier que le chewing-gum semble être un allié contre le surpoids chez les hommes après 40 ans, en les incitant à marcher plus vite. « Combiner exercice physique et gomme à mâcher pourrait être une manière efficace de gérer son poids », ont écrit ces chercheurs dans la revue Journal of Physical Therapy Science. Leur étude a examiné « le rythme cardiaque, la distance parcourue, la vitesse de la marche, le nombre de pas et la dépense énergétique » chez 46 marcheurs japonais âgés de 21 à 69 ans. Ils devaient marcher à leur « rythme naturel » pendant 15 minutes sur une piste d’athlétisme. La moitié mâchait deux chewing-gums, et l’autre moitié avait ingéré les ingrédients de ces chewing-gums sous forme de poudre dissoute dans un verre d’eau. Le rythme cardiaque était globalement plus élevé chez ceux qui mâchaient du chewing-gum. Mais chez les hommes « d’âge moyen et âgés » (40 ans et plus) s’ajoutait un effet supplémentaire: quand ils mâchaient, ils avaient tendance à marcher plus vite, donc à couvrir plus de distance, ce qui leur faisait dépenser considérablement plus de calories. Les raisons exactes restent inconnues, mais les chercheurs, qui ont présenté leurs conclusions devant le Congrès européen de l’obésité à Vienne, ont avancé des hypothèses.