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Le forcing de Makri pour un consensUS national : Le MSP réussira-t-il là où le FFS a échoué ?

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Le président du MSP, veut ratisser large, et se démène pour rallier à sa démarche pour un consensus national, les partis politiques du pouvoir et ceux de l’opposition. Pari difficile, quand on sait que le FFS, il y a quelques temps est déjà passé par là avec son initiative pour un consensus national pour une sortie de crise, il y aquelques temps, mais sans résultats tangibles. Aujourd’hui, la donne a peut être changé, à quelques mois des présidentielles d’avril 2019, mais dans quelle mesure peut-on parler de consensus, lorsque celui-ci n’est que fragmentaire, et que les faux-fuyants persistent. Nous avons cru un instant que l’opposition a enterré la hache de guerre et qu’elle va se donner le temps pour évaluer le travail du gouvernement pendant ce quinquennat, en tirer des conclusions, et se préparer aux prochaines échéances électorales pour une véritable alternance aux tenants du pouvoir actuel. Mais cela n’était qu’une furtive illusion, l’opposition ne veut pas sortir de sa torpeur où certains partis politiques veulent donner un semblant de vie politique à l’image du MSP qui appelle les forces politiques, pouvoir et opposition, et même à l’armée de s’impliquer en vue d’une transition démocratique dont les contours restent à définir et à clarifier. Et pourtant, compte tenu de la situation actuelle qui prévaut dans la région, et les menaces qui pèsent sur le pays doivent inciter tous les acteurs politiques et le pouvoir à trouver un terrain d’entente pour ne pas creuser encore plus le fossé qui existe entre eux, pour aboutir à une transition démocratique dans le calme et la sérénité et qui épargnera au pays d’autres déchirures qui ne profitent à personne.
M. Abdelyakine

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