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Saisie de 35 gr de cocaïne et arrestation de sept individus à Nâama

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Les services de police de la wilaya de Nâama ont saisi 35 grammes de cocaïne et arrêté sept individus, a indiqué, dimanche, un communiqué de la cellule de communication et des relations publiques de la Sûreté de wilaya. Les faits de cette affaire, traitée par la 1ère Sûreté urbaine, relevant de la Sûreté de daïra de Mecheria, font suite à une plainte déposée par un citoyen d’un quartier du centre-ville de Mecheria, sur les agissements suspects d’individus résidant dans deux habitations. Les éléments de la première Sûreté urbaine de Mecheria ont ouvert une enquête sur cette affaire, en coordination avec le Parquet spécialisé. Après avoir procédé à la perquisition de l’une des deux habitations, les policiers ont interpellé trois individus et saisi une quantité de 35 grammes de cocaïne. Quatre individus ont également été arrêtés suite à la perquisition de la seconde habitation, dans laquelle 127 comprimés psychotropes ont été découverts, ainsi qu’une somme de 6.500 DA, une balance électronique de précision et une arme blanche, selon le communiqué. Après l’accomplissement de l’ensemble des procédures légales, une procédure judiciaire a été engagée à l’encontre des suspects, qui ont été présentés devant le procureur de la République prés le Tribunal territorialement compétent sous l’accusation de « détention, stockage et commerce illégal de drogues dures et de substances psychotropes en vue de leur commercialisation ».

Accidents de la route en zones urbaines : un mort et 128 blessés en 24h
Une (01) personne a trouvé la mort et 128 autres ont été blessées dans 101 accidents corporels enregistrés le week-end dernier en zones urbaines, selon un bilan rendu public, lundi, par les services de la Sûreté nationale. Le facteur humain demeure la principale cause de ces accidents, selon les données fournies par les services compétents de la sûreté nationale. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) réitère son appel aux usagers de la voie publique à la prudence et au respect du code de la route, rappelant les numéros vert 1548 et de secours 17 mis à la disposition des citoyens 24h/24 pout tout signalement.

Fermeture des écoles en raison d’une vague de chaleur persistante au Bangladesh
Le Bangladesh a ordonné lundi la fermeture des écoles et des madrasas dans tout le pays jusqu’à jeudi, en raison d’une vague de chaleur persistante, un jour à peine après leur réouverture. Des juges de la Haute Cour ont adopté une ordonnance pour fermer « toutes les écoles primaires et secondaires et les madrasas jusqu’à jeudi en raison de la vague de chaleur », a déclaré le procureur général adjoint, Cheikh Saifuzzaman. La vague de chaleur qui sévit actuellement dans le pays depuis début avril, est la plus longue de l’histoire du Bangladesh, ont annoncé vendredi les météorologues. « C’est la première fois que le Bangladesh connaît une vague de chaleur durant 26 jours consécutifs depuis que nous avons commencé à les enregistrer en 1948 », a déclaré Muhammad Abul Kalam Mallik, météorologue au Département météorologique du Bangladesh (BMD), à The Business Standard. Mallik a déclaré que diverses régions du Bangladesh avaient déjà connu des vagues de chaleur prolongées en avril, comme la vague de chaleur de 23 jours à Chuadanga en 2019, avec des températures supérieures à 35 degrés Celsius. « Cette vague de chaleur s’est propagée à plus de 75 % du pays, affectant plus de 50 districts. Cette ampleur est sans précédent. En revanche, le précédent record était de 23 jours consécutifs à Chuadanga en avril 2019 et de 16 jours en avril 2023, les deux avec des températures plus faibles », a déclaré pour sa part, Abul Kalam, chercheur spécialisé dans les vagues de chaleur. Les météorologues préviennent qu’il n’y a aucune probabilité de pluie sur tout le pays avant le 3 mai. La plupart des régions du Bangladesh peuvent s’attendre à faire face à une vague de chaleur jusqu’au 2 mai.

L’OMS met en garde contre une grave crise humanitaire en Ethiopie
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a affirmé dimanche que l’Ethiopie connaît aujourd’hui l’une des crises humanitaires les plus graves de son histoire, avec des millions de vies menacées par la faim, la sécheresse sévère et les épidémies. A cet effet, l’OMS a tiré la sonnette d’alarme et averti que ce pays africain est confronté à une situation qui se détériore de jour en jour, exigeant des mesures urgentes pour prévenir de nouvelles souffrances et des pertes en vies humaines. Selon le directeur général adjoint de l’ONU Mike Ryan, la situation est critique dans des régions comme le Tigré, l’Amhara et l’Afar (nord de l’Ethiopie), qui ont connu un conflit de 2020 à 2022, lorsque le Gouvernement fédéral éthiopien et le Front populaire du Tigré ont signé la paix. « Là-bas, la faim est généralisée, les épidémies et la dégradation des infrastructures dues aux conflits ont privé des millions de personnes de l’accès aux services essentiels », précise un communiqué de l’OMS. A cela s’ajoute le fait que cette nation africaine est victime de la plus grande flambée de choléra de son histoire, d’une augmentation significative des cas de paludisme et de nombreuses infections de rougeole, généralement dans des zones où l’accès aux soins est limité. En dépit de la signature de l’accord de paix, l’escalade de plusieurs affrontements continue dans différentes régions, obligeant plus de 50 000 personnes à quitter leurs foyers depuis un mois. Le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires estime que 21,4 millions de personnes en Ethiopie ont besoin d’une aide humanitaire et qu’environ 22,8 millions, soit 22,25 % de la population, ont du mal à se nourrir.

Des tornades font au moins deux morts dans le centre des Etats-Unis
Au moins deux personnes ont été tuées samedi soir dans l’une des nombreuses tornades qui ont balayé une partie des grandes plaines du centre des Etats-Unis, ont indiqué dimanche les autorités locales. Après que 78 tornades ont été enregistrées vendredi, principalement dans l’Iowa et le Nebraska, 35 autres ont été dénombrées samedi du nord du Texas au Missouri, selon les services météorologiques américains (NWS). Dans la ville d’Holdenville dans l’Oklahoma, au moins deux personnes, dont un nourrisson de 4 mois, sont mortes, selon plusieurs médias américains. Les opérations de déblaiement se poursuivaient dimanche. La petite ville de Sulphur, à plus de 100km de là, a également été particulièrement touchée. Des photos et vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines d’habitations totalement détruites et des véhicules écrasés. Le bureau du shérif du comté de Murray a exhorté dans un message Facebook à ne pas se rendre à Sulphur « à moins d’être secouriste ». Le gouverneur de l’Oklahoma a déclaré l’état d’urgence pour 30 jours. De fortes précipitations ont par ailleurs été enregistrées dans plusieurs localités et les alertes météorologiques restaient en vigueur dimanche, avec notamment un risque de crues soudaines, grêle et de tornades. Plus de 50.000 foyers étaient privés d’électricité dans le Texas dimanche en fin de matinée et plus de 30.000 en Oklahoma, selon le site PowerOutage.

Le Prix international de la fiction arabe à un Palestinien détenu dans les prisons sionistes
Un romancier palestinien détenu dans les prisons sionistes depuis 2004 a remporté dimanche le Prix international de la fiction arabe (IPAF), une des récompenses littéraires les plus prestigieuses du monde arabe, ont annoncé les organisateurs. Basim Khandaqji, 41 ans, a remporté le prix pour son roman « Masque, la couleur du ciel » qui raconte l’histoire de Nour, un archéologue vivant dans un camp de réfugiés à Ramallah en Cisjordanie occupée par l’entité sioniste. En l’absence de l’auteur, le prix a été remis à la propriétaire de la maison d’édition basée au Liban, lors d’une cérémonie à Abou Dhabi. Selon le président du jury de cette année, Nabil Suleiman, le roman « dissèque une réalité complexe et amère de fragmentation familiale, de déplacement, de génocide et de racisme ». Le lauréat reçoit 50.000 dollars et un financement sera mis à disposition par l’IPAF pour la traduction anglaise de son roman, selon les organisateurs. La cérémonie de remise de l’IPAF a coïncidé cette année avec l’agression génocidaire perpétrée par l’entité sioniste dans la bande de Ghaza, qui a fait plus de 112 000 victimes entre martyrs et blessés, pour la plupart des enfants et des femmes, en plus d’une famine et des destructions massives, selon les données palestiniennes et onusiennes.

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