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Coupure d’électricité programmée aujourd’hui au niveau de plusieurs communes d’Alger-Sud

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Une coupure d’électricité est programmée au niveau de plusieurs communes d’Alger-Sud, le samedi 23 mars courant, a indiqué jeudi, dans un communiqué, la Direction de distribution d’électricité et du gaz de Gué de Constantine (SDA). Cette coupure de l’alimentation en électricité, est programmée le samedi 23 mars 2019 de 06h à 10h du matin, en raison des travaux au niveau du réseau d’électricité haute tension (60KV), a précisé le communiqué. Elle concerne les commune de Baraki, Sidi Moussa, Gué de Canstantine et Birtouta, souligne la même source. Elle affectera les localités suivantes : Sidi Moussa Centre, Hai Zouaoui, Route de l’Arabâa, Ouled Allel, Haouch Mihoub, Hai El Djilali, Bentelha, Cité 1078 logements (Bentelha), Lot Marhaba 568 logements (Baraki), 700 logements (Bentelha), 1 200 logements (Haouch Mihoub), Zone d’activité de Gué de Constantine et Zone d’activité de Baba Ali en partie. La SDA met à la disposition de ses clients, pour toute information, le numéro de son centre d’appel 3303, joignable 24h/24, ajoute le communiqué.

Tribunal criminel d’Ouargla : peine capitale à l’encontre des auteurs d’infanticide
Des condamnations à la peine capitale ont été prononcées jeudi par le tribunal criminel de la Cour d’Ouargla à l’encontre des auteurs B.F (39 ans) et H.M.S (32 ans) pour infanticide volontaire avec préméditation contre la victime O.M.A, âgé à peine de 10 ans. La même instance a infligé une peine de deux ans de prison ferme à l’encontre de la nommée Z.S (43 ans) pour non dénonciation du crime, en sus d’une amende de solidarité de trois (3) millions DA pour la partie civile. L’affaire remonte, selon l’arrêt de renvoi, au mois de juillet 2017 lorsque les services de Sûreté ont reçu un appel de l’hôpital de Hassi-Messaoud faisant état de dépôt d’un cadavre d’un mineur (10 ans) manifestant des traces d’étranglement sur le cou. L’enquête a permis de dévoiler que la victime a été étranglée au moyen d’un foulard par sa mère (B.F) avec la complicité du nommé H.M.A, son second époux d’un mariage coutumier, et que la nommée Z.S a avoué croire que la victime s’est évanouie. Le ministère public a requis, au cours de la plaidoirie et au regard des graves faits reprochés aux auteurs, la peine capitale à l’encontre de la nommée B.F, la réclusion à perpétuité à l’encontre du nommé H.M.A et une peine de trois (3) ans de prison ferme, assortie d’une amende de 200 000 DA à l’encontre de la nommée Z.S.

16 blessés dans le renversement d’un bus entre Sidi Abdallah et Mahelma (Alger)
Seize personnes (9 hommes et 7 femmes) ont été blessés suite au dérapage, jeudi soir, d’un bus de voyageurs au niveau de la route reliant les communes de Sidi Abdallah et Mahelma (Alger Ouest), a-t-on appris auprès des services de la Protection civile de la wilaya d’Alger. «Le renversement du bus est survenu à 16H16 au niveau de la route reliant les deux communes de Sidi Abdallah et Mahelma à Zeralda, faisant 16 blessés sans enregistrer de décès», a déclaré à l’APS le chargé de la cellule de communication à la Direction de la protection civile de la wilaya d’Alger, le lieutenant Khaled Benkhelfallah. Selon la même source, les éléments de la Protection civile ont prodigué aux blessés les premiers soins sur place avant de les transférer à l’hôpital de Zeralda où ils ont été pris en charge, ajoutant que leur santé était stable.
Les services de la Protection civile ont mobilisé, à cet effet, 4 ambulances et un camion citerne. Pour leur part, les autorités territorialement compétentes ont ouvert une enquête pour définir les causes de cet accident.

Le commerce de la contrefaçon représente 3,3 % des échanges mondiaux, selon l’OCDE
Le commerce de la contrefaçon, qui ne cesse de prendre de l’ampleur ces dernières années, représente 3,3 % des échanges mondiaux, selon un nouveau rapport de l’OCDE et de l’Office de l’Union européenne pour la propriété intellectuelle (EUIPO). Selon le rapport intitulé «Trends in Trade in Counterfeit and Pirated Goods», la valeur des produits de contrefaçon importés s’est élevée en 2016, à l’échelon international sur la base des chiffres des saisies douanières réalisées cette année là, à 509 milliards de dollars contre 461 milliards en 2013. Dans l’Union européenne, souligne le rapport, le commerce de contrefaçons a frôlé les 6,8 % des importations en provenance de pays non membres de l’UE, contre 5 % en 2013. «Ces chiffres n’incluent ni les produits de contrefaçon fabriqués et consommés sur les marchés intérieurs ni les produits piratés commercialisés via l’internet», précise la même source. Dans ce rapport, l’EUIPO et l’OCDE affirment que le commerce de produits de contrefaçon, qui porte atteinte aux marques et droits d’auteur, génère des bénéfices au profit du crime organisé et aux dépens des entreprises et des États. Mais au-delà des préjudices financiers, ce commerce comporte toutes sortes de risques pour la santé et la sécurité notamment pour ce qui est des imitations de biens comme les équipements médicaux, les pièces automobiles, les jouets, les produits alimentaires, les cosmétiques de marque et les biens électriques. S’agissant de la provenance des produits de la contrefaçon, le rapport souligne que dans leur majorité, ils proviennent de Chine, Hong Kong, Émirats arabes unis, Turquie, Singapour, Thaïlande et Inde. En 2016, les principales victimes de ce fléau ont été les États-Unis, dont certaines marques ou brevets ont été utilisés pour 24 % des produits de contrefaçon saisis, suivis de la France (17 %), de l’Italie (15 %), de la Suisse (11 %) et de l’Allemagne (9 %), indique le rapport.

Chiffre du jour : 7

Près de 7 millions de personnes n’ont pas accès à Internet de qualité minimum en France soit 10,1 % de la population, selon une enquête qui révèle la grande fracture numérique entre les zones rurales et les grandes agglomérations dans l’accès à Internet. L’enquête réalisée par l’association de consommateur «UFC Que Choisir» et dont se fait écho, jeudi, des médias de l’Hexagone, souligne que 6,8 millions de personnes sont privées d’un accès de qualité minimale à Internet, c’est-à-dire plus de 3 Mbits par seconde. Le «bon haut débit» n’est lui, pas accessible à 19,1 % de la population, soit 12,8 millions de consommateurs. Pour son enquête, UFC-Que Choisir a collecté 32 millions de données via un logiciel, du 1er février 2018 au 2 février 2019, auprès de 1 703 panélistes dans 1 421 communes, sur leurs usages d’internet (débits, problèmes de lecture de vidéos ou encore chargement de pages web). L’association qui a mis en place un observatoire destiné à mesurer «la qualité de l’usage d’Internet tel qu’il est vécu par les utilisateurs», constate qu’il existe un lien direct entre la taille de la commune et le débit Internet: «moins il y a de gens, moins il y a débit». Dans les communes de moins de 1 000 âmes, 31 % des consommateurs n’ont pas accès à Internet contre moins de 5 % dès qu’on dépasse 10 000 habitants», souligne l’étude, relevant que les grandes agglomérations ne rencontrent pas de problèmes en matière de très haut débit. Alors qu’Internet est présenté par les pouvoirs publics comme une solution à la fracture territoriale, les résultats de cette étude montre qu’il creuse encore davantage les écarts, dénonce l’association de consommateurs qui souligne l’urgence de connecter l’ensemble des territoires.

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