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Des voix s’élèvent demandant le retrait de M6 du poste de président du Comité El-Qods

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Des voix s’élèvent à l’intérieur de l’opinion marocaine comme dans le monde arabe et à l’étranger, pour exiger le retrait du Roi Mohamed VI du poste de président du Comité El-Qods, de l’Organisation de coopération islamique, après l’annonce du locataire du palais royale de la normalisation des relations entre le Maroc et l’entité sioniste. Les partisans de la cause palestinienne à travers le monde, dont ceux de la scène arabe et africaine, estiment que « le Maroc n’est plus qualifié » pour présider le Comité El-Qods, lequel est appelé, en cette conjoncture marquée par la trahison des monarchies arabes de la cause palestinienne, préférant s’aligner du côté des colonisateurs israéliens et de leurs soutiens. Les réactions contre l’annonce du royaume chérifien d’avoir des relations avec l’entité sioniste continuent de tomber de partout, condamnant ce qui est relayé sur les réseaux sociaux, comme « Accord entre deux colonisateurs », l’Israélien en Palestine et le Marocain au Sahara occidental. Il est à rappeler que les Palestiniens, le président palestinien et l’ensemble des factions palestiniennes, ont exprimé leur condamnation de la normalisation des relations entre certains pays arabes avec l’entité sioniste, en la qualifiant «de trahison » du peuple palestinien et l’ensemble des peuples de la région arabe.

ANP : amarrage du dragueur de mines «Al Kassih-2»
Le navire de guerre dragueur de mines « Al Kassih-2 », N°502, a accosté, hier, au quai nord de l’Amirauté, à Alger, a indiqué le MDN dans un communiqué auquel il joint des photos du navire. Cette opération rentre dans le cadre de la mise en œuvre du programme d’actualisation et de modernisation de la flotte navale algérienne et afin de consolider le corps de bataille de l’ANP et des Forces navales. Le dragueur de mines « Al Kassih-2 » nouvelle génération, est le deuxième du genre réceptionné par l’Algérie, dans le but de sécuriser la navigation maritime et de défendre les navires de commerce contre les dangers des mines en temps de guerre ou de crise.

16 millions de Yéménites menacés par la famine d’ici juin 2021
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a averti que 5 millions de personnes dans le Yémen ravagé par la guerre «vivront probablement à un pas de la famine» d’ici l’année prochaine.
L’agence des Nations unies a déclaré dans un bref communiqué publié dimanche sur son compte Twitter officiel que plus de la moitié de la population totale du Yémen pourrait sombrer davantage dans la faim en 2021. Selon le communiqué, environ 50 000 personnes vivront dans des conditions proches de la famine dans ce pays arabe en proie au conflit tout au long de l’année prochaine. La FAO a noté qu’un soutien immédiat est nécessaire de toute urgence pour sauver le Yémen car «la réponse de l’ONU ne reste financée qu’à 49 %.

La Cour d’Alger confirme la relaxe pour Fodil Boumala
Le verdict est tombé aujourd’hui (hier, Ndlr), 15 décembre 2020, dans le procès en appel de Fodil Boumala : relaxe.
La cour d’Alger a confirmé, hier, le verdict de la relaxe au profit de l’activiste politique Fodil Boumala, dont le premier jugement en première instance a été prononcé par le tribunal de Dar El-Beïda. C’est ce qu’a indiqué dans un communiqué le Comité national pour la libération des détenus. Pour rappel, le parquet avait requis, le 8 décembre dernier, une peine de 2 ans de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA à l’encontre de l’activiste du Hirak, lors de son procès en appel tenu à la Cour d’Alger. En détention de septembre 2019 à mars 2020, Fodil Boumala avait été accusé d’ « atteinte à l’unité nationale » et de « publications sur Facebook pouvant porter atteinte à l’intégrité nationale».

Guterres propose deux nouveaux émissaires pour la Libye et le Moyen-Orient
Le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres a proposé de nouveaux émissaires pour les conflits en Libye et au Moyen-Orient et dont les noms pourrait être retenus officiellement  mardi, par le Conseil de sécurité, après plusieurs mois d’attente, ont indiqué des sources diplomatiques à Reuters. Le Bulgare Nicolay Mladenov, désormais ancien émissaire des Nations unies au Moyen-Orient, devrait remplacer  Ghassan Salame sur le dossier libyen. L’ancien diplomate  norvégien,  Tor Wennesland a été également proposé par Guterres comme émissaire de l’ONU dans le conflit palestino-israélien à la place de Mladenov qui assurait cette mission depuis 2015. Si aucune objection n’est émise par les quinze membres du Conseil de sécurité avant la fin de la journée de mardi, les noms des deux diplomates seront officiellement retenus.

Premier cas Covid-19 chez l’animal aux USA
Le laboratoire national du service vétérinaire du ministère de l’Agriculture des États-Unis a confirmé un premier cas d’infection au coronavirus chez un animal vivant dans la nature. Le virus a été retrouvé chez un vison dans l’État américain de l’Utah. Selon le service d’inspection sanitaire des animaux et des plantes (APHIS) sur le site de la plateforme ProMED-mail, la maladie a été détectée chez cet animal sauvage dans le cadre d’une étude épidémiologique dans les environs d’une ferme de visons avec des cas de Covid-19 identifiés. «À notre connaissance, il s’agit du premier animal sauvage en liberté avec un SRAS-CoV-2 confirmé », a déclaré l’APHIS dans son communiqué. La source indique que des informations sur ce cas ont été transmises à l’Organisation mondiale de la santé animale. Pourtant, d’après l’APHIS, la circulation active de l’agent causal du Covid-19 dans des populations sauvages vivant près de fermes de visons avec des cas confirmés de coronavirus n’est pas encore prouvée. Des cas de Covid-19 ont été détectés à plusieurs reprises dans des élevages de visons dans le monde.

La Tunisie refuse une relation de « colonisateur et colonisé »
La Tunisie veut rétablir des relations avec la Banque mondiale (BM) dans le cadre du respect de sa souveraineté et d’un partenariat gagnant-gagnant, a déclaré le président de la commission des finances au Parlement. Celui-ci a également pointé certains de ses collègues qui voudraient liquider les entreprises publiques via cette institution, selon Webdo. Le président de la commission des finances à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) tunisienne, Haykel Mekki, a déclaré, lundi dernier, que des députés demandaient à la Banque mondiale de forcer la Tunisie à privatiser ses entreprises publiques. Il s’est exprimé lors d’une réunion avec le responsable des opérations pour la Tunisie au sein de cette institution internationale, Tony Verheigen, a rapporté le site d’information Webdo. «Certains députés incitent et appellent la Banque mondiale à poursuivre la mise en œuvre de ses politiques à travers la vente et la privatisation de certaines institutions publiques et par conséquent l’affaiblissement de l’État tunisien», a affirmé M.Mekki avant de souligner que la Tunisie refuse une relation de « colonisateur et colonisé ». Afin d’apporter son soutien financier à la Tunisie qui se trouve dans une situation difficile à cause de l’impact de l’épidémie de Covid-19, M.Verheigen a appelé le gouvernement tunisien à accélérer la mise en œuvre des réformes convenues dans le cadre de l’accord conclu entre les deux parties en 2018. Dans son alerte Haykel Mekki a rappelé la nature des relations de son pays avec la Banque mondiale avant son indépendance.

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