Par Hafidh A. Settar
Bien qu’étalé ci-haut en grosse manchette, le sujet -gravissime- mérite bien qu’on se répète par ce p’tit mot.
Pour rappeler les chiffres -effarants- et les dégâts -horribles-.
15 000 décès l’an -comme si la route ne suffisait pas encore- ou 45 au quotidien. Excusez du peu !
Ah, l’infâme trouvaille -de l’infâme Jean Nicot !-
Qui écrabouille pêle-mêle le poumon, le cœur, les boyaux, gorge et estomac, appétit et libido -là, pourtant…- Jusqu’à la fatale métastase. Eh, oui !
Mais si l’autruche se rassure à sa propre manière, faut toujours se rassurer que la vilaine chose, ça n’arrive qu’aux autres !
En soi, la pratique du tabac peut être une preuve nécessaire et suffisante de l’immensité de la bêtise humaine. Qui supplante même les guerres sur la base de cette simple nuance : tuer et se tuer !
De quoi écœurer jusqu’à Sganarelle, le valet de Dom Juan qui a rectifié dès lors : «Qui vit sans tabac est… vraiment digne de vivre!».
Ouf, je termine… H’mida, tu me passes une clope, STP ?
H. A. S.