• Le président avait bien raison de trancher dans le vif. Une patrie est comme une mère. On n’en a qu’une. Pour elle, sans blabla de mauvais aloi, on donnerait volontiers sa vie. Un gars au niveau de la FAF raconte que certains joueurs se faisaient même rembourser le timbre de leur passeport. Ce n’est même pas une image. C’est complètement vrai. Châabna, dans sa Golf, bourrée à craquer, multipliait les va-et-vient entre Paris et Marseille. Petit business, pour ne pas dire trabendo, grâce aux billets offerts par l’APN. C’est dire quil était indigne de ce poste. De cette haute responsabilité. Il ne voyait l’Algérie que comme une vache laitière. Ô ma Patrie, ma Mère ! qu’ont-ils donc fait de toi !
• Wana aâreft…
M. A.
