• La dénommée Naïma Salhi est libre comme l’air.
• Et alors ?
• Tu te souviens comme elle avait menacé de tuer ses gosses s’ils parlaient un jour kabyle ?
• Ah oui. J’oubliais, car pour moi, les minables passent (toujours inaperçus, pour reprendre l’expression d’un de mes postes.
• C’est vrai que cette sortie, outre son apologie directe des crimes gratuits, comporte des appels à diviser la nation, et même à y déclencher une guerre civile. Et si vile aussi. Elle est libre pourtant. Y en a même qui disent qu’ils l’ont vue voler.
• Tu voudrais quand même pas qu’on la foute en taule. Dans une démocratie digne de ce nom, on ne met jamais en prison pour une parole, un écrit…
• Pourquoi, tu veux dire qu’on le fait chez nous ?
Wana aâreft…
M. A.