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L’usage du téléphone portable au volant : la DGSN tire la sonnette d’alarme

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L’usage du téléphone portable au volant a été à l’origine de 102 accidents de la route en 2014, a indiqué jeudi un communiqué du département de la Communication et des relations publiques à la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). 17 383 accidents de la route survenus en milieu urbain ont été recensés durant la même période par les services de la sécurité routière, dont 102 dus à l’usage du téléphone portable au volant.

Cameroun : les Lions indomptables mauvais payeurs
La délégation camerounaise est bloquée dans son hôtel en Guinée équatoriale pour n’avoir pas payé les factures de dix chambres occupées, au Sofitel Président Palace de Malabo, au lendemain de l’élimination des Lions indomptables, dès le premier tour de la CAN-2015, rapporte la presse locale. Selon un membre de la délégation, joint par un media local, la facture des chambres en question n’a pu être réglée par le régisseur, qui a jugé les prix excessifs. Le ministre des Finances, saisi de l’affaire, n’a pas encore réagi, sûrement déçu par la défaite des Lions face aux Ivoiriens. L’hôtel a confisqué les clés des encadreurs qui étaient sortis pour faire des achats en ville. Ces derniers ne peuvent, donc, plus avoir accès à leurs chambres pour récupérer leurs bagages. Dans le cadre de la CAN, la CAF prend en charge une partie de l’hébergement des équipes, et l’autre revient aux responsables du pays.

Sensibilisation sur l’importance des zones humides, à Jijel
Des actions de sensibilisation du public à l’importance des zones humides ont été initiées, jeudi à Jijel, par le Parc national de Taza (PNT), dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale des zones humides. Le PNT prévoit pour cette célébration placée, cette année, sous le thème «Des Zones humides pour notre avenir», des actions d’animation dans les établissements scolaires et dans l’enceinte du parc où des conférences-débats seront données par des spécialistes des secteurs de l’environnement, des forêts, de l’hydraulique et de l’agriculture. Une sortie récréative au lac naturel Marigha, et sur le site du barrage hydraulique de Kissir, situés, tous deux, dans la commune d’El-Aouana (ouest de la wilaya de Jijel) figurent au programme arrêté par la direction du PNT. Les collégiens du collège d’enseignement moyen (CEM) Mohamed-Cherif-Debz ont été conviés à une visite guidée et commentée sur ces deux sites qui leur permettra de découvrir quelques facettes du milieu environnemental où viventt une importante faune et flore. Un concours proposera aux participants de réaliser des photos prises dans une zone humide, pour mettre en évidence le fait que la préservation de ces milieux et la préservation de la biodiversité garantissent l’avenir de l’humanité. Le 3 février prochain, des portes ouvertes sur le parc de Taza seront organisées, à l’intention du public qui y découvrira une faune et une flore particulièrement riches et diversifiées.

Un ensemble d’anneaux géants découvert autour d’une exoplanète
Un ensemble d’anneaux géants a été découvert par des astronomes autour d’une planète extrasolaire, 200 fois plus grand que celui en orbite autour de la planète Saturne, à 420 millions d’années lumière de la terre. «C’est la première fois que quelqu’un voit un tel système géant d’anneaux, en dehors du système solaire», a indiqué l’astronome Matthew Kenworthy, cité par l’AFP. La planète est entourée d’une trentaine d’anneaux «si grands que si Saturne en possédait d’aussi importants nous pourrions voir ces anneaux à l’oeil nu depuis la terre. Ce serait de 5 à 10 fois plus grand que la pleine lune», a expliqué Kenworthy, de l’observatoire de Leiden (Pays-Bas), qui a mené cette étude avec Eric Mamajek, de l’université de Rochester (États-Unis). Invisible depuis la terre, cette planète baptisé «J1407b» est sans doute très chaude (entre 1 000 et 2 000 degrés Celsius) ce qui pousse les astronomes à penser que ses anneaux sont fait de poussière, contrairement à ceux de Saturne, faits de glace. L’analyse de la courbe de lumière, perçue depuis la terre, lors des éclipses permet de déterminer la structure d’objets astrophysiques, inconnus situés au-delà du système solaire. En observant une étoile, déjà connue, lors d’une éclipse, les chercheurs ont découvert que l’éclipse avait duré 56 jours, entrecoupés de changement brusques et irréguliers d’intensité lumineuse.

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