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LETTRE D’UN CITOYEN QUI A FAIT SON MEA-CULPA : « Pardon et merci, Monsieur le Président !»

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Aujourd’hui, j’ai décidé en mon âme et conscience de rejoindre la majorité de mes concitoyens qui avaient voté en toute liberté pour le président Abdelmadjid Tebboune.

Moi, farouche opposant à la tenue du scrutin présidentiel de décembre 2019 en général et à la candidature de Tebboune en particulier, je reconnais plus de 100 jours après que je me suis trompé lourdement sur la personne de Monsieur le Président de la République.
Nous y voilà. Je fais mon mea-culpa ! Le président Tebboune a donné à chacun de nous des raisons d’espérer, oui je le crie haut et fort : un monde meilleur est en train de naître en Algérie depuis le 12 décembre 2019.
Que de nombreuses mesures prises par le président Tebboune en un laps de temps très court dont on commence à cueillir les fruits un peu partout dans le pays et dans tous les domaines. Oui, moi qui avait fait campagne contre l’organisation de la présidentielle, moi qui ne partageait rien avec le Président, j’avoue que je suis bluffé par notre Président, que je découvre et qui me donne envie d’aimer encore plus mon Algérie.
Le président Tebboune a replacé le citoyen au cœur de sa politique, repensé l’État républicain, il a permis à l’Algérien de retrouver du sens et même de renaître au nouveau monde qui lui ouvre ses bras. Le Président que j’attaquais systématiquement, parfois violemment et souvent injustement, me ressemble au fond. Il est issu de l’Algérie profonde comme moi, il vit au milieu de la société comme moi, il aime sa patrie comme moi, sinon plus. Il s’est toujours révolté contre la fracture sociale, comme moi, il a toujours fait son hirak pour en finir avec deux Algérie, celle d’en haut qui méprise celle d’en bas.
Dans l’Algérie du président Tebboune, il n’y a pas deux Algérie, il y a une seule unie dans sa diversité. Une Algérie indivisible qui ne laisse aucun de ses enfants sur le bord de la route.
Face à la grave pandémie du coronavirus, le président Tebboune a été ferme et intransigeant : tous les Algériens sont égaux devant cette maladie, avec une attention très particulière pour les couches les plus précaires. Depuis le début de la pandémie, il refuse d’envoyer des messages contradictoires, il nous dit les choses clairement.
Désormais, il est mon Président, je lui dis simplement et avec une profonde conviction, pardon et merci.
A. Belkacem

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