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Fin de mission pour Mohamed Yamani à la tête du musée olympique d’Alger

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Le Comité olympique et sportif algérien (COA) a instruit le directeur du musée olympique d’Alger, Mohamed Yamani, que son contrat à ce poste prendra fin le 2 janvier 2020. «Nous vous informons par la présente qu’en vertu de l’article N 6 de notre relation contractuelle, nous mettons fin à cette collaboration à partir du 2 janvier 2020» a indiqué le COA dans un courrier, adressé lundi dernier à l’intention de Mr Yamani. «Une cérémonie sera organisée en votre honneur à l’occasion de la prochaine Assemblée Générale du COA, pendant laquelle il vous sera rendu un bel hommage, pour les nombreux et loyaux services rendus» a ajouté l’instance dans son communiqué. Yamani (81 ans) a été le premier athlète à représenter l’Algérie indépendante aux Jeux Olympiques d’été. C’était en tant que gymnaste, pendant les olympiades de 1964 à Tokyo (Japon). Il a signé un contrat avec le Comité olympique en date du 28 avril 2013 et en vertu duquel il a pris un peu plus tard la direction du musée olympique, situé juste en face de la salle omnisports Harcha-Hacène (Alger).

Saisie de 7.215 comprimés psychotropes à Guelma
Une quantité de 7.215 comprimés psychotropes a été saisie et un réseau de trois individus dont deux femmes qui s’adonnaient au trafic de cette substance prohibée a été démantelé au centre-ville de Guelma, a-t-on appris dimanche de la cellule de communication et des relations publiques auprès de la sûreté de wilaya.
L’opération menée par la brigade de lutte contre le trafic de drogue relevant du service de wilaya de la police judiciaire a permis la saisie de capsules de psychotropes au cours d’une perquisition du domicile du suspect principal, situé à la cité base de vie à la sortie Sud de la ville de Guelma, a souligné la même source, précisant que le démantèlement de ce réseau couronne des jours d’investigations, d’enquête et de filature des individus impliqués dans cette affaire.
Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux femmes arrêtées, âgées de 21 et 35 ans seraient des étudiantes et résident dans la ville de Guelma, a-t-on noté, soulignant que les présumées coupables ont été présentées dimanche devant les instances judiciaires concernées
Les mises en cause sont poursuivies pour « détention de marchandise pro
hibée d’origine étrangère disposée à la contrebande » et « commercialisation dans le territoire douanier national de produits sans document légal », « pratique illégale du métier de pharmacie et distribution de produits pharmaceutiques à travers un établissement non agréé ».

Secousses telluriques à Mihoub (Médéa)
Aucune victime ou dégât matériel n’ont été signalés suite aux deux secousses telluriques, d’une magnitude de 3,5 et 4,2 degrés sur l’échelle ouverte de Richter, enregistrées dimanche dans la commune de Mihoub (100 km au nord-est de Médéa), a rapporté la Protection civile. «Aucun blessé ou dégât matériel» ne sont à déplorer suite aux deux secousses telluriques, la première enregistrée vers 6h49 à 2 km au sud de la commune de Mihoub et la seconde vers 07h07 à 7 km à l’ouest du chef-lieu de la dite commune, a-t-on indiqué. Des éléments de la Protection civile de la daira d’El-Azzizia, dont relève la commune de Mihoub, ont été déployés aussitôt l’alerte donnée, pour porter secours à d’éventuels blessés ou personnes traumatisées et inspecter les habitations, a-t-on ajouté de même sources. Un léger dispositif a été maintenu sur place pour rassurer les habitants et intervenir en cas de nécessité, a-t-on signalé.

4 morts et 7 blessés sur les routes en 24 heures
Quatre personnes sont mortes et sept autres ont été blessées dans des accidents de la circulation, survenus durant les dernières 24 heures à travers le territoire national, selon un bilan établi dimanche par la Protection civile. Plusieurs accidents de la circulation ont été enregistrés durant la période s’talant du 14 au 15 décembre, dont 4 accidents les plus mortels, ayant causé la mort de 4 personnes et des blessures à 7 autres, traitées sur les lieux puis évacuées vers les structures hospitalières par les secours de la protection civile, précise la même source. Par ailleurs, des soins de première urgence ont été prodiguées à 13 personnes, intoxiquées par l’inhalation du monoxyde de carbone, suite à l’utilisation d’appareils de chauffage et chauffe-bains dans les wilayas de Constantine, Blida et El Bayadh, ajoute-t-on.

Repêchage d’un corps sur le littoral de Dellys (Boumerdès)
Un cadavre non identifié a été repêché dans un état de décomposition avancé, dans la nuit de samedi à dimanche, sur le littoral de Dellys (Est de Boumerdes), a-t-on appris auprès de la protection civile de la wilaya.
« Des pêcheurs sortis en mer samedi, aux environs de 22H00, ont repêché un cadavre non identifié, qui flottait sur l’eau, au niveau du littoral de Dellys, attenant au port », a indiqué à l’APS le chargé de la communication auprès de ce corps constitué, le capitaine Ait Kaci Ahmed.
Une fois informés par les pécheurs en question, les éléments de la protection civile sont intervenus, sur place, pour le transport du cadavre vers la morgue de l’hôpital de Dellys, dans l’attente du rapport d’autopsie devant fournir les informatisons susceptibles de l’identifier et de déterminer les causes du décès, entre autres, est-il ajouté de même source.

L’harissa traditionnelle tunisienne proposée au Patrimoine culturel immatériel avant fin mars 2020
Après le Food Quality Label pour valoriser l’harissa tunisienne, la prochaine étape est de faire entrer ce produit ancestral au patrimoine culturel immatériel (PCI) de l’UNESCO a indiqué samedi l’agence TAP. Evoquant les retombées de cette inscription au patrimoine culturel immatériel de l’humanité, Ismahen Ben Barka, chargée de recherches à l’Institut national du patrimoine (INP), a tenu à signaler qu’ il est important d’inscrire tout élément faisant partie du patrimoine national, et pas seulement l’harissa au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO puisqu’il s’agit de sauvegarder l’identité de cet élément.
En quelque sorte, c’est une forme de reconnaissance de notre patrimoine et de notre identité, même si cela n’empêche pas d’autres communautés et sociétés de l’utiliser dans leur vie quotidienne, qu’il s’agisse de patrimoine culinaire, vestimentaire ou autre. L’harissa, traditionnelle bien entendu, figure parmi d’autres éléments objet d’une demande d’inscription au PCI, dont la poterie de Sejnane, premier concerné par cette démarche, ainsi que la « Charfia « de Kerkennah a souligné la chargée de recherche.
Au sujet de la préparation d’un dossier d’inscription au PCI, elle a mentionné qu’au préalable, il faut réaliser une opération d’inventaire de l’élément. C’est la première étape à effectuer dans la préparation du dossier. En ce qui concerne l’harissa, il s’agit de commencer par inventorier l’harissa du Cap-Bon, région représentative du produit, de par sa tradition dans le domaine et l’existence d’un festival international de l’harissa. Une opération qui a été étendue sur l’ensemble du territoire, vu la présence de différentes dénominations et de méthodes de fabrication, et même de présentation de l’élément.

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