Dans sa haine de l’Algérie le Makhzen ne désarme pas. Et maintenant que sa propagande mensongère ne prend plus il continue À se tourner vers les lobbies sionistes et leurs leaders en France. Dès lors et selon des sources informées, il est établi que la récente campagne menée tambour battant contre l’Algérie sur la question des migrants subsahariens est pilotée par les relais sionistes en France. Ces milieux hostiles à notre pays et qui, par ailleurs, appuient le Maroc dans sa politique colonialiste au Sahara occidental , ont choisi de mettre le paquet dans leur offensive contre l’Algérie sous l’angle des «crimes contre les migrants commis par l’Algérie». Deux personnalités marocaines proches du palais royal marocain , sont chargées de conduire cette campagne : il s’agit de l’inévitable Ahmed Charai, patron de presse fabriqué par les services de renseignement marocains démasqué déjà par le hacker Chris Coleman qui a révélé la toile d’araignée de «grandes plumes » de la presse parisien- ne mensualisés par le Makhzen pour vendre leur âme et leurs écrits comme de vulgaires mercenaires. L’autre animateur de la campagne anti-algérienne n’est autre que Omar Hilale, l’ambassadeur aux méthodes tout a fait contraires à la diplomatie et qui a été pris déjà la main dans le sac lorsque il officiait à Genève pour corruption de hauts fonctionnaires des Nations unies. Exfiltré et nommé à l’Onu après les scandales de Genève il exerce ses talents à New York avec l’appui du lobby sioniste puissant dans cette ville monde . En France, le lobby pro- marocain dont la trame a été mise à nu par le journaliste marocain Omar Brousky dans son livre «La République de sa Majesté», les médias dirigés par le lobby sioniste ont été instruits de poursuivre et d’intensifier cette sale besogne qui vise directement l’Algérie. L’un des acteurs de cette campagne en France, est le groupe de presse dirigé par Patrick Drahi aux avant-postes dans cette guerre médiatique déclarée à l’Algérie. L’homme d’affaires franco-israélien est natif de Casablanca, au Maroc. Il a gardé des liens étroits avec sa terre natale et ses dirigeants. Propriétaire du quotidien Libération et du magazine L’Express, Patrick Drahi a toujours orienté la ligne éditoriale de ces médias dans le sens contraire aux intérêts de l’Algérie. Libération, plus que n’importe quel autre média français, a de tout temps montré une haine et un acharnement invraisemblables contre l’armée algérienne, conduisant la campagne du «qui tue qui» d’une manière effrénée et répandant mensonges et calomnies sur l’Algérie et ses institutions. Une journaliste pied-noir connue pour sa haine de notre pays animait alors cette campagne. Installée au Maroc elle sévit dans un hebdomadaire appartenant a Ahmed Charai a qui elle sert de relais avec une ancienne correspondante de la MAP auprès de journalistes mercenaires et jusqu’à des journalistes algériens de sites électroniques ouvertement acquis au Maroc. Patrick Drahi a prêté allégeance à Israël où il active dans divers domaines économiques et ne craint pas de s’endetter sans commune mesure assuré du soutien de banques complices. Il est le patron d’un groupe de télécommunications, mais il finance également la chaîne de télévision israélienne I24 News avec un ancien conseiller en communication de Dominique De Villepin – lui aussi natif du Maroc –, Frank Melloul, qui en est le président-directeur général.
Patrick Drahi a reçu un doctorat honoris causa de l’université hébraïque de Jérusalem, en 2016, pour son activisme pro-israélien.
M. Bendib