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Repêchage des corps de deux personnes noyées après trois jours de recherches à Tipasa

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Les unités de la Protection civile de Tipasa ont repêché ces dernières 24 heures les corps de deux personnes mortes noyées après trois jours de recherches, portant ainsi à trois le nombre de décès par noyade depuis le 1er juin courant dans la wilaya, a-t-on appris lundi auprès de la direction locale de ce corps constitué. Selon la même source, les plongeurs de la protection civile ont repêché, dimanche soir, le corps sans vie d’un jeune homme de 23 ans, porté disparu en mer depuis vendredi. Il a été victime d’une noyade, en compagnie de trois de ses amis à la plage « Nakhil » de Chenoua. Deux parmi eux ont été sauvés d’une mort certaine, tandis que le corps sans vie du 3eme, âgé de 24 ans, a été repêché le même jour, avant la poursuite des recherches ayant abouti à la découverte de la dépouille de la 4ème victime, dimanche. Les opérations de recherche engagées par les unités de la protection civile, avec la mobilisation de plongeurs et de zodiacs ont, également, permis la découverte du corps d’une autre victime morte noyée au niveau d’une plage rocheuse interdite à la baignade, à l’Ouest de Tipasa, un jeune homme de 29 ans originaire d’Alger.
Le nombre de décès par noyade, à Tipasa, est ainsi porté à pas moins de trois, depuis le 1er juin, sur un total de 733 interventions ayant permis le sauvetage de 724 personnes noyées, tandis que 172 ont été atteintes de blessures, parmi lesquelles 30 ont été évacuées vers les hôpitaux de la wilaya, selon les chiffres fournis par la même source.
Depuis le 1er juin, la wilaya de Tipasa a accueilli 210 000 estivants au niveau de ses différentes plages, signale-t-on à la direction de la protection civile, qui met en garde contre la baignade au niveau des plages rocheuses interdites à la baignade.

Discrimination : Google paye 118 millions USD pour solder une plainte en nom collectif
Google a accepté de payer 118 millions de dollars pour solder une plainte en nom collectif accusant le groupe d’avoir discriminé les femmes en termes de salaires et d’échelons en Californie, ont indiqué deux cabinets les défendant. L’accord couvre environ 15 500 employées ayant travaillé en Californie depuis septembre 2013, détaille un communiqué diffusé vendredi soir par Lieff Cabraser Heimann & Bernstein et Altshuler Berzon. L’entreprise a aussi accepté une analyse de ses pratiques de recrutement et de rémunération par des tierces parties. La plainte avait été engagée en 2017 devant un tribunal de San Francisco par des anciennes employées de Google estimant que le moteur de recherche payait les femmes moins que les hommes sur des postes équivalents et qu’elles étaient assignés à des échelons moins élevés que des hommes à expériences et qualifications équivalentes car l’entreprise se basait sur leurs salaires précédents. Selon le texte de l’accord, rendu public par les avocats, Google « nie toutes les allégations de la plainte et maintient que (le groupe) s’est pleinement conformé à toutes les lois, règles et réglementations applicables à tout moment ». Les deux parties ont décidé de négocier un accord afin « d’éviter les coûts de la poursuite d’une procédure, tout en garantissant une indemnisation pour les plaignants », ajoute le document. L’accord doit encore être approuvé par un juge. Le moteur de recherche avait déjà accepté en 2021 de payer 3,8 millions de dollars au ministère américain du Travail à la suite d’accusations de discriminations envers des femmes et des Asiatiques.

Accidents de la route : 4 morts et 176 blessés en 24 heures
Quatre (4) personnes sont décédées et 176 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus ces dernières 24 heures dans plusieurs wilayas du pays, indique lundi un bilan de la Protection civile. Les plongeurs de la Protection civile sont intervenus, durant la même période, pour le repêchage de 3 enfants décédés par noyade dans des réserves d’eau à Aïn Defla, Annaba et Mostaganem. Les éléments de la Protection civile sont intervenus, d’autres part, pour l’extinction de 5 incendies urbains et divers, à travers les wilayas d’Alger, Oum El-Bouaghi, Tébessa, Relizane et Djanet, ayant causé le décès d’une personne suite à un incendie dans la wilaya de Relizane.
À Sétif, une femme est décédée asphyxiée par le monoxyde de carbone, à l’intérieur d’une habitation à Souk El-Thenine, alors que des soins de premières urgences ont été prodigués à 4 autres personnes incommodées par le monoxyde de carbone à travers les wilaya de Sétif et de Médéa.

Une vague de chaleur asphyxie l’Espagne
Une vague de chaleur asphyxiait lundi l’Espagne, un épisode « anormal » à cette époque de l’année signe du « réchauffement climatique », selon un expert de l’Agence météorologique espagnole (Aemet). Cet épisode caniculaire, qui survient après le mois de mai le plus chaud depuis au moins 100 ans en Espagne, va se traduire par « des températures extrêmes » et « pourrait durer jusqu’à la fin de la semaine », a décrit Ruben del Campo, porte-parole de l’Aemet, cité par l’AFP. Selon lui, les températures dépasseront les « 40 degrés » Celsius en journée dans de nombreuses villes espagnoles et resteront élevées la nuit, « au-delà des 20 ou 22 degrés ». Le météorologue avertit que le phénomène, « pas circonscrit à la péninsule ibérique », arrivera dans d’autres pays européens, comme en France ces prochains jours.
« Cette chaleur extrême, à ce moment du printemps, n’est pas normale » et est due au « réchauffement climatique », analyse Ruben del Campo. Sur les 10 derniers mois, l’Espagne a traversé quatre épisodes de températures extrêmes: une canicule en août durant laquelle des records ont été battus (47,4 degrés à Montoro, dans le sud du pays), des températures « exceptionnellement hautes » entre décembre et le jour de l’an, la vague de chaleur de mai, et désormais celle-ci. Le mercure pourrait grimper jusqu’à 43 degrés en Andalousie (sud), notamment à Cordoba ou Séville, selon l’Aemet.

Constantine: saisie de plus de 170 000 unités de psychotropes et arrestation de 8 individus
La brigade mobile de la police judiciaire « Palma » de Constantine est parvenue, en collaboration avec ses partenaires sécuritaires, à saisir une quantité de psychotropes dépassant les 170 000 unités, et l’arrestation de 8 individus, a indiqué dimanche un communiqué des services de la sûreté de wilaya.
Selon le document, l’opération qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre toutes les formes de criminalité, fait suite à l’exploitation de renseignements faisant état de l’existence d’une activité suspecte d’un réseau criminel qui transporte et procède au stockage de médicaments pharmaceutiques et psychotropes sur le territoire de la wilaya de Constantine, et dont l’activité s’étend à l’extérieur de la wilaya, dans le cadre d’une association criminelle organisée, précisant qu’après l’intensification des investigations, les membres de ce groupe criminel ont été identifiés. La même source a ajouté que suite à l’élaboration d’un plan d’action, 4 individus, âgés entre 31 et 54 ans ont été arrêtés à bord d’un véhicule, précisant que les mis en cause ont été conduits par la sui te au siège de la brigade pour finaliser les procédures juridiques nécessaires.
Après la fouille du domicile du principal suspect, les services de sécurité ont découvert une quantité de psychotropes estimée à 57 830 capsules de différents catégories et une somme d’argent issue probablement des revenus de ce trafic, selon le communiqué. L’enquête a permis également l’arrestation de 4 autres individus faisant partie de ce réseau criminel et la saisie d’une autre quantité de psychotropes estimée à 116 700 capsules, après une fouille opérée au sein d’une société, a indiqué la même source.
Le communiqué a précisé, dans ce contexte, que l’opération a donné lieu à la saisie d’une quantité de psychotropes globale dépassant les 170 000 unités, en plus de deux véhicules utilisés dans le transport de cette marchandise prohibée, une somme d’argent et des téléphones portables. Après l’achèvement de l’enquête, un dossier pénal a été élaboré à l’encontre des concernés qui ont été présentés devant le parquet local pour « détention, transport et stockage, obtention et achat pour vendre illégalement des médicaments pharmaceutiques à caractère psychotrope, à l’aide d’un véhicule à moteur dans le cadre d’une association criminelle organisée », a conclu le communiqué.

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