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JOURNÉE MONDIALE DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE : Le wali d’Alger honore les représentants des médias

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À l’occasion de la Journée mondiale de la Liberté de la presse, le wali d’Alger, Abdenour Rabhi, a honoré les représentants des médias algériens dont le quotidien Le Courrier d’Algérie, et ce en présence des walis délégués de la Capitale. Lors de son allocution, Rabhi a indiqué que cette célébration est une considération et reconnaissance des sacrifices des professionnels du métier. “Ils ont fait des sacrifices pendant la Guerre de Libération nationale, après l’indépendance et notamment pendant la décennie noire, et la crise sanitaire” a-t-il-affirmé en rappelant le travail difficile des journalistes pendant la décennie noire et la pandémie de Covid-19. Dans ce cadre, le wali a affirmé l’accompagnement continu des services de la wilaya aux journalistes. “ Les portes de la wilaya restent ouvertes à nos journalistes pour leur faciliter la tâche à arriver à l’information”, a affirmé, jeudi, le wali d’Alger.
Par ailleurs une conférence de presse a été organisée en présence des professionnels du métier pour débattre de la réalité de la presse en Algérie. Dans son intervention, le professeur à l’université d’Alger 3 a évoqué le développement des médias à l’aune des nouvelles technologies et des réseaux sociaux, insistant sur l’honnêteté, le professionnalisme et la transparence dans le travail journalistique pour transmettre l’information tout en respectant l’éthique du métier. De son côté, le journaliste sportif, Mourad Boutadjine, a évoqué, lors de son intervention, la presse sportive connue depuis la révolution par l’équipe sportive du FLN, invitant les directeurs des médias à encadrer et accompagner les journalistes notamment par les formations continues. Également la rectrice de la faculté d’Alger 3, Malika Atoui, a salué la volonté de l’État pour améliorer le secteur, notamment à travers l’élaboration de la loi sur l’information, affirmant que les médias représentent l’identité de l’État. Pour ce faire, elle a appelé à une presse forte.
Sarah O.

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