Par Hafidh A. Settar
Énième putsch chez le Doyen du football et néanmoins premier club à l’applaudimètre populaire.
Après six présidents consommés depuis que Sonatrach a donné de la mamelle au Mouloudia -au grand dam d’un Hannachi désespérément en dèche-, voici venir le septième -qui à vrai dire n’est que le sixième, vu qu’il est déjà passé en trombe par là-
Et, là, il y a comme un problème. D’éthique, de professionnalisme et tutti quanti !
Car c’est bien Omar Ghrib qui, en finale de la Coupe de 2013, «gifla» les officiels présents au stade, en retirant ses troupes de la cérémonie de remise de médailles. Il y a de cela seulement 3 ans, 36 misérables mois à peine, et déjà Sonatrach a oublié.
Amnésique comme noszigues, la vache laitière nationale et tellement magnanime !
«Gharib», vraiment ce feuilleton Ghrib !
H. A. S.