Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a quitté jeudi New York en direction d’Alger, après avoir participé aux travaux de la 78e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies, lancée mardi dernier.
Mission accomplie donc pour le chef d’État à l’ONU, au terme d’activités intenses et de rencontres fructueuses avec plusieurs chefs d’État du monde entier, tels que celui de la Palestine, du Ghana, de la Turquie, de l’Iran, de l’Ouganda, de la Suisse, de l’Afrique du Sud et bien d’autres encore, outre sa rencontre avec le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, ainsi que le président de la 78e Session générale des Nations unies. À New-York, Abdelmadjid Tebboune a appelé à la nécessité de réformer radicalement les principaux organes de l’ONU, a déclaré que l’Algérie ne cessera de porter les aspirations de libération des peuples africains et du monde arabe, et qu’elle n’a pas renoncé à soutenir les peuples en quête de libération, notamment palestinien et sahraoui. À son arrivée à l’aéroport international Houari Boumédiène à Alger, le président Tebboune a été accueilli par le Premier ministre Aïmène Benabderrahmane, le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, général de corps d’armée, Saïd Chengriha, et le directeur de cabinet à la présidence, Mohamed Ennadir Larbaoui. Ainsi, et dans un contexte international explosif, le chef d’État a réussi à redonner au pays une grande visibilité internationale à une Algérie aujourd’hui très courtisée d’un point de vue économique, mais également sollicitée pour son expertise dans les médiations des conflits internationaux sur le plan diplomatique.
H. S. A.
