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AG élective « bis » de la Fédération de handball : Karima Taleb élue nouvelle présidente de la FAHB

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Karima Taleb a été élue nouvelle présidente de la Fédération algérienne de handball (FAHB), lors de l’AG élective « bis », tenue hier à la salle de conférence de l’OCO Mohamed-Boudiaf (Alger). Cette deuxième AG élective a été organisée suite à l’invalidation par la Fédération internationale de handball (IHF) de celle organisée le 12 octobre dernier pour des raisons liées à l’application des nouveaux statuts de la FAHB qui n’ont pas été approuvés par la majorité (50+1) des membres de l’assemblée générale. Tenue sous la supervision du représentant de l’IHF, le tunisien Mouad Benzeyad, cette AG élective a vu la présence de 113 membres sur les 133 que compte l’AG de la FAHB. Le résultat du scrutin a donné la victoire à Mme Karima Taleb, présidente de club de Boumerdès, avec 65 voix contre 44 voix pour le deuxième candidat, Bouzid Abdelmadjid et 4 bulletins nuls.

Deux individus arrêtés et 1,5 kg de cannabis saisis dans la wilaya d’Alger
La brigade de la police judiciaire relevant de la circonscription administrative de Bir Mourad Rais a procédé à l’arrestation de deux individus suspects activant au sein d’un réseau criminel organisé, ainsi qu’à la saisie de 1,5 kg de cannabis, a indiqué vendredi un communiqué des services de sûreté de wilaya d’Alger. « Les services de sûreté de la wilaya d’Alger, représentés par la brigade de la police judiciaire relevant de la sûreté de la circonscription administrative de Bir Mourad Rais, ont traité une affaire de constitution d’une association de malfaiteurs, de détention, de trafic, de transport et de distribution de drogues au sein d’un réseau criminel organisé, avec utilisation d’un véhicule à moteur », lit-on dans le communiqué qui ajoute que « des armes blanches prohibées sans justificatif légal, ont été également saisis ». « Deux individus suspects, âgés entre 52 et 59 ans, des repris de justice et issus de la wilaya d’Alger, ont été arrêtés, avec saisie de 1,5 kg de drogues de type cannabis, huit comprimés psychotropes, 395,700 millions de centimes provenant du trafic, cinq armes blanches prohibées, deux téléphones portables et un véhicule », indique le communiqué. Après parachèvement des formalités légales, les mis en cause a été présentés devant le parquet territorialement compétent, conclut le communiqué.

Saisie de prés de 15 000 capsules de psychotropes à Hassi-Messaoud
Les services de la sûreté de wilaya d’Ouargla ont interpellé un présumé trafiquant de drogue en possession de 14.998 capsules de psychotropes à Hassi-Messaoud (80 km du chef-lieu de wilaya), a-t-on appris hier auprès de la cellule de la communication et des relations publiques de la sûreté de wilaya.
Agissant sur informations faisant état d’un individu s’adonnant au trafic de drogue sur leur territoire de compétence, les éléments de la 2ème sûreté urbaine de la daïra de Hassi-Messaoud ont mis en place un dispositif d’investigation, qui s’est soldé par l’arrestation du suspect principal à bord d’un véhicule commercial, a-t-on indiqué. La fouille du véhicule a abouti à la découverte de la quantité de psychotropes précitée, soigneusement dissimulée dans une boite en carton, ainsi que d’un montant estimé à 180.000 DA, issu du trafic de drogue, a-t-on ajoute de même source.
Après achèvement des procédures en vigueur, le mis en cause sera présenté devant les juridictions compétentes, pour possession illégale et transport de produits pharmaceutiques ayant des propriétés psychotropes, dans le cadre d’une bande criminelle organisée.

9 300 enfants palestiniens arrêtés par les forces sionistes depuis 2015
Pas moins de 9 300 enfants palestiniens de moins de 18 ans ont été arrêtés par les forces de l’occupation sionistes depuis 2015, indique samedi le Club des prisonniers palestiniens. A l’occasion de la Journée internationale de l’enfant, correspondant au 20 novembre de chaque année, le club affirme que, depuis le début de cette année 2022, « l’armée sioniste a arrêté environ 750 enfants, portant à 9.300 le nombre de Palestiniens de moins de 18 ans arrêtés depuis 2015, dont 160 sont toujours en détention ». Il souligne qu’il y avait des blessés parmi les détenus, « qui ont été tués avant et pendant leur arrestation ». Le club a déclaré que parmi les enfants toujours en détention se trouvaient 3 filles et 5 enfants en détention administrative (sans inculpation). La source ajoute également que l’entité sioniste leurs impose « toutes les formes d’abus systématiques, y compris la torture ».

11 morts et 292 blessés sur les routes ces dernières 48 heures
Onze (11) personnes ont trouvé la mort et 292 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus ces dernières 48 heures à travers plusieurs wilayas du pays, a indiqué hier un communiqué de la Protection civile. Par ailleurs, une mère âgée de 23 ans et son bébé de 4 mois sont décédés par asphyxie au monoxyde de carbone émanant d’un chauffage à Aris dans la wilaya de Batna, alors que le mari de la défunte, également incommodé par ce gaz toxique, a été secouru par les éléments de la Protection civile, précise la même source. Les équipes de la Protection sont également intervenues pour prodiguer des soins de première urgence à huit (08) personnes incommodées par le monoxyde de carbone émanant des appareils de chauffage et chauffe-bain à l’intérieur de leurs domiciles respectifs dans les wilayas de Annaba, Mostaganem, Batna et Bordj Bou Arreridj. En ce qui concerne les intempéries des dernières 24 heures, les éléments de la Protection civile ont été sollicités, au niveau des wilayas d’Alger, Oran, Tizi-Ouzou et Tipaza suite notamment aux chutes d’arbres et de pierres

La sécheresse extrême aggrave la faim dans la Corne de l’Afrique
La sécheresse extrême aggrave la faim dans la Corne de l’Afrique, qui est également en proie à des conflits, a averti le Programme alimentaire mondial (PAM). Le PAM a déclaré dans sa dernière mise à jour de la situation régionale publiée jeudi soir que dans la Corne de l’Afrique, principalement à Djibouti, en Ethiopie, au Kenya et en Somalie, quelque 22 millions de personnes étaient actuellement confrontées à une grave crise de la faim après quatre saisons des pluies consécutives ratées. « Il est alarmant de constater que ce chiffre devrait augmenter, une cinquième mauvaise saison des pluies étant prévue d’ici la fin de l’année », a encore averti le PAM. Selon ce dernier, les perturbations de l’approvisionnement en céréales et la hausse des prix causée par la crise en Ukraine ont poussé de plus en plus de personnes au bord du gouffre, dans des régions déjà éprouvées par la montée en flèche des coûts résultant de l’intersection du changement climatique, des conflits et de la pandémie de Covid-19. « Nous n’avons pas le luxe de nous concentrer uniquement sur ce qui doit être fait aujourd’hui », a déclaré Mi chael Dunford, directeur régional du PAM pour l’Afrique de l’Est, cité dans le communiqué.
« Nous devons également commencer à nous préparer au prochain choc – qu’il s’agisse de la prochaine sécheresse, de la prochaine inondation ou de la prochaine crise », a-t-il ajouté. En Ethiopie, les prix des denrées alimentaires n’ont jamais été aussi élevés, et ce depuis l’apogée de la pandémie de Covid-19, selon le PAM.
Les éleveurs des plaines du sud et de l’est de l’Ethiopie « ont assisté impuissants à la réduction de leur bétail à l’état de peau et d’os par un autre prédateur, la sécheresse », a déploré l’agence des Nations Unies. Quelque 3,9 millions d’enfants souffrent de malnutrition sévère en Ethiopie, soit environ la moitié de tous ceux qui souffrent de malnutrition dans la Corne de l’Afrique, selon les chiffres du PAM. « Il s’agit de la pire sécheresse, la plus sèche qu’il y ait eu depuis 40 ans. Nous entrons donc dans une toute nouvelle phase du changement climatique », a déclaré M. Dunford.
Le PAM a également indiqué que les pénuries extrêmes de nourriture et d’eau avaient tué environ sept millions de têtes de bétail dans la Corne de l’Afrique, mettant en péril les moyens de subsistance des éleveurs, qui en dépendent pour leur alimentation et leurs revenus. « Les écosystèmes fragil es dans lesquels ils vivent et le mode de vie que ces terres ont permis d’entretenir pendant des générations s’effondrent progressivement en raison de schémas climatiques erratiques », a-t-il averti.

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