• Finalement, les « zones d’ombre » doivent impérativement être placées sous les sunlights.
• Oui, une souffrance anonyme, secrète, n’en est pas une. Elle n’existe qu’au travers de la perception que nous en avons-nous-mêmes. Les pires drames, comme la disparition totale des dinosaures durant la dernière glaciation n’est qu’un phénomène électromagnétique il aurait pu en être pareil avec les deux bombes atomique d’Hiroshima et de Nagasaki si l’Histoire n’avait pas enregistré ces drames, afin de les placer sous la lumière, de faire en sorte qu’ils ne soient jamais reclus dans leurs « zones d’ombre ». quelconque.
• La souffrance de ces zones, ignorée jusque-là, cessera d’être anonyme, mais se fera en revanche, plus vive, et plus vivace.
• Pas seulement pour les concernés, pour nous tous également.
• Finalement, mettre ses blessures à l’ombre peut servir à en atténuer les douleurs.
• Creuser la terre d’une seule main en écorchant ses doigts est une sorte de convocation de la lumière. Inutile de cacher, de casser, la lumière avec un tamis la lumière est. La lumière sera.
• De la discussion jaillira quoi, qui ?
• Wana aâreft
M. A.
