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Sûreté nationale : près de 30 000 policiers en renfort au cours des cinq dernières années

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Les rangs de la Sûreté nationale ont été renforcés au cours des cinq dernières années par près de 30.000 policiers à la faveur de sorties des promotions des différentes écoles de police et centres de formation à travers le territoire national. Ainsi, 29 876 policiers dont 5 004 lieutenants de police (257 femmes), 4 048 inspecteurs de police dont 297 femmes et 20 824 agents de police, dont 2 202 femmes, ont été formés durant la période allant de 2010 au premier trimestre 2015. Le général-major Abdelghani Hamel, directeur général de la Sûreté nationale, qui a présidé 28 cérémonies de sortie de promotion avait indiqué que l’intérêt accordé par la DGSN à la formation était dicté par la réalité de l’environnement national et régional qui exige une couverture sécuritaire exemplaire à travers chaque secteur de compétence des services de police. L’objectif est de satisfaire les besoins de la société et assurer la paix et la quiétude et, par conséquent, contribuer au processus de développement national. Les stages de formation suivis par les nouveaux éléments de la police tous grades confondus sont le fruit d’une étude approfondie qui prend en compte les besoins, les méthodes, les infrastructures de communication, le contrôle et l’évaluation en vue d’améliorer et moderniser les compétences de ces derniers. La formation fondamentale ne concerne pas les bénéficiaires de la formation continue et spécialisée qui englobe des concours pour la promotion des grades et différentes spécialités dont la lutte contre la cybercriminalité, la police scientifique et technique, la vérification de l’authenticité des documents (passeports…), la lutte antidrogue et le trafic…

Aeromobil espère commercialiser sa voiture volante en 2017
La firme slovaque Aeromobil ambitionne de commercialiser son prototype de voiture volante, actuellement en cours d’homologation, dès 2017, affirme le porte-parole de la marque lors du salon Top Marques à Monaco. « Nous en sommes seulement au début du processus d’homologation », a expliqué à la presse le porte-parole de la marque, Stefan Vadocz: « Il pourrait être assez long, car il s’agit à la fois d’une voiture et d’un avion ». « Mais d’ores et déjà, le prototype fonctionne, il compte sept heures de vol et son moteur a déjà 40 heures de fonctionnement », a-t-il aussi souligné. En position automobile, sur route, les ailes de ce véhicule biplace long de six mètres se replient. L’atterrissage, lui, s’effectue sur quatre roues. Ce n’est certes pas la première fois qu’un projet de voiture volante est mis au point, reconnaissent ses concepteurs, mais la firme Aeromobil espère réussir à dépasser le stade du simple prototype pour passer à une commercialisation en série une fois la certification obtenue. Le modèle pourrait être commercialisé aux alentours d’un million d’euros, ajoute la même source. Le premier vol d’essai de l’Aeromobil a eu lieu en septembre 2013. En vol, l’appareil peut atteindre environ 200 km/h et a une autonomie de 700 km.

Séminaire euro-méditerranéen sur le traitement de substitution aux opiacés mardi à Alger
Un séminaire euro-méditerranéen sur le traitement de substitution aux opiacés (TSO) et la réduction des risques, se tiendra mardi à Alger,a indiqué l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLCDT). Organisé par l’ONLCDT en collaboration avec le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, et le réseau MedNet, cette rencontre vise particulièrement à mener une réflexion sur les meilleures modalités d’introduction du traitement de substitution aux opiacés dans le système de soins en Algérie.Il s’agit également de « s’informer sur les expériences, les difficultés rencontrées et les résultats obtenus dans certains pays européens en matière du TSO et de mise en œuvre de la politique de réduction des risques ». Les participants se pencheront, en outre, sur l’opportunité et les meilleures modalités d’introduction du traitement de substitution aux opiacés dans le système national de soins et sur les modalité de prise en charge et de suivi des patients, candidats au traitement de substitution aux opiacés. Cette rencontre verra la participation de spécialistes dans la prévention contre la drogue, de représentants des services de lutte (Gendarmerie nationale et DGSN) ainsi que des représentants des départements ministériels concernés. Le séminaire réunira également des représentants et experts parmi les pays membres du réseau MedNet, notamment, l’Egypte, la France, l’Italie, le Liban, le Portugal et la Tunisie.

Un ancien footballeur brésilien avoue avoir vendu sa médaille pour de la cocaïne
L’ancien footballeur brésilien Paulo César a vendu sa médaille de champion du monde remportée au Mexique en 1970 et une réplique du trophée pour acheter de la cocaïne, a-t-il avoué dans un reportage télévisé. « Je n’avais pas de contrôle émotionnel. Jamais je n’aurais dû négocier et vendre une médaille si précieuse. C’est une perte énorme! Je ne l’ai jamais dit à personne, mais maintenant je vais me confier », déclare l’ex-joueur, 65 ans. « Le plus important pour moi, c’était la cocaïne. La médaille l’était moins », a-t-il ajouté. Paulo César, révélé au Botafogo à la fin des années 1960 et qui a également porté les maillots de Flamengo, Fluminense, Gremio, Vasco de Gama et des Corinthians, a affirmé que son addiction aux drogues et à l’alcool, qui a duré 17 ans, lui avait fait perdre trois appartements à Rio de Janeiro. Sa forte dépendance a commencé en France, où il a joué à Marseille en 1974-75 puis à la fin de sa carrière à Aix-en-Provence (1982-83), et où un docteur l’avait averti qu’il mourrait rapidement s’il continuait à ce rythme.

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