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Stallone prépare-t-il sa reconversion politique aux côtés de Donald Trump?

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Sylvester Stallone a refusé la direction du Fonds national pour les arts proposée par Donald Trump. Mais n’exclut pas de travailler avec le nouveau président des États-Unis
Le célèbre acteur américain a décliné la proposition du nouveau président des États-Unis. Toutefois, il admet «adorer» le magnat de l’immobilier et ne ferme pas la porte à un autre poste au sein du gouvernement.
Rocky Balboa, Monsieur Culture des États-Unis? C’était l’idée de Donald Trump. Le président élu des États-Unis a fait une offre à l’acteur Sylvester Stallone. Il lui a demandé de prendre la tête du National Endowment of the Arts, le Fonds national pour les arts. Une proposition étonnante, la star étant dénuée de toute expérience politique.
Mais l’interprète mythique de Rambo a préféré décliner cette proposition, comme le rapporte le New York Times ce lundi 19 décembre. La veille, l’acteur se disait «incroyablement flatté» mais admettait qu’il se verrait plus «efficace» en aidant les vétérans.
C’est le Daily Mail qui affirmait dès le 15 décembre dernier que Donald Trump avait approché l’homme de 70 ans pour un poste «lié à l’art» dans son administration. Le milliardaire souhaitait en effet que Stallone dirige l’organisme qui subventionne les artistes et les institutions artistiques du pays. Lucide, l’acteur de Rocky en a convenu: la mission n’était pas vraiment dans ses cordes. Ce qui ne l’empêche pas de se dire intéressé par une mission gouvernementale. Interrogé par le magazine Variety, Stallone a confié «adorer Donald Trump», qu’il «considère comme un personnage de Dickens».
Si cette passion devait se concrétiser politiquement, Arnold Schwarzenegger, autre vieille gloire des films d’action hollywoodiens, aurait alors un sérieux concurrent sur sa route.

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