Le président français, François Hollande , est attendu ce lundi à Alger pour une courte visite de travail a confirmé hier le porte-parole de l’Elysée qui présentait cette visite lors d’un briefing de presse. Ce voyage en Algérie du président français, annoncé depuis plusieurs semaines, même s’il ne durera que quelques heures n’ en a pas moins d’importance pour les relations privilégiées établies désormais entre les deux pays et la qualité exceptionnelle qui préside aux entretiens Bouteflika Hollande .Le chef d’État français arrivera en début d’après midi à Alger et entamera directement des entretiens avec son homologue Abdelaziz Bouteflika , avant de rencontrer des chefs d’entrepriseS en fin d’après-midi. La rencontre sera suivie d’une conférence de presse que donnera l’hôte de l’Algérie à l’hôtel El Aurassi. Le soir, François Hollande participera à un dîner offert par le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, puis prendra le départ à 22 h. Ce voyage de Hollande en Algérie, le deuxième depuis sa visite d’État effectuée en décembre 2012, vient couronner une série de visites effectuées par des membres du gouvernement français, notamment Laurent Fabius, Emmanuel Macron, ministre de l’Économie pour signer ou inaugurer plusieurs projets de partenariat. Le déplacement de Hollande devrait booster ces projets et baliser le terrain à d’autres.L’ambassadeur de France en Algérie rappelait tout récemment que la relation économique est devenue un élément central structurant de la relation bilatérale entre l’Algérie et la France. Il a annoncé, à ce propos, la prochaine réunion du Comité intergouvernemental de haut niveau, présidé par les deux Premiers ministres, à Alger, «sans doute début 2016». Bernard Emié ciblera, par ailleurs, la multiplication des rendez-vous bilatéraux depuis la visite d’État de décembre 2012 du président français en Algérie, ce qui a permis, selon lui, de déployer toute une palette d’outils au service du partenariat économique «que nous souhaitons construire avec l’Algérie». Bernard Emié s’exprimait à l’occasion de l’assemblée générale annuelle de la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française (CCIAF). «La visite qu’accomplira le président de la République le 15 juin prochain illustre la force des liens d’amitié entre nos deux pays», a, par ailleurs, déclaré l’ambassadeur de France qui affirme que les contacts ministériels sont constants. C’est ainsi que le ministre du Commerce, Benyounès, était à Paris jeudi dernier pour le lancement de la branche française de la Caci. Par ailleurs, la mission spécifique confiée à Jean-Louis Levet pour développer les partenariats industriels et technologiques et la nomination de Jean-Louis Bianco, comme représentant spécial pour les relations franco-algériennes consacrent du volet économique de cette relation. Au plan politique la visite du président Hollande, qui intervient quelques jours après de notables avancées constatées sur les dossiers malien et libyen et au lendemain d’un séminaire à Paris sur la lutte contre la menace Daesh en Méditerranée, porter a également sur les questions de sécurité. La convergence de vues d’Alger et de Paris sur les grandes questions , dans la région du Margheb et au Sahel sera confirmée . Cette convergence de vue devrait peser sur l’avancée du processus de négociation inter-libyen mais aussi sur la finalisation de l’accord inter-malien. L’option de travailler de concert pour stabiliser la Libye a été retenue de longue date, mais les récents mouvements des troupes de Daesh en Libye ont rendu plus qu’urgente une forte intervention diplomatique algéro-française pour accélérer le processus de dialogue et aboutir le plustôt possible à un gouvernement d’union nationale crédible et surtout viable, et assez puissant pour faire face au terrorisme de Daesh. Par ailleurs il n’est pas exclu de lancer à partir d’Alger une initiative euro-maghrébine, pour favoriser des actions communes entre les deux rives de la Méditerranée pour freiner la crise humanitaire qui voit déferler des dizaines de milliers de migrants sur les côtes italiennes. L’approche européenne qui consiste à répartir le poids sur l’ensemble des pays de l’UE n’est que temporaire.
M. Bendib
Espérant que cette fois ci le Président Français va apporter une solution concrète et définitive au projet contradictoire : Renault-Algerie.
L’étude de ce projet a été faite à la légère, décide’ sur un coup de tête, sans aucune prévision ni simulation technique `a court, moyen et long terme.
Tout le monde se demande comment la France se permet le luxe de saboter ses usines ou plutôt complexes de Turquie, Maroc et Egypte, qui se trouvent dans la même zone géographique.
Le projet Algérie est un parasite ou virus qui risque de provoquer une catastrophe aux conséquences multiples dans la région.
Conçu, hors normes de toute stratégie industrielle, du 21 ieme siècle. Sans consultations des experts nationaux, en la matière, ni avis du consommateur et dépourvu de toute prévision technico-commerciale. Ce projet n’a aucune chance de réussir. Ce n’est qu’une perte de temps pure et simple. Tout le monde se demande sur quelle base a été conçu, ce projet stérile, qui n’est en faite d’aucune utilité ni pour l’Algérie ni la France non plus.
Il est de l’intérêt de la France d’équilibrer sa politique mécanique dans la région du Maghreb.
Qui revêt un INTERET STARTEGIQUE et ECONOMIQUE, d’une importance spécifique pour la France.
Personne ne peut se permettre de saboter les relations particulières, qui unissent cette région à la France a cause d’une petite usinette, sans aucune importance ni chance de survie. De toute façon elle est condamné a disparaître tôt ou tard. Vaut mieux s’en débarrasser avant que la catastrophe se produise.
La France a deux possibilités judicieuses qui lui permettent de garder son leadership économique et politique, dans la région.
1- Donner l’exclusivité Renault au Maroc (complexe déjà existant dont la productivité est en mesure de couvrir tout le Maghreb)
2- Proposer Peugeot a l’Algérie avec la même exclusivité
Cette stratégie équilibre’ permettra a La France de promouvoir d’autres industries dans la région toute en s’assurant de sa stabilité politique et économique, a` long terme.
PS :Je m’excuse pour les fautes de frappe.
correction:
Espérant que cette fois ci, le Président Français en visite en Algérie, va apporter une solution concrète et définitive dans ses valises,au projet contradictoire : Renault-Algerie.
L’étude de ce projet a été faite à la légère, décide’ sur un coup de tête, sans aucune prévision ni simulation technique `a court, moyen et long terme.
Tout le monde se demande comment la France se permet le luxe de saboter ses usines ou plutôt complexes de Turquie, Maroc et Egypte, qui se trouvent dans la même zone géographique.
Le projet Algérie est un parasite ou virus qui risque de provoquer une catastrophe aux conséquences multiples dans la région.
Conçu, hors normes de toute stratégie industrielle, du 21 ieme siècle. Sans aucune consultation des experts nationaux, en la matière, ni avis du consommateur et dépourvu de toute prévision technico-commerciale. Ce projet n’a aucune chance de réussir. Ce n’est qu’une perte de temps pure et simple. Tout le monde se demande sur quelle base a été conçu, ce projet stérile, qui n’est en faite d’aucune utilité ni pour l’Algérie, ni la France non plus.
Il est de l’intérêt de la France d’équilibrer sa politique mécanique dans la région du Maghreb.
Qui revêt un INTERET STARTEGIQUE et ECONOMIQUE, d’une importance spécifique. Personne ne peut se permettre de saboter les relations particulières, qui unissent cette région à la France, a` cause d’une petite usinette, sans aucune importance, ni chance de survie. De toute façon elle est condamné a disparaître tôt ou tard. Vaut mieux s’en débarrasser avant que la catastrophe ne se produise.
La France a deux possibilités judicieuses qui lui permettent de garder son leadership économique et politique, dans la région.
1- Donner l’exclusivité Renault au Maroc (complexe déjà existant dont la production est en mesure de couvrir tout le Maghreb)
2- Proposer Peugeot a` l’Algérie avec la même prérogative.
Cette stratégie équilibrée permettra a` La France de promouvoir d’autres industries dans la région tout en s’assurant de sa stabilité politique et économique, a` long terme.
Il est dans l’intérêt stratégique de la France de promouvoir la complémentarité industrielle, au lieu de la rivalité absurde.
Il est temps que les algériens apprennent a raisonner avec les principes, au lieu de l’argent.
L’argent s’en va, les faits restent.
Lors de sa dernière visite en Algérie, Le Président Français annonce l’implantation bientôt d’une usine Peugeot en Algérie !
Peut-être le Ministre de l’industrie Français peut apporter des éclaircissement a` l’article suivant.
PSA Peugeot Citroën créerait une usine d’assemblage de voitures au Maroc
Larbi Amine – publié le Jeudi 21 Mai 2015 à 21:46 (Lemag.ma)
Paris : Le constructeur automobile français, PSA Peugeot Citroën officialiserait son annonce le mois prochain.
PH autocar
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En effet, PSA Peugeot Citroën a prévu d’implanter au Maroc, une usine d’assemblage de voitures.
Selon le site économique américain, Bloomberg, la future usine commencerait petite pour après se développer en volume et en élargissement et en diversification de ses marchés.
Ainsi, au contraire de Renault, qui possède à Tanger, une usine géante qui produit plusieurs centaines de milliers de véhicules par an, lesquels sont destinés majoritairement à l’export vers l’Europe, PSA Peugeot Citroën commencerait au royaume, par une petite usine d’une capacité de production de 100.000 véhicules, qui seraient destinés exclusivement aux marchés maghrébins.
Le constructeur automobile français indiquerait que sa future usine marocaine fabriquerait des véhicules de segment B et C, celui de la 208 et de la 308.
Selon Bloomberg, ce projet d’usine au Maroc pourrait être officialisé par PSA Peugeot Citroën, dès juin prochain.
Reamrque: On ne peut pas conduire 2 motos a` la fois.
On revient donc a l’ancien adage……. Tu goule ou tu goule pas ?
……. Lire:
Peut-être le Ministre Français de l’industrie peut apporter des éclaircissements a` l’article suivant.
…….. Lire:
– ……… ……. Tu goules ou tu goules pas ?
Pour Le responsable de cette nouvelle direction, Jean-Christophe Quémard
Si le gouvernement Français a bien l’intention d’installer une usine Peugeot aux normes internationales en Algérie, qu’il soit le bienvenu.
1- La première condition de réussite de ce projet est l’élimination pure et simple de Renault Algérie. Ceci, implique l’exclusivité’ inconditionnelle de Renault au Maghreb.
C’est déjà la fierté’ de tous les Maghrébins.
2- l’étude de faisabilité de la future usine Peugeot Algérie doit jouir des mêmes prérogatives.
3- Il serait judicieux d’associer a l’étude de faisabilité des experts algériens, qui maîtrisent leurs sujets tels que :
a- L’économiste Docteur Mebtoul …………………………………………….. USMA Annaba
b- L’expert en industrie Automobile. Monsieur IADADENE Mohamed ……… JSK
Le derby s’annonce déjà comme une rencontre de haut niveau technique et intellectuelle.
Que le meilleur gagne.
Reamrque: On ne peut pas monter 2 motos a` la fois.
PSA va produire au Maroc 90.000 véhicules par an
Automobile PSA Peugeot Citroën affiche ses ambitions sur le continent africain où il a vendu 169.000 voitures en 2014. (Crédits : © Darley Shen / Reuters) latribune.fr | 19/06/2015, 18:47 – 408 mots Le constructeur français PSA Peugeot Citroën a annoncé l’ouverture d’une usine au Maroc, à Kénitra, à l’horizon 2019. Avec ce retour en Afrique, PSA souhaite rattraper son retard sur son concurrent Renault-Nissan, implanté au Maroc depuis 2012.
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Fin mars, le directeur de la zone Afrique-Moyen-Orient du groupe automobile, Jean-Christophe Quémard confiait au journal Les Echos le projet d’une usine en Afrique subsaharienne: « Nous réfléchissons à une implantation industrielle. Rien n’est décidé, c’est une hypothèse de travail. L’objectif serait d’alimenter le marché africain ». Mais cette fois, la rumeur qui courait est devenue officielle.
A l’occasion d’un comité paritaire stratégique à Paris, le groupe a annoncé qu’il devrait s’implanter au nord de Rabat pour produire 90.000 véhicules par an dès 2019, ont rapporté plusieurs sources syndicales à l’AFP. En fonction de l’évolution des ventes, le constructeur automobile se réserve « la possibilité de passer à 200.000 » véhicules, d’après les mêmes sources syndicales.
Des véhicules produits au Maroc à destination du continent africain
Arrivé à la tête du groupe en avril 2014, Carlos Tavares, avait fait des « nouveaux pays en croissance » -en Afrique ou dans le bassin méditerranéen-, une des priorités de son plan stratégique « Back in the Race ». PSA souhaite saisir les « opportunités de développement » dans cette géographique où les prévisions de marché sont de 8 millions d’immatriculations en 2025. En 2014, le groupe y a vendu plus de 169.000 véhicules, soit 5,8% de ses ventes mondiales.
Le groupe prévoit « la fabrication de moteurs sur place » et la production de voitures de segments B (berline) et C (citadines). Ce seront des « remplaçantes de la 301 et de la C-Elysée, qui sont fabriquées pour le pourtour méditerranéen », détaille Jacques Mazzolini de la CFE-CGC. Ces deux modèles constituent les « best-sellers » de PSA en Afrique et au Moyen-Orient. Ainsi, la berline 301 est vendue en Chine, en Asie du Sud-Est, au Moyen-Orient, et en Afrique, où PSA commercialise depuis l’année dernière ce modèle grâce à un accord passé avec une société nigériane.
Des emplois menacés en France ?
Si la direction a assuré aux syndicats que le gouvernement (premier actionnaire de PSA) « accompagnerait très favorablement » ce projet industriel, car il n’était « pas porteur de menaces sur l’emploi et l’industrie en France », précise Jacques Mazzolini de la CFE-CGC, la CGT, de son côté, est beaucoup plus sceptique sur l’issue du projet. « La direction, comme à son habitude, essaiera de justifier ses coups portés aux salariés (en France et ailleurs) par une mise en concurrence des différentes usines à travers le monde », estime la CGT dans un communiqué.
Conclusion:
Excellente dernière nouvelle pour le peuple algérien, ses derigeants et ses gouvernants.
C’est l’opération ‘ grand-Mahchi # 2’
On ne cesse de faire tourner le peuple algérien, en bourrique depuis 1962 et de glorifier le ridicule. Un fantasme antique des Messoulines et leur descendance avec la même caractérologie heriditaire. Mais tout le monde sait que le peuple algérien n’est pas dupe a` ce point et qu’il mérite amplement mieux, que cette série de sottises injustifiée.
Maintenant tout le monde sait qui est derrière, la construction de la 3 grande mosquée a` Alger,le Metro,qui ne règle rien en définitive au lieu d’une nouvelle capitale neuve a l’interieur du pays. L’Arabisation forcée plutôt le plan de l’abrutisation du peuple algérien qui n’arrive même pas a réfléchir logiquement afin de prendre sa destinée en main. L’autoroute Est-Ouest, qui n’est d’aucune efficacité ce n’est que du gaspillage planifie au lieu de renforcer les ressources en eau, qui font un défaut chronique a` l’Algérie.
Voila ou` mène l’excès de zèle, et l’orgueil mal place’. On se retrouve devant un dilemme : La conception de l’Algérie par les Algeriens ( ? ) et celle des sujets algériens.
Dites-moi mais a quoi sert la Démocratie ?
correction de la conclusion:
Excellente dernière nouvelle pour le peuple algérien, ses derigeants et gouvernants.
C’est l’opération ‘ grand-Mahchi # 2’
On ne cesse de faire tourner le peuple algérien, en bourrique depuis 1962 et de glorifier le ridicule. Un fantasme antique des Messoulines et leur descendance avec la même caractérologie heriditaire. Mais tout le monde sait que le peuple algérien n’est pas dupe a` ce point et qu’il mérite amplement mieux, que cette série de sottises injustifiées.
Maintenant tout le monde sait qui est derrière, la construction de la 3 grande mosquée a` Alger,le Metro,qui ne règle rien en définitive, au lieu d’une nouvelle capitale neuve a` l’interieur du pays. L’Arabisation forcée plutôt le plan de l’abrutisation du peuple algérien qui n’arrive même pas a réfléchir logiquement afin de prendre sa destinée en main. L’autoroute Est-Ouest, qui n’est d’aucune efficacité ce n’est que du gaspillage planifie au lieu de renforcer les ressources en eau, qui font un défaut chronique a` l’Algérie.
Voila ou` mène l’excès de zèle, et l’orgueil mal place’. On se retrouve devant un dilemme : La conception de l’Algérie par les Algeriens ( ? ) et celle des sujets algériens.
Dites-moi mais a quoi sert la Démocratie ?
Pour garantir la stabilité’ de la région et promouvoir son émancipation économique et politique. Il serait judicieux d’encourager la complémentarité’ industrielle, au lieu de la rivalité’ absurde.
Qui se traduit par la signature d’une convention ou traite’ de non duplication des mega-projets industriels, entre les trois pays concernes’.
Exemple, si Renault existe déjà au Maroc, ce n’est plus la peine de le dupliquer. Les autres pays de la région sont libres de lancer leur industrie automobile par politesse, ils n’ont qu’à choisir une autre marque. Ce n’est comme même pas la fin du monde ni la mer a` boire.
. Pour mieux comprendre la sentence de Peugeot ou de Renault les algériens doivent d’abord essayer d’appréhender quels sont les facteurs qui influencent une décision économique.
Afin de garantir la stabilité’ de la région et promouvoir son émancipation économique et politique. Il serait judicieux d’encourager la complémentarité’ industrielle, au lieu de la rivalité’ absurde.
Qui se traduit par la signature d’une convention ou traite’ de non duplication des mega-projets industriels, entre les trois pays concernes’.
Peugeot ou Renault sont libres de s’installer la` ou` ils veulent, selon leurs propres intérêts. Il y’a plusieurs facteurs qui influencent sur une décision économique. De même que le choix du partenaire et du site ne sont pas fortuits. Ils doivent répondre scrupuleusement à plusieurs critères bien définis techniquement, politiquement, économiquement et sociologiquement.
Le Maroc a fait beaucoup, moins d’erreurs avec la France que l’Algérie.
Les algériens n’ont qu’à comptabiliser le nombre de fautes qu’ils ont commis avec la France dont certaines sont d’une gravite’ impardonnable. Tout dépend de l’opinion publique française, si elle arrive a pardonner et a se réconcilier avec la société algérienne. L’humanisme doit passer avant tout, les usines et le reste, ce n’est que de l’accessoire.