Accueil L'EXPRESS Nouvelle pièce de monnaie de 100 DA à l’effigie d’Ali la Pointe

Nouvelle pièce de monnaie de 100 DA à l’effigie d’Ali la Pointe

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Constituée d’une couronne extérieure en acier inoxydable de couleur gris acier et d’un cœur en cupronickel serti à l’intérieur de cette couronne, de couleur jaune rosâtre, une nouvelle pièce de monnaie de 100 dinars a été émise par la Banque d’Algérie, selon le règlement portant émission et mise en circulation de la nouvelle pièce publié au journal officiel numéro 66, au centre de cette nouvelle pièce de monnaie métallique de 100 DA, ainsi que sur son avers, il est gravé le nom du martyr Ali Amar (Ali la Pointe) en langue nationale avec un triple millésime Hégirien, Grégorien et Amazigh de l’année de frappe (1443 – 2021- 2971), apposé à l’intérieur de la couronne sur la partie inférieure de la pièce.

Six décès et 371 blessés sur les routes durant les dernières 48 heures
Six (6) personnes ont trouvé la mort et 371 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus à travers plusieurs wilayas du pays, durant les dernières 48 heures, selon un bilan rendu public samedi par les services de la Protection civile. Selon la même source, les corps de trois personnes, emportées par les crues de oued Mitar, dans la commune de Boussaâda (wilaya de M’sila), ont été repêchés par les éléments de la Protection civile, mobilisés sur le lieu du drame. Il s’agit de deux hommes et un enfant, âgés respectivement de 56 ans, 41 ans et 9 ans. Durant la même période, cinq personnes sont décédées noyées dans la mer et dans des réserves d’eau au niveau des wilayas de M’sila, Tébessa, Annaba et Boumerdes. D’autre part, et dans le cadre des activités de lutte contre la propagation du coronavirus (Covid-19), les unités de la Protection civile ont effectué, durant les dernières 48 heures, 174 opérations de sensibilisation à travers le territoire national, rappelant aux citoyens la nécessité du port de la bavette, le respect du confinement, ainsi que les règles de la distanciation physique. Les mêmes unités ont effectué également 34 opérations de désinfection à travers le territoire national, ayant touché l’ensemble des infrastructures et édifices publics et privés, quartiers et ruelles.

Une femme du Kansas morte en janvier 2020 considérée comme la première victime américaine du nouveau coronavirus
Une femme du Kansas décédée début janvier 2020 est désormais répertoriée comme la première personne connue à succomber à la COVID-19 aux États-Unis, a rapporté le quotidien californien The Mercury News. Le certificat de décès de Lovell « Cookie » Brown, morte le 9 janvier 2020 à Leavenworth au Kansas, a été récemment modifié pour indiquer qu’elle est morte de cette maladie, a-t-il indiqué. Il y a trois mois, son médecin « a discrètement ajouté ‘PNEUMONIE COVID-19’ comme l’une des causes de son décès, modifiant non seulement son acte de décès, mais réécrivant également la chronologie de l’arrivée de la pandémie aux États-Unis », écrit le journal. « Le certificat de décès original de Mme Brown indiquait qu’elle était décédée uniquement d’un accident vasculaire cérébral et d’une maladie pulmonaire obstructive chronique. Mais en mai de cette année, cela a changé », selon le Mercury News qui ajoute que sa famille n’en avait aucune idée jusqu’à cette semaine. « La raison reste un mystère. Son décès est désormais inclus dans le registre officiel des décès dus à la Covid aux Etats-Unis, établi par le Centre de contrôle et de prévention des maladies, mais l’agence n’a pas voulu faire d’autre commentaire. » Auparavant, le premier décès connu lié à la Covid-19 aux États-Unis aurait eu lieu le 6 février 2020, chez une femme vivant à San Jose, en Californie.

Démantèlement d’une bande de malfaiteurs qui semait la terreur à Alger
Les éléments de la brigade de police de la circonscription administrative de Hussein Dey relevant de la sûreté de la wilaya d’Alger ont arrêté sept individus et saisi 17 armes blanches prohibées.
Les services de sûreté ont démantelé une bande qui semait la terreur dans le territoire de compétence de Hussein Dey notamment à travers le trafic de drogue et des stupéfiants, a indiqué un communiqué de la direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
L’opération a permis de saisir 17 armes blanches de différents types, une fusil à harpon et une bouteille lacrymogène, a précisé la même source ajoutant que les mis en cause ont été déférés devant le procureur territorialement compétent. Par ailleurs, les services de sûreté de la circonscription administrative de Hussein Dey, ont arrêté quatre suspects âgés entre 25 et 50 ans soupçonnés de trafic de stupéfiants issus de Blida. L’opération a permis de saisir 5.123 comprimés psychotropes et 62 millions centimes outre un camion. Après parachèvement des procédures légales, les mis en cause ont été présentés devant le procureur territorialement compétent, a conclu le communiqué.

Les autorités sionistes démolissent pour la 192e fois le village palestinien d’Araqib
Les autorités de l’occupation israéliennes ont démoli, jeudi, le village palestinien d’Araqib, situé dans la région du Néguev (Sud), pour la 192ème fois consécutive, Aziz al-Turi, membre du Comité local pour la défense d’Araqib (civile) cité par les médias, dont palestiniens , a déclaré que les autorités israéliennes »ont démoli le village d’Araqib pour la 192ème fois ». Al-Turi a indiqué que la police israélienne a mis en place une barrière pour empêcher de documenter la démolition du village. Le membre du Comité local a réitéré l’intention des habitants de rebâtir leur village. Les maisons du village d’Araqib sont construites en bois, en plastique et en tôle, et sont habitées par 22 familles. Les autorités de l’entité sioniste ont démoli le village pour la première fois, en juillet 2010, et depuis lors, il a été démoli à chaque fois qu’il a été reconstruit par ses habitants qui tiennent à rester sur leurs terres, malgré les démolitions répétées. Selon des données historiques, le village d’Araqib a été construit pour la première fois pendant la période ottomane, sur des terres achetées par les résidents palestiniens.

Trois quarts de la population libanaise basculent dans la pauvreté, selon l’ONU
La pauvreté au Liban a considérablement augmenté au cours de l’année écoulée, affectant désormais environ 74% de la population totale, met en garde la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale (CESAO). La prise en compte de dimensions autres que le revenu, telles que l’accès à la santé, à l’éducation et aux services publics, augmente le taux à 82% de la population vivant dans « la pauvreté multidimensionnelle », ajoute la CESAO dans une note d’orientation. Avec les progrès de la recherche sur le développement et la disponibilité d’enquêtes plus détaillées, le concept de pauvreté s’est élargi pour prendre en compte les conditions de vie et divers aspects de la privation ne se limitant pas au revenu. Ce nouveau concept est désormais connu sous le nom de « pauvreté multidimensionnelle » mesurée par six dimensions clés: l’éducation, la santé, les services publics, le logement, les actifs et la propriété, et l’emploi et le revenu. L’an dernier, la CESAO avait constaté qu’entre 2019 et 2020, le taux de pauvreté par habitant était déjà passé de 28% à 55% au Liban. Selon les mises à jour d’aujourd’hui, le taux de pauvreté multidimensionnelle au Liban a presque doublé, passant de 42% en 2019 à 82% en 2021.

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