L’affaire remonte à juin 2020, lorsque le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, Mohcine Belabbas, a été convoqué par la brigade de gendarmerie de Bab-Jdid, à Alger, dans le cadre d’une enquête sur la mort suspecte d’un ressortissant étranger, un sans papier de son état, sur le chantier d’une résidence privée appartenant au mis en cause. Environ six mois plus tard, soit hier, le chef du parti de l’opposition a été convoqué à se présenter devant le juge d’instruction de la première chambre du tribunal de Hussein Dey. Après avoir été auditionné, et bien que le parti n’a pas précisé sur quelle affaire a été convoqué son président, Belabbas a été placé sous contrôle judiciaire par le juge.
R. N.