Devant un parterre de hauts responsables, avec à leur tête le wali de la wilaya d’Aïn-Témouchent, le directeur de l’unité de la Protection civile de la wilaya d’Aïn-Témouchent, en souhaitant la bienvenue à ses invités conviés à assister à la célébration de la Journée mondiale de la Protection civile célébrée le 1er mars, a mis en évidence l’importance du thème choisi, par l’Organisation internationale de la Protection civile (OIPC), qui s’intitule «la Protection civile et les nouvelles technologies de l’information.»
Ce n’est pas pour rien qu’il a tenu à développer cette thématique d’une nécessité absolue pour attirer l’attention des autorités et des responsables de la wilaya, ainsi que les différents collaborateurs en poste au niveau de l’unité principale et des structures des différentes communes. Aujourd’hui le but recherché est de contribuer à la mise en place par les gouvernements et les Etats des mesures et organisations propres à assurer la protection et l’assistance des populations face aux catastrophes naturelles et celles dues à l’homme, peut-on décrypter du message qu’il a lu et qui est inspiré de celui du directeur général de la Protection civile, un département relevant du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. En aparté on était intéressé de jauger les responsables qui étaient en place et qui suivaient une manœuvre de simulation portant évacuation de victimes lors d’un effondrement partiel d’un immeuble suivi d’un incendie au dernier étage. Toutes les techniques appropriées de sauvetage ont été utilisées et déployées devant l’assistance et le wali ainsi que la délégation qui l’accompagnait, ce mardi 1er mars. L’un des cadres a accordé l’importance à la formation de plus de 1199 secouristes de masse dont 975 hommes et 225 femmes, un effectif cumulé depuis 2010. Aussi, le medecin qui encadre ce genre de formations a ouvert une nouvelle session de formation de 12 secouristes volontaires de proximité (SVP) qui sont équipés de moyens nécessaires d’effectuer les premières opérations de secours en attendant l’arrivée des renforts.
Boualem Belhadri