Accueil L'EXPRESS Une Mantaise milite pour rapatrier Baba Merzoug

Une Mantaise milite pour rapatrier Baba Merzoug

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Native de Mantes-la-Jolie (Yvelines) Saliha Guerfi et l’association qui milite continuent de l’appeler « Baba Merzoug » (père fortuné). Ils rappellent l’arme redoutable et le symbole fort qu’il a constitué dans la défense de la ville d’Alger. « Si nous sollicitons le gouvernement français, c’est avant tout pour renouer, comme un geste d’amitié confortant la reprise de relations plus fraternelles entre mes deux pays, la France et l’Algérie « , explique Saliha Guerfi.
« Ecrivons une nouvelle histoire » poursuit-elle. La Consulaire, aussi appelé Baba Merzoug (en arabe « Père chanceux »), est le surnom d’un canon érigé en colonne et installé depuis 1833 dans la rade de Brest, en France. Ce canon de 12 tonnes et 7 mètres de long protégeait la rade d’Alger depuis le XVIe siècle. En 1830, après l’expédition d’Alger, il est ramenée en France comme trophée de guerre.

La « manip » continue en Syrie
Les militaires russes ont mis en garde, ce vendredi 11 septembre, contre une provocation à l’arme chimique dans le gouvernorat d’Idlib, en Syrie, préparée par des terroristes. «Le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit a reçu des informations sur la préparation par le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham, d’une provocation avec utilisation de substances toxiques dans la partie sud de la zone de désescalade d’Idlib», a déclaré le contre-amiral Alexandre Grinkevitch. Il a ajouté que, selon les informations disponibles, les terroristes prévoyaient de filmer une vidéo truquée dans la région des hauteurs de Jabal Zawiya, avec la participation de journalistes étrangers pour la diffuser ensuite sur Internet et dans des médias régionaux et occidentaux. Ces actions ont pour but d’accuser les forces gouvernementales d’utiliser des armes chimiques contre des civils.

AL-Qaïda menace Charlie Hebdo
Al Qaïda a de nouveau menacé l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo, qui a réédité des caricatures du prophète Mohammed QSSL à l’occasion du procès de l’attentat de janvier 2015 contre le journal, selon le groupe américain SITE, spécialisé dans la surveillance des organisations djihadistes. Le raid meurtrier contre Charlie Hebdo «n’était pas un incident ponctuel», avertit l’organisation djihadiste dans sa revue publiée ce vendredi. Pour marquer l’ouverture le 2 septembre du procès à Paris des attentats djihadistes contre Charlie Hebdo, des policiers et une supérette juive ayant fait 17 morts dans la capitale française en janvier 2015, le journal satirique a remis en une les caricatures du prophète, qui avaient fait de l’hebdomadaire une cible des djihadistes. Le président Macron a «donné son feu vert» à cette réédition, accuse encore Al Qaïda. «Si votre liberté d’expression ne respecte aucune limite, préparez-vous à vous confronter à la liberté de nos actions», menace l’organisation djihadiste dans sa publication, parue ce 11 septembre, date anniversaire des attentats de septembre 2001 contre les États-Unis fomentés par le groupe djihadiste. Toujours selon SITE, un média affilié à l’organisation djihadiste, l’État islamique a également menacé Charlie Hebdo de représailles début septembre, après la republication de ses caricatures de Mahomet. Au procès qui vient de s’ouvrir, quatorze accusés, dont trois jugés par défaut, sont soupçonnés à des degrés divers de soutien logistique aux frères Saïd et Chérif Kouachi, et à Amédy Coulibaly, auteurs des tueries qui avaient fait 17 morts, entre le 7 et le 9 janvier 2015, et suscité une manifestation monstre contre le terrorisme le 11 janvier en France, avec plusieurs chefs d’État et de gouvernement étrangers.
Le 7 janvier 2015, les frères Kouachi ont assassiné 11 personnes dans une attaque à l’arme de guerre contre la rédaction de Charlie Hebdo à Paris, avant de prendre la fuite en tuant un policier. Le lendemain, Amédy Coulibaly – qui avait côtoyé Chérif Kouachi en prison – a tué une policière municipale près de Paris, puis le 9 janvier, il a exécuté quatre hommes, tous juifs, lors de la prise d’otages du magasin Hyper Cacher, dans l’Est parisien.
Ce périple meurtrier a pris fin avec la mort des trois djihadistes lors d’un double assaut policier, mené quasi simultanément dans le magasin et dans une imprimerie de la région parisienne où les tueurs de Charlie Hebdo s’étaient retranchés.

Didier Raoult porteur d’une bonne nouvelle
Le professeur Didier Raoult, figure controversée de la lutte contre le coronavirus en France, a évoqué ce mercredi 9 septembre sur Radio Classique, partenaire du Figaro, la possibilité d’une «surmutation» du Covid-19, ce qui n’est «probablement pas une mauvaise nouvelle». À l’IHU Méditerranée Infection, «on a beaucoup plus de données que n’importe qui au monde. Et depuis juillet, et l’apparition de ce deuxième acte », les équipes du chercheur marseillais ont constaté une «surmutation, ce qui n’est probablement pas une mauvaise nouvelle». «Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé», a indiqué le professeur. «Les mutations que nous voyons sont associés avec la dégradation des organismes (du virus). Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole», a-t-il précisé. Fin août, le ministre de la Santé Olivier Véran avait déclaré que rien ne permettait de prouver une mutation du virus. «Je peux comprendre l’espoir nourri par certains experts d’un virus moins dangereux, mais aucun argument scientifique ne vient étayer cette théorie, hélas», expliquait-Il.

Mis aux poings
« La révision de la Constitution jette les fondements d’un État aux institutions fortes. », Hachemi Djiar, président du groupe parlementaire du tiers présidentiel.

« Rome ne s’est pas construite en un jour »

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