Deux (2) personnes dont un nourrisson sont mortes et douze (12) autres ont été blessées dans deux accidents distincts enregistrés durant les dernières 24 heures à Chellal sur la RN 45 et à Sidi Ameur (M’sila) sur la RN 89, a indiqué samedi la Protection civile (PC). Le premier accident s’est produit suite à un dérapage et renversement d’un véhicule touristique, à Sidi Ameur entrainant la mort d’un nourrisson et causant des blessures à 5 autres personnes qui étaient à bord de ce véhicule et transférées à la clinique de la même ville, a-t-on détaillé.
Le second accident est dû à une collision entre deux véhicules touristiques près de la ville de Chellal sur la RN 45 provoquant la mort d’une personne tandis que sept autres ont été blessées et évacuées aux hôpitaux de M’sila et de Boussâada, a précisé la même source.
Pour rappel, au total sept (7) personnes sont mortes et 16 autres ont été blessés dans des accidents de la circulation enregistrées durant les dernières 36 heures dans la wilaya de M’sila.
Le corps d’un homme retrouvé calciné dans son domicile familial à Djelfa
Un homme de 53 ans a été retrouvé, samedi, mort calciné dans son domicile familial, par les services de la Protection civile de la wilaya de Djelfa, a-t-on appris auprès de la direction de ce corps constitué. Selon le chargé de la communication auprès de ce corps, le lieutenant Khadher Abderrahmane, l’unité principale de la Protection civile de la wilaya a effectué une intervention aux environs de 04H00 à l’aube, à la cité de la nouvelle mosquée «Dechra el Khounia», de la ville de Djelfa, où un homme, d’une cinquantaine d’année, a été retrouvé mort calciné dans son domicile familial. Les agents de la Protection civile ont évacué la dépouille de la victime vers la morgue de l’hôpital «Mouhad Abdelkader», a ajouté la même source, précisant que les causes de son état (calcination) «n’ont pas encore été identifiées».
Saisie de deux tonnes de viandes impropres à la consommation à El-Tarf
Un total de deux tonnes de viandes rouges et blanches impropres à la consommation ont été saisis à El-Tarf par les services locaux de la Sûreté de wilaya, a-t-on appris samedi auprès du chargé de la communication de ce corps de sécurité. Cette quantité de viandes avariées a été saisie sur la base de rapports provenant des services locaux du commerce et du service d’hygiène dépendant de l’Assemblée populaire communale (APC) d’El-Tarf, a ajouté Abdelaziz Oussama. La marchandise ne répondant pas aux critères requis en matière d’hygiène et de consommation était destinée à la commercialisation, a signalé la même source, signalant que cette quantité de viandes avariées a été aussitôt détruite.
Un procès-verbal de poursuites judiciaires a été également élaboré à l’encontre des contrevenants, a-t-on noté.
Facebook lance un fil d’actualités baptisé «News»
Le réseau social «Facebook» a annoncé le lancement vendredi d’un fil d’actualités baptisé «News» en partenariat avec plusieurs dizaines d’organes de presse, dernière initiative de la plateforme pour promouvoir le journalisme et se défaire de sa réputation de «désinformation». Le fil d’actualités dit «News» tout court sera alimenté par une sélection réalisée par des journalistes professionnels avec l’aide d’algorithmes et destiné dans un premier temps à une audience américaine.
«Nous commençons aujourd’hui à tester Facebook News, un espace dédié aux nouvelles sur Facebook, destiné à un sous-groupe de personnes aux États-Unis», écrit Facebook dans un communiqué, relayé par des médias. Facebook News «va donner au public davantage de contrôle sur les articles qu’ils voient et la possibilité d’explorer un plus large éventail de leurs centres d’intérêts, directement via l’application Facebook», indique le groupe.
Cette section actualités sera séparée des flux habituels des utilisateurs et inclura des articles d’organisations de presse partenaires. Plus de 200 médias seront partenaires dont le Washington Post, le Wall Street Journal, Elle aux États-Unis, People, les chaînes ABC, CBS News, ou encore Fox News.
Les humanitaires de l’ONU visés par des cyber-attaques
Des organisations d’aide humanitaire, affiliées aux Nations unies, ont été visées en masse par des attaques numériques, d’après un rapport publié jeudi par la firme de cybersécurité Lookout. Depuis le début de l’année, des pirates tentent d’obtenir des mots de passe d’employés de ces groupes grâce à du «phishing», ou «hameçonnage», qui les amène à se connecter à leur boîte mail ou à leur compte Office 365. Les victimes potentielles reçoivent des messages contenant des invitations à répondre à des enquêtes ou à consulter des documents en ligne, qui semblent légitimes mais sont en réalité truffées de pièges et de liens vers des sites frauduleux. «Nous rencontrons beaucoup d’opérations de hameçonnage, mais ce n’est pas souvent qu’on voit des ONG être attaquées à cette échelle», a expliqué Jeremy Richards, expert en cyber-sécurité. L’Unicef, le Programme alimentaire mondial et la Croix-Rouge ont fait partie des cibles de ces attaques.
Le rapport n’indique pas qui a organisé ces attaques ni dans quelle mesure elles ont réussi. Les pages sur lesquelles les victimes sont renvoyées sont conçues pour ressembler à de vrais sites internet. Toutes les informations entrées dans les champs à remplir sont capturées par les pirates informatiques.
Google peine sur la question de la transparence avec ses employés
Le patron de Google, Sundar Pichai, a admis lors d’une réunion interne «avoir vraiment du mal à (mettre en place) la transparence à grande échelle», d’après un article publié vendredi par le Washington Post. Interrogé sur la confiance entre les dirigeants du géant des technologies et les employés, Sundar Pichai a répondu que la confiance était «l’une des choses les plus fondamentales pour l’entreprise», selon un enregistrement audio obtenu par le quotidien américain. La réunion, qui a eu lieu jeudi au siège de Google à Mountain View (Californie), a notamment abordé la question d’un nouvel outil utilisé en interne qui permet de repérer les réunions organisées par des employés. Certains se sont inquiétés de ce qu’ils perçoivent comme une tentative de les espionner ou de décourager des actions syndicales, tandis que Google leur a assuré qu’il s’agissait simplement d’un moyen de réduire le nombre de spams. «J’essaie de comprendre quand je sens que quelque chose entraîne une rupture de confiance», a déclaré Sundar Pichai. «C’est devenu plus difficile à la taille où nous sommes aujourd’hui, avec le nombre de personnes que nous ajoutons chaque année». Alphabet, la maison-mère de Google, emploie plus de 100 000 personnes dans le monde. «Nous avons vraiment du mal à (mettre en place) la transparence à grande échelle, surtout quand tout ce que nous faisons ne reste pas nécessairement entre ces murs», a-t-il ajouté, en référence aux fuites dans la presse.