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BENHALIMA DÉVOILE LA NATURE D’AMIR DZ : « Un individu lâche au service du Makhzen »

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La cinquième partie des aveux du terroriste Mohamed Benhalima, intitulée « Chemin de la  félonie…détails d’une conspiration », apporte un éclairage supplémentaire sur la nébuleuse de la conspiration et de trahison qui s’est liguée contre le pays pour le déstabiliser. Après avoir, dans les précédentes parties révélé les liens entre les Zitout, Larbi et Mohamed, le mouvement Rachad et les terroristes islamistes, ainsi que le terroriste Ferhat Mehenni et son organisation qui a tissé des liens avec le Makhzen et reçu le parrainage d’Israël, Benhalima a,  pour cette fois, dévoilé la véritable nature de Amir Dz, un individu qui s’est mis au service du Makhzen et qui verse dans le chantage au nom d’une prétendue défense des droits de l’Homme.  Benhalima a révélé que Amir Dz s’est mis au service du Makhzen et de puissances étrangères qui veulent nuire à l’Algérie.  « Amir DZ entretenait des liens douteux avec plusieurs parties, ce qui prouve ses accointances avec plusieurs départements et services de renseignement étrangers, dont le régime du Makhzen qui l’a enrôlé pour mettre à exécution ses plans hostiles à l’Algérie», a indiqué Benhalima. Concernant les liens de « Amir DZ » avec le Makhzen, il a révélé que des intermédiaires marocains établis en  France et en Espagne étaient en contact permanent avec lui, dont la dénommée Sabah Yakoubi (établie en Espagne) qu’il a côtoyée après l’expulsion de Mohamed Abdallah. Celle-ci était chargée d’organiser des sit-in de soutien à Mohamed Abdallah, auxquels ont participé plusieurs ressortissants marocains, a précisé Benhalima. Cette binationale (marocaine et espagnole) qui dirige le syndicat des travailleurs marocains en Espagne était en contact avec des membres du Parlement espagnol, a-t-il ajouté.

« Une Marocaine remet des enveloppes financières à Amir DZ »
Poursuivant ses aveux Benhalima, apportera de nouvelles révélations concernant la nature obscure des relations de Amir Dz avec le Makhzen.  « Amir DZ était également en contact avec le dénommé Walid Kebir, qui se prétend Algérien et vit au Maroc, et avec une Marocaine établie à Paris (France), qui lui remettait des enveloppes scellées, pour financer ses Lives sur les réseaux sociaux où il s’attaquait à l’État algérien et à son Armée ».  Benhalima qui a côtoyé la nébuleuse de sédition et de conspiration contre l’Algérie, établie à l’étranger, a également dévoilé la relation qu’entretient le terroriste Amir Boukhors avec un journaliste marocain dénommé Ahmed Gharabi, travaillant pour le compte du  journal « Jeune Afrique » et auteur d’un article à son sujet en janvier 2021, en plus des relations qu’il entretient avec des parties influentes en France, par le biais de son avocat juif qui, selon Benhalima, lui aurait demandé de payer 10 000 euros pour faciliter l’obtention de l’asile politique en France. Concernant le désaccord entre Rachad et Amir Dz, Benhalima se montrera prolixe en affirmant que,  «Amir DZ » cherchait inlassablement à blanchir son image et tentait d’apparaître tel un militant et un défenseur des droits de l’Homme auprès de l’opinion publique française, précisant qu’une société française lui avait proposé, en octobre 2021, de produire un film à son sujet à projeter sur une plateforme de streaming afin qu’il apparaisse comme « un héros et un opposant politique ». La société lui avait, même, assuré les services d’un scénariste mexicain et lui avait exigé de ne pas parler du mouvement « Rachad », ni de Larbi Zitout, ce qui a déplu à ce dernier et accentué le désaccord entre les deux hommes ». Il a précisé que contrairement à l’image de l’Algérien modeste qu’il veut entretenir, Amir DZ est propriétaire d’un appartement dans une zone militaire à Paris et d’un autre dans l’un des quartiers huppés de la capitale française, il dispose également de deux voitures de luxe. Il a ouvert récemment un café avec le dénommé Boukezouha et a transféré tous ses biens au nom de sa femme.

« L’argent du PayPal et les pseudos-quêtes  pour détenus »
Il garde plus de 200 000 euros auprès de Smaïl Zitout et 100 000 euros chez le dénommé Imad Lakhdara. Les aveux de Benhalima ne laissent aucun doute planer sur la véritable nature des mouvements terroristes qui se sont mis au service du Makhzen, de certaines officines et certains services de renseignements étrangers pour s’attaquer aux fondements de l’État algérien et à la souveraineté du pays. L’Algérie qui se retrouve entourée par des foyers de tension, savamment entretenue, à dessein par certaines puissances, a exprimé sa volonté de ne céder ni au chantage ni aux tentatives de déstabilisation qui risquent de s’exacerber à la faveur des  mutations géostratégiques qui secouent le monde. Le front interne est bien solide pour faire face à tous les complots et il faut reconnaître que la marge de manœuvre de Rachad et ses acolytes est de plus en plus réduite aujourd’hui grâce notamment à la vigilance des services de sécurité et le degré de maturité citoyenne qui ont permis de faire face à tous les complots dont le dernier en date est l’épisode des incendies de l’été dernier et le lâche assassinat de Djamel Bensmaïl. Dans ses aveux télévisés, le terroriste détenu Benhalima a également indiqué qu’un certain Imad Lakhdara, résidant au Canada, soutenait financièrement Amir DZ et lui organisait des sit-in et des marches, rappelant qu’il lui avait collecté 100 000 dollars, lorsqu’il avait été interpellé par la police française en juin 2020, et 60.000 euros dans l’affaire Saïd Chetouane. Imad Lakhdara a fondé une association et nommé Sofiane Chouiter au poste de conseiller juridique, ce dernier est en passe de collecter des dossiers sur les détenus, afin de soumettre cette affaire au Parlement canadien et à l’ONU, dans le but de faire pression sur le Gouvernement canadien pour qu’il rompe ses relations avec l’Algérie, sous couvert de défense des droits de l’homme. Ce n’est qu’après avoir côtoyé tous ces éléments terroristes, que le terroriste Benhalima s’est rendu compte que leur objectif principal était d’attenter à la stabilité de l’Algérie, a-t-il révélé.
Synthèse Slimane B.

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