Accueil L'EXPRESS Arrestation de la militante palestinienne Ahed Tamimi par les soldats sionistes

Arrestation de la militante palestinienne Ahed Tamimi par les soldats sionistes

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Les forces d’occupation sioniste ont arrêté, hier à l’aube, la jeune militante palestinienne Ahed Tamimi âgé de 22 ans, dans la ville de Nabi Saleh, à l’ouest de Ramallah, en Cisjordanie occupée. L’entité sioniste multiplie ses arrestations, en Cisjordanie occupée comme dans les territoires historiqué de 48.
Ciblant une des figures de la jeunesse de la résistance populaire palestinienne, la lauréate du prix « Handala du Courage », l’occupant israélien espère en vain faire peur et taire la voix palestinienne, en Cisjordanie occupée, contre son terrorisme par ses bombardements hystériques contre les ghazaouis. Nariman Tamimi, la mère d’Ahed, a déclaré que « des soldats de l’armée d’occupation sioniste ont fait une descente au domicile d’Ahed, lauréate du prix Handala du Courage, et l’ont arrêtée après avoir fouillé et vandalisé toute la maison de sa famille et confisqué les téléphones portables ». Les soldats d’occupation sioniste avaient arrêté, pour rappel, Tamimi à peine âgée de 15 ans, en 2017, et l’ont emprisonnée pendant 8 mois. Aussi son père avait été arrêté violement auparavant, il y a quelques jours dans son domicile.
Le père, la mère, les frères et sœurs, les oncles et les tantes, de centaines de familles palestiniennes en Cisjordanie, et à El Qods occupées comme dans les territoires palestiniennes de 48 font face, héroïquement contre le terrorisme de l’occupant sioniste, dans leur mobilisation et leur lutte légitime pour en finir avec le système colonial israélien.

Démantèlement d’un réseau criminel d’organisation de harga à Mostaganem
Les services de police de Mostaganem ont réussi à démanteler un réseau criminel national spécialisé dans l’organisation de traversées clandestines par mer, a indiqué lundi un communiqué de la Sûreté de wilaya. La même source a précisé que l’opération a été menée par la brigade de lutte contre le trafic de migrants et d’être humains, sur la base d’une plainte déposée par l’une des victimes du réseau, selon laquelle elle a fait l’objet d’escroquerie de la part d’un individu qui lui a soutiré une somme de 200 000 DA, les deux ayant passé un accord pour le « recrutement » de 20 autres individus de différentes nationalités, candidats à l’émigration clandestine, contre un montant de 1,2 million de DA chacun. La tentative de la traversée clandestine ayant été déjouée par les forces des garde-côtes, les candidats à l’émigration clandestine ont réclamé les sommes d’argent versées, mais la bande criminelle a refusé de les rembourser, selon le même communiqué. Les investigations enclenchées par la brigade se sont soldées par l’arrestation du principal organisateur de l’opération, ainsi que six autres de ses complices, alors que les recherchent se poursuivent pour retrouver cinq autres suspects originaires de plusieurs wilayas du pays. La brigade concernée a réussi à saisir une somme de 2,450 millions de DA soutirée aux candidats à l’émigration clandestine, a ajouté la même source, soulignant que les services de la Gendarmerie ont réussi, parallèlement, à saisir l’embarcation pneumatique qui devait servir à la traversée clandestine. Sous l’accusation de trafic de migrants, dans le cadre d’une bande criminelle organisée transfrontalière contre un bénéfice financier, avec la mise en danger de la sécurité des candidats à l’émigration, une procédure judiciaire a été engagée contre les individus arrêtés, qui ont été présentés devant le parquet près le tribunal de Mostaganem, a indiqué la même source.

Hépatite virale : plus de 190 cas enregistrés à El-Oued
Pas moins de 191 cas d’hépatite virale ont été recensés durant les dix premiers mois de l’année en cours dans la wilaya d’El-Oued, a-t-on appris dimanche des responsables de la direction locale de la santé . Les cas de cette maladie infectieuse se répartissent entre le virus de l’hépatite « B » (VHB) , 88 cas , de type « A » (AHB) avec 84 cas et « C » (CHB) avec 7 cas, a expliqué le directeur de la Santé de la wilaya , Ali Gharbi. Selon le même responsable, ces cas ont été recensés suite aux analyses médicales exigées dans l’établissement d’actes de mariage au niveau des services de l’état civil des communes, ainsi que lors de contrôles médicaux effectués dans des structures de santé publiques et de proximité. M. Gharbi a imputé l’infection par le virus de l’hépatite notamment « au manque de moyens d’entretien ainsi que l’utilisation de matériel médical et chirurgical non-stérilisé dans certaines structures de la santé publiques notamment dans les services d’hémodialyse, et au niveau des cliniques privées, ainsi que dans les espaces de pratique de la « Hidjama » (thérapie par la saignée). La direction de la santé de la wilaya a adopté un plan d’inspection ciblant les structures de santé publiques et privées dans l’objectif de contrôler l’application stricte des normes de stérilisation, a fait savoir ce responsable .

L’Iran annonce l’arrestation de trois agents liés au service des renseignements sioniste
L’Iran a annoncé dimanche l’arrestation de trois Iraniens soupçonnés de travailler pour le service des renseignements sionistes « le Mossad » lors d’une opération menée avec les talibans dans la zone frontalière avec l’Afghanistan, ont rapporté dimanche des médias. « Trois agents du Mossad de nationalité iranienne ont été arrêtés dans le cadre d’une opération conjointe du ministère iranien du Renseignement et des talibans, dans les zones montagneuses entre les deux pays », a indiqué la télévision iranienne. Ils « prévoyaient de lancer des attaques de drones kamikazes » depuis l’Afghanistan contre « des cibles en Iran », a-t-elle ajouté. Les médias officiels n’ont pas fourni d’informations sur l’identité des suspects ni la date de leur arrestation, mais ont précisé qu’ils « seront prochainement transférés » en Iran pour y être « interrogés ». Téhéran a déjà annoncé à plusieurs reprises l’arrestation d’agents soupçonnés de travailler pour les services de renseignements sionistes qu’elle accuse d’avoir saboté certains de ses sites nucléaires. L’Iran, qui partage une frontière de plus de 900 km avec l’Afghanistan, ne reconnait pas officiellement les talibans, au pouvoir depuis 2021, mais les deux pays entretiennent néanmoins des relations. Une délégation économique afghane, présidée par le vice-Premier ministre Abdul Ghani Baradar, a ainsi été accueillie à Téhéran samedi.

Une première en France, le ministre de la Justice est jugé pour conflits d’intérêts
C’est inédit en France. Depuis, hier, le ministre de la Justice en exercice, Eric Dupond-Moretti est sur le banc des prévenus d’un tribunal, accusé de conflits d’intérêts dans le cadre de ses fonctions. Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux en exercice, est assis sur le banc des prévenus d’un tribunal, accusé de conflits d’intérêts dans le cadre de ses fonctions, et Le procès doit durer dix jours. L’audience devant la Cour de justice de la République (CJR), seule habilitée à juger des membres du gouvernement pour des faits commis dans l’exercice de leurs fonctions, a été ouverte, hier au palais de justice de Paris. L’ex-avocat a malgré ses ennuis judiciaires gardé la confiance du président de la République, Emmanuel Macron. La Première ministre Elisabeth Borne, lui a exprimé hier, «toute sa confiance» en évoquant la «présomption d’innocence». Le temps de l’audience, prévue jusqu’au 16 novembre, le ministre de la Justice restera à son poste , comme si de rien n’était, ou presque : des mesures seront prises «afin d’assurer le bon fonctionnement des pouvoirs publics et la continuité de l’État», a précisé une source gouvernementale aux médias français. «Il faudra qu’il ait le temps nécessaire pour se défendre», a justifié Elisabeth Borne. ajoutant que «l’organisation est en place pour que le ministère continue à tourner». S’il est reconnu coupable de «prise illégale d’intérêts», il encourt cinq ans d’emprisonnement et
500 000 euros d’amende, et une peine complémentaire d’inéligibilité et d’interdiction d’exercer une fonction publique. Son départ du gouvernement, où il a été nommé en juillet 2020, serait alors inévitable.

Un mort dans le renversement d’un tracteur à Tizi Ouzou
Une personne est morte, dimanche, suite au renversement d’un tracteur dans la commune d’Aït Toudert (Daïra des Ouacifs), à une quarantaine de kilomètres au sud de Tizi-Ouzou, a indiqué un communiqué de la Protection civile. L’accident s’est produit au milieu de l’après-midi, à hauteur du village Tahechat, lorsque le tracteur s’est renversé, causant le décès, sur place, du conducteur, un homme âgé de 56 ans, a-t-on précisé dans le document. Les éléments de la Protection civile de l’unité des Ouacifs, sont intervenus pour transférer le corps de la victime à la morgue de l’hôpital de la même localité, a-t-on indiqué.

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