Qualifiant les relations bilatérales, entre Alger et Berlin, de «fructueuses», le chef de la diplomatie allemande a précisé que l’objectif escompté par sa visite, en Algérie, est la «consolidation» des relations entre les deux pays, notamment à travers la coopération économique. Inscrite dans le cadre des consultations régulières, entre Alger et Berlin, le chef de la diplomatie algérienne, Ramatane Lamamra, a souligné, à propos de la visite en Algérie de son homologue allemand, Frank-Walter Steinmeier, qu’elle «intervient à un moment où la coopération bilatérale connaît une réelle dynamique». Les entretiens ayant rythmé le séjour de l’hôte d’Alger avec les responsables algériens, outre qu’ils traduisent la volonté des deux pays à pérenniser le dialogue politique bilatéral, ont permis l’échange de points de vue sur d’éventuelles mises en place de mécanismes de consultations de «haut niveau». Plaidant en faveur d’un «renforcement de la coopération internationale» pour une lutte «plus efficace» contre le fléau du terrorisme», le ministre allemand a précisé, dans ce sens, qu’elle se fera «notamment à travers l’échange d’information». Les questions régionales et internationales, dont la situation au Sahel et celle de Libye, ont fait l’objet «d’échanges de vues et d’analyses», au cours des entretiens entre le MAE allemand et les responsables algériens, dont le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qu’il rencontré, hier, et son homologue Ramtane Lamamra, le jour de son arrivée, à Alger.
Celui-ci qualifiant cette visite d’«importante», souligne encore qu’elle s’inscrivait dans le sillage des traditions de coopération «profonde», entre Alger et Berlin. Troisième visite qu’effectue un ministre allemand des Affaires étrangères en Algérie, durant les dix dernières années, Frank-Walter Steinmeier était accompagné d’une délégation composée de représentants des secteurs, universitaire et culturel, ainsi que d’hommes d’affaires allemands. Dans le cadre de la coopération dans le secteur universitaire, rappelons que des accords lient le ministère algérien de l’Enseignement supérieur et le ministère fédéral de l’Environnement. La construction d’une tour solaire, accompagnée d’un centre de recherche en Algérie, à titre d’exemple, est contenue dans ces accords, en vue de booster davantage ce partenariat dans le secteur de l’énergie renouvelable. Ce qui confortera, considérablement, le rythme en cours du transfert de technologie et de la formation professionnelle, objectifs escomptés à travers la coopération, en général, entre Alger et Berlin. Sur la coopération militaire algéro-allemande, la venue à Alger du chef de la diplomatie allemande a été l’occasion, a indiqué Frank-Walter Steinmeier, pour «examiner avec un esprit d’ouverture toute demande, ou requête, formulée par l’Algérie à l’Allemagne».
Affichant une volonté politique partagée, l’élargissement de la coopération à d’autres secteurs a été notamment au menu des discussions et des rencontres de la visite du responsable allemand, à Alger. Après s’être entretenu avec le Premier ministre, Sellal, rencontre à laquelle a pris part Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines, celui-ci a eu des entretiens avec l’hôte d’Alger. Suite à quoi une réunion élargie aux membres des deux délégations, composées de patrons des entreprises algériennes et de leurs homologues allemands, s’est tenue hier, pour booster la coopération économique entre Alger et Berlin. Partant des étapes franchies dans le cadre de la coopération bilatérale, notamment dans les secteurs de la santé, l’industrie, l’énergie et la formation professionnelle, le conclave en question a dégagé les voies pour l’approfondissement de ce partenariat, et son élargissement à d’autres secteurs. Forum d’affaires algéro-allemand tenu, hier à Alger, ayant, à l’ordre du jour, l’examen d’opportunités de partenariat entre les deux pays.
Organisé par le département ministériel de Bouchouareb, ce conclave a été ponctué par des rencontres entre les responsables des entreprises algériennes et allemandes, activant dans les différents secteurs, pour ne citer que l’industrie, l’énergie et la formation. Rappelons que plus de 320 entreprises allemandes activent en Algérie, selon l’Agence nationale de développement des investissements (Andi), chiffre avancé, mars dernier, à l’occasion de la tenue de la 4e commission économique mixte algéro-allemande. Les investissements allemands en Algérie, entre 2002 et 2013, ont atteint 37 milliards de dollars, dont 34,5 mds de dollars dans le secteur de l’industrie, selon l’Andi.
Karima Bennour
C »est une bonne occasion de relancer les pourparles’ ou negociations avec WV ,une marque de renomee mondiale pour la classe Moyenne .
La seule condition qu’o; faut discuter a l’avance c’est indeniablement: L’EXCLUSIVITE’ pour tout le Maghreb et meme mieux l’Afrique du Nord.
Avec cette marque les algeriens n’uiront auxun probleme de commercialisation dans les quatre coins du monde et en particulier dans les pays du Golf ou` elle est trop appreciee pour sa qualite’ et la prestation de ses services apres vente ainsi que les commerciaux.
Un choix que l’industrie algerienne ne regrettera ,jamais.
C’est au Monostre de l’industrie algerienne de prendre l’initiative des propositions.
PS:Je m’excuse pour les fautes de frappe.
….Lire:
-……… n’auront aucun ,,,,,,,,
– ….. au Ministre …….
Bien sur Mercedes reste un choix de luxe en mecanique pour :
l’automobile,les bus (transport en commun) ,Camions leges et semi-lourds ainsi que pour les les vehicules de pompiers et les ambulances.
C’est une marque qui est exportable partout dans le monde induscutablement,sans aucun probleme.
Dans ce cas les algeriens n’auront rien a regretter.