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Ambassade de France en Algérie : premières rencontres de la formation professionnelle

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Ces rencontres qui interviendront en marge du Comité Intergouvernemental de Haut Niveau (CIHN) ont pour objectif de présenter les initiatives françaises, publiques et privées, dans le domaine de la formation professionnelle, de les mettre en regard des besoins des entreprises et de proposer des axes d’orientation des actions et politiques menées. Organisées en association avec le 3ème Forum franco-algérien de partenariats, les 1ères Rencontres de la formation professionnelle sont destinées aux entreprises, en particulier françaises, installées en Algérie, acteurs de la formation professionnelle (privés et publics), universitaires, étudiants, organismes d’insertion, associations professionnelles, organismes de jeunesse…La formation professionnelle et un enjeu essentiel pour l’Algérie qui consacre des moyens importants à ce secteur éducatif qui doit favoriser l’emploi et l’insertion professionnelle des jeunes en particulier. La coopération française en Algérie y concourt activement : création de l’Ecole Supérieure des Algériennes d’Affaires (ESAA) dès 2004, le nouveau centre d’excellence de formation aux métiers de l’électricité en partenariat avec Schneider Electric, les propositions du haut responsable à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne (écoles pour le secteur industriel), les Instituts des sciences et des technologies appliquées ou le réseau mixte des écoles d’ingénieurs. D’autre part, des entreprises françaises installées en Algérie développent leurs propres centres de formation (Renault, Accord, Lafarge…). L’expertise française est ainsi très présente tant au niveau des projets que des réalisations. Ces actions sont menées en étroit partenariat avec les ministères concernés (ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels, ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique) qui ont souhaité que cette expertise contribue de manière plus importante au développement de la formation professionnelle en Algérie et qui interviendront aussi lors de ces rencontres.

Santé : manger une pomme quotidiennement, réduit le taux de mortalité
Manger une pomme chaque jour réduit le risque de mort anticipée de 35%, assurent des scientifiques australiens, dans une étude. L’étude australienne suggère que chaque personne est en mesure de prolonger sa vie si chaque jour elle mange une pomme. « Nous constatons une importante diminution du risque de décès », a relevé le docteur Jonathan Hadgson, du département de médecine à l’Université de l’Australie de l’Ouest, « ce qui ne signifie pas pour autant que leurs bienfaits pour la santé, il faut remplacer tous les fruits par des pommes. Nous avons examiné leur influence sur l’homme, car c’est un produit couramment consommé ». Dans leur travail, les scientifiques ont étudié pendant 15 ans les données de 1 456 femmes âgées de 70 à 85 ans. Les chercheurs ont conclu que les femmes qui consomment quotidiennement plus de 100 g de ce fruit (une pomme de taille moyenne) ont beaucoup plus de chances de vivre plus longtemps que celles qui n’arrivent à manger que 15 pommes par an (moins de 5 g par jour). Le docteur Jonathan Hadgson, du département de médecine à l’Université de l’Australie de l’Ouest, explique les effets bénéfiques des pommes par le taux élevé des fibres qu’elles contiennent. Celles-ci réduisent le niveau de cholestérol, la pression sanguine et diminuent les risques de cancer. Par ailleurs, les pommes sont riches en magnésium, potassium, vitamine C et flavonoïdes, puissantes molécules antioxydantes qui détendent les vaissaux sanguins et réduisent le risque de maladies cardiovasculaires.

Brésil: Petrobras va supprimer 12 000 emplois
La compagnie pétrolière brésilienne Petrobras a annoncé vendredi qu’elle entendait supprimer environ 12 000 emplois, essentiellement par des départs volontaires, afin d’économiser 33 milliards de réals (9,3 milliards de dollars) d’ici 2020. La première entreprise du pays mène aujourd’hui une restructuration massive afin de réduire sa dette, de faire face à la chute des prix du brut et à un vaste scandale de corruption qui a vu plusieurs de ses responsables être arrêtés. La compagnie a précisé que ce plan de suppression d’emplois lui coûterait 4,4 milliards de réals (1,2 milliard de dollars). Elle emploie aujourd’hui 57 046 personnes. Un précédent plan de départ en 2014 avait vu 6 254 employés quitter la société via des départs volontaires. Petrobras avait annoncé en début de semaine son intention de réduire de 43% son contingent de cadres, soit 5 300 personnes. En 2015, la compagnie a annoncé des pertes record de 36,9 milliards de réals (10,4 milliards de dollars). Elle a lancé cette année un plan de désengagement d’une valeur de 98,4 milliards de dollars en vue de rembourser sa dette, générer plus de liquidités et faire face à la chute des cours du brut.

Canada : découverte d’un « 2e site viking » en Amérique
Des vestiges pouvant être ceux du deuxième site viking en Amérique du Nord ont été découverts au sud-ouest de l’île canadienne de Terre-Neuve par une équipe d’archéologues ont annoncé les chercheurs vendredi. En se servant de relevés satellites, l’équipe dirigée par l’Américaine Sarah Parcak a découvert en juin dernier ce qui semble être les ruines d’un bâtiment construit par les navigateurs scandinaves, à Pointe Rosée. Outre un foyer destiné à la forge, les fouilles ont permis la découverte de traces de charbon de bois et neuf kilogrammes de scories, des résidus de fer transformé à partir de tourbe, un procédé bien connu des Vikings qui n’étaient pas de grands mineurs. En utilisant la datation au carbone 14, les chercheurs ont conclu que ce lieu a été fréquenté entre le IXe et le XIIIe siècle, a indiqué Mme Parcak à la télévision canadienne CBC. Or, les Vikings disposaient à cette époque, entre 900 et 1050, d’un avant-poste à la pointe nord de Terre-Neuve, à quelque 500 km de là, à L’Anse aux Meadows. Ce premier site avait été découvert dans les années 60. La péninsule de Pointe Rosée se situe à la pointe méridionale de Terre-Neuve, là où les eaux du golfe du Saint-Laurent rencontrent celles de l’Atlantique Nord. L’emplacement des vestiges correspond aux usages des Vikings car « ils avaient besoin d’un endroit accessible facilement depuis la plage et offrant un bon point de vue. Ce lieu est donc situé parfaitement : vous pouvez voir vers le nord, l’ouest et le sud », a déclaré Mme Parcak au magazine National Geographic qui a financé une partie de ses recherches. L’ensemble de ces découvertes a fait l’objet d’un documentaire qui sera diffusé à partir de lundi par la chaîne publique américaine PBS et la britannique BBC.

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