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Les sœurs de Ryad Mahrez agressées

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L’information aurait pu être banale, sauf que les personnes concernées sont les sœurs cadettes du capitaine de la sélection nationale, Riyad Mahrez. Jeudi, les deux sœurs du numéro 7 de l’EN, Dounia et Inès, ont été victimes d’une agression à l’intérieur de leur institut de beauté sis à Paris. Un groupe d’individus aurait pénétré dans les locaux, avant d’agresser les employés et les deux sœurs de Mahrez. Selon le témoignage de Dounia Mahrez, publié vendredi sur son compte Instagram, l’incident aurait été provoqué par une cliente mécontente. « Je confirme que nous avons été agressées au sein de notre institut, moi, ma sœur et mes employées… Tout a commencé quand une fille s’est présentée à l’institut et voulait qu’on prenne soin d’elle. Elle disait qu’elle allait soi-disant se marier ce week-end. Mes employées l’ont bien chouchoutée sauf qu’à la fin, elle (la fille) n’a pas voulu payer, » explique la sœur aînée. Une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte par la police pour déterminer les circonstances de cet incident. Les investigations permettront d’identifier et d’arrêter les auteurs de cette agression.

Saïd Bouteflika de nouveau auditionné
Selon notre confrère El Watan, le frère-conseiller de l’ancien président Abdeleziz Bouteflika, Saïd Bouteflika, qui se trouve actuellement à le prison militaire de Blida, « a été auditionné, vendredi dernier, par une commission rogatoire au sujet de ses reletions avec les frères Kouninef, notamment Réda ». en effet, c’est « la deuxième fois que Saïd Bouteflika est entendu pour son implication dans de telles affaires », souligne la même source, ajoutant que « le premier dossier est celui de l’affaire Layeb Louh, ancien ministre de le Justice ». « les téléphones trouvés au domicile de l’ancien ministre louh conenaient les sms adressés par Saïd Bouteflika concernant les Kouninef », indique la même source. le procès des frères Kouninef implique également plus d’une dizaine d’autres accusés, dont plusieurs hauts fonctionnaires de l’État ainsi que des entreprises.

Un Algérien massacre son fils de 5 ans en France
Quelques heures seulement après s’être marié, un père a lancé son fils de 6 ans par-dessus le balcon à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Le garçon a été hospitalisé dans un état critique. Le suspect, lui, a été maîtrisé par des jeunes du quartier. Les voisins sont sous le choc. Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), samedi. Il reste encore au sol plusieurs objets que le père a lancés depuis le 5e étage sur son fils, qui gisait sur le trottoir : chaise, table… Sa femme n’était plus là pour subir sa colère, il s’en est pris à son enfant. Un père de 37 ans a été arrêté à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), samedi vers 2h30 du matin, après avoir jeté son fils de 6 ans du 5e étage, avenue Guynemer, près de la médiathèque Aragon. Il venait de se disputer violemment avec son épouse. Le garçonnet s’est écrasé sur le trottoir, «blessé très sérieusement à la tête», déclare ce samedi matin une source policière. Il a été hospitalisé dans un état critique à Necker (Paris XVe), avec un pronostic vital engagé. Vers 02 heures du matin, les voisins ont entendu les cris d’une violente dispute émanant du 5e étage de cet appartement situé entre le passage Dong-Da et l’avenue Guynemer. «Ce couple est arrivé ici il y a six mois environ, c’est la première fois que ça arrivait, tout est calme en général», souligne une riveraine. L’homme, un trentenaire d’origine algérienne, très charpenté, le crâne légèrement dégarni, est en train de frapper sa jeune épouse. «Il la tabassait. Il avait même son pied sur son cou, à un moment. Puis elle a réussi à s’échapper, témoigne une résidente de l’immeuble. Aidez-moi ! criait-elle en courant, à moitié déshabillée, totalement affolée.» Le père va alors trouver son fils qui est en train de dormir. Il se met à le frapper lui aussi. «On était au téléphone avec la police, on leur disait de venir nombreux. Quand, tout à coup, on a vu le monsieur sortir sur le balcon avec le petit, racontent deux voisines, le souffle encore coupé par l’émotion. On tentait de le calmer, on lui disait Arrête, arrête ! Et là, il a jeté son fils par la fenêtre, comme un sac poubelle. Il avait même pris de l’élan pour bien le lancer. L’horreur…» Le garçon tombe sur la rambarde entourant les terrasses du 1er étage, puis retombe au sol quelques mètres plus bas. La violence du père ne s’arrête pas là. Il se met alors à jeter des objets lourds sur l’enfant depuis son balcon : barbecue, bonbonne de gaz, chaise… Une table atterrit sur le garçonnet, en train de gémir sur le trottoir. Son père lui jette des objets lourds alors qu’il gémit sur le trottoir
Un couple de l’immeuble se rue aux côtés de la jeune victime : «Il fallait absolument qu’on le mette à l’abri, il allait se faire tuer avec toutes les choses que son papa jetait sur lui ! Je me suis abritée sous une chaise pour l’atteindre ; mon mari a réussi à prendre le petit et l’a amené dans le hall de l’immeuble.» C’est là, dans le patio, que les sapeurs-pompiers et les services de réanimation lui ont prodigué les soins.

L’insurrection kurde pourrait conduire à l’effondrement turc
La Turquie moderne est née il y a près de cent ans, dans le contexte des efforts européens pour diviser la péninsule anatolienne. Ce fait alimente à la fois la paranoïa collective de la Turquie et sa xénophobie. Son cauchemar est une sécession kurde. Alors que le PKK et ses groupes dérivés ont abandonné depuis longtemps cet objectif en faveur d’une autonomie localisée, le penchant du président turc Recep Erdoğan visant à susciter des combats avec des voisins et des États régionaux pourrait bientôt transformer les craintes de la Turquie une prophétie auto-réalisatrice.

Mouvement de chars US à la frontière biélorusse
La Biélorussie a détecté des déplacements de matériel blindé américain vers un polygone situé à 15 kilomètres de sa frontière, a annoncé le 12 septembre le ministre de la Défense de ce pays, Viktor Khrékine. Il s’agit du polygone de Pabradé en Lituanie, relate l’agence de presse BelTA. La manœuvre est analogue à celle qui avait eu lieu au printemps 2020 et ne peut pas ne pas préoccuper la partie biélorusse, selon le ministre. L’armée se tient sur ses gardes En outre, de nombreux vols d’avions ont été recensés le long de la frontière et des mesures de reconnaissance ont été effectuées (par les États-Unis) à l’intérieur du pays, a ajouté M.Khrékine. Selon lui, les forces armées nationales continuent de réagir de façon adéquate. Celles-ci, en plus des moyens en missiles et en artillerie ainsi que l’armée de l’air et la défense antiaérienne, restent en alerte opérationnelle. Un bataillon de chars effectuera quant à lui des manœuvres tactiques sur un polygone.

Bensaha proche du MCA
L’attaquant de l’espérance de Tunis, Billel Bensaha est plus que jamais proche du Mouloudia d’Alger. L’ex- joueur du DRBT intéresse fortement les mouloudéens qui ont entamé les négociations avec leurs homologues tunisois. Selon nos sources, Bensaha veut rentrer au pays et tenter une nouvelle expérience avec le MC Alger. Il veut en effet avoir plus de temps de jeu, d’où son choix d’opter pour le Mouloudia. Il pourrait parapher son contrat avec le club algérois dans le courant de cette semaine. L’attaquant de 26 ans pourrait constituer un renfort de choix pour les Vert et Rouge, notamment pour la Ligue des champions d’Afrique. Rappelons que Bensaha est encore lié avec l’EST jusqu’en 2023.

Mis aux poings
« La confiance obtenue par l’ANIE, à la fois à l’échelle nationale et international, en garantissant les élections du 12 décembre dernier, va être renforcée le 1er novembre prochain grâce à la volonté de l’ANIE et de ses délégués de poursuivre le travail pour relever les défis et contribuer à l’édification de l’Algérie nouvelle », Abdelhafid Milat, vice-président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE).

Une pareille confiance est aussi dure à gagner qu’à préserver, entretenir.

« Il est possible que les talibans envisagent une trêve», Abdullah Abdullah, responsable du processus de paix pour les autorités afghanes,)

Possible n’est pas… afghan.

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