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Le Consulat de France à Alger accueille à nouveau le public

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Depuis ce lundi 1er juin, le Consulat général de France à Alger est partiellement ouvert au public. L’accueil du public se fait «exclusivement sur rendez-vous », précise le consulat dans un communiqué. « Les rendez-vous sont fixés par le consulat général. Les personnes se présentant sans être attendues par le consulat général ne seront pas admises », ajoute la représentation consulaire française.
Les services concernés :
– L’état-civil (déclaration de naissance et de reconnaissance)
– La nationalité : déclaration d’acquisition par mariage
– Les passeports et les cartes nationales d’identité : remise des titres exclusivement dont la demande a été déposée avant le 17 mars 2020
– Élections : procuration de vote pour les élections municipales en France et attestation de changement de résidence.
Pour prendre un rendez-vous
« Les autres services du consulat général, et notamment le service des visas, demeurent fermés à ce jour », précise le Consulat.

Khalef Mahiédine en phase avec le président Tebboune
C’est un soutien de poids que vient de recevoir le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de l’une des personnalités les prestigieuses du mouvement sportif national. L’ex-entraineur du glorieux «Jumbo JET», Mahiédine Khalef a tenu des propos fort élogieux à l’égard du chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune qu’il connait très bien du temps où il était wali à Tizi-Ouzou. «Nous remercions M. le président Tebboune qui est une bonne personne. Il était mon wali (à Tizi-Ouzou NDLR) ; c’est un homme qui aime l’Algérie qui plus est dispose d’une expérience en tant que haut responsable», témoigne le héros de Gijon, ce lundi lors d’une rencontre, avec, le secrétaire d’Etat au sport, Nouredine Morceli. Et d’ajouter : M. Tebboune, connait bien les problèmes et tout ce qui manque au pays. Il n y a plus de politique désormais ! La politique n’était pas seulement le mal du sport mais un mal en général dans ce pays», assène Mahiédine Khalef avant de souhaiter que les «choses changent avec le soutien de tous».

Gad Elmaleh infecté par le Covid-19
Invité de « 20h30 le dimanche », sur France 2, le 31 mai 2020, Gad Elmaleh a confié à Thomas Sotto avoir été touché par le coronavirus. Une expérience que l’humoriste et comédien n’est pas près d’oublier et sur laquelle il s’est confié en pensant avant tout aux milliers de personnes tuées par le virus et à leurs familles. Gad Elmaleh craint pour son métier d’humoriste. Que lui réserve l’avenir ? Sa profession est aujourd’hui sinistrée, mais pour combien de temps encore ? Le comédien et spécialiste du rire de 49 ans n’a pas seulement partagé ses inquiétudes, il a également admis avoir été touché personnellement pas le coronavirus. Amené à partager son expérience de la maladie, Gad Elmaleh a d’abord été quelque peu gêné, ayant en premier lieu une pensée pour les plus de 28 000 victimes du coronavirus. « C’est très délicat, au moment où je dis ça, je pense à ceux à qui ça a coûté la vie et aux milliers de familles endeuillées. Je pense d’abord à ça, avant toute chose », a-t-il d’abord déclaré.
Lancé ensuite dans « un registre plus personnel », l’humoriste a avoué avoir eu peur lorsqu’il a découvert qu’il avait été infecté par le Covid-19.
« Ça a été un épisode douloureux, qui m’a bousculé », a-t-il confié. Il s’est considéré comme « au milieu », entre les personnes asymptomatiques et les cas tragiques, « une position avec des symptômes très douloureux, très très compliqués ».
L’ex-compagnon de Charlotte Casiraghi en a ensuite tenu à remercier le personnel de l’hôpital Saint-Antoine à Paris « et toute l’équipe des urgences de l’hôpital Saint-Antoine ».

Quand des gendarmes marocains ignorent la loi
Des gendarmes, en poste au niveau de certains points de contrôle, continuent d’exiger l’attestation de déplacement dérogatoire délivrée par les autorités malgré la circulaire numéro 7651 du ministère de l’Intérieur, qui en dispense les personnels des administrations publiques et des sociétés privées. Pour pouvoir se déplacer entre les villes, certains gendarmes exigent en plus une attestation signée par le gouverneur, fait savoir le journal Assabah, qui rapporte le cas d’un responsable touristique à Kénitra, en mission à Nouaceur. Les agents au sein du même poste, toujours en application des anciennes circulaires du 27 mars et du 24 avril, ont placé en garde à vue le directeur général d’une grande entreprise ainsi que le propriétaire d’une société de services. Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, avait pourtant adressé une circulaire le 27 mai dernier, à l’attention des walis et gouverneurs ainsi qu’au général de corps d’armées et au directeur général de la sûreté nationale, annulant les deux précédentes et dispensant les personnels des administrations et des sociétés privées de tout document, en dehors des attestations délivrées par les employeurs.

Terrible retour de flamme pour Ryadh
Riyadh a pris une décision risquée de dépenser plus de 40 milliards de dollars de ses réserves d’or et de devises pour acheter des actifs européens et américains alors que ses recettes pétrolières diminuent en raison de la guerre des prix, relate le Financial Times. Les réserves d’or et de devises saoudiennes ont diminué de 21 milliards de dollars en avril, après avoir chuté de 24 milliards en mars, alors que le pays cherche à compenser la perte de ses recettes pétrolières en rachetant des actifs étrangers en pleine pandémie de Covid-19, a annoncé le Financial Times se référant à la banque centrale du royaume. Le ministre saoudien des Finances Mohammed Al-Jadâan, a confirmé qu’au printemps plus de 40 milliards de dollars des réserves de change avaient été «exceptionnellement» transférés au fonds d’investissement de l’État saoudien PIF (Public Investment Fund) qui achète des actifs en Europe et aux États-Unis, selon le journal. Utiliser les réserves d’or pour investir est une décision controversée qui s’expliquerait par de graves problèmes économiques provoqués en Arabie saoudite par la guerre des prix pétroliers, selon le Financial Times.

Mis aux poings
« Washington applique la politique des deux poids, deux mesures », Carrie Lam, cheffe de l’exécutif hongkongais
Ce n’est pas nouveau

« Le COVID-19 n’a pas changé, ni dans sa transmissibilité ni dans sa gravité, et que davantage d’efforts sont nécessaires pour en arrêter la transmission et sauver des vies », Maria Van Kerkhove, responsable technique du Programme des urgences sanitaires de l’OMS.
Pas très rassurant tout ça !

« Les principes sous tendant la diplomatie algérienne, à savoir le respect de la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale des Etats et la non-ingérence dans leurs affaires internes ainsi que le respect des règles de bon voisinage », Sabri Boukadoum, ministre algérien des Affaires étrangères
De quoi se montrer très fier d’être Algérien.

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