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Gaz de schiste : une exploitation saine, est-ce possible ?

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Depuis quelques mois, le monde est rentré dans une nouvelle phase énergétique. Et l’Algérie ne déroge pas à la règle. La chute brutale des prix du pétrole impose à l’Algérie de s’orienter vers d’autres alternatives lui permettant de diversifier son économie. Hier fut l’ère du pétrole, et cette période n’est pas encore révolue. En effet, pour les responsables algériens, l’avenir se résume, encore et toujours, aux hydrocarbures. Et cette fois-ci, il s’agit du gaz de schiste.
Cette technologie a, faut le rappeler, alimenté la polémique engendrant un grand mouvement de protestation à travers le pays. En quelques mois, le gaz de schiste est devenu le symbole de la lutte menée par les écologistes et les habitants du Sud. Pour l’opinion publique, l’exploitation du gaz de schiste engendre des risques pour la nature et l’environnement. Cependant, lors d’une journée technique et scientifique, organisée à l’hôtel Sheraton Club-des-Pins par l’Association algérienne de l’industrie du gaz (AIG), les spécialistes ont mis en exergue les conditions d’une utilisation « saine » de cette technologie.
Selon eux, et contrairement aux idées reçues, la fracturation hydraulique a prouvé son efficacité en matière de l’exploitation du gaz de schiste. Dans son intervention, Mme Melinda Truskowski, experte auprès du bureau canadien spécialisé en environnement et en énergie Golder Associés, a affirmé que jusqu’à maintenant, seule la fracturation hydraulique a prouvé son efficacité en matière de l’exploitation du gaz de schiste. À cet égard, elle a indiqué que la fracturation au propane qui présentée comme une des alternatives, est une technique qui présente un inconvénient du fait que le propane est un gaz inflammable qui risque de provoquer des explosions dans le puits. « Une mauvaise manipulation dans cette technique pourrait engendrer des résultats catastrophiques. Aux Etats-Unis, la technique de stimulation au propane est utilisée par des professionnels très soucieux de l’aspect sécuritaire », a expliqué Mme Truskowski. De son côté, le membre du bureau de l’AIG et ancien responsable au ministère de l’Énergie, Khaled Boukhelifia a précisé, à cette occasion, que l’autre technique de stimulation au fluoropropane, qui a fait l’objet d’un rapport officiel français sur les hydrocarbures non conventionnels, est utilisée au Canada mais elle est toujours au stade expérimental. « Actuellement, toutes les techniques alternatives à la fracturation hydraulique sont au stade de la recherche. Elles ne sont pas encore prouvées », a-t-il affirmé. Pour lui, le rapport français sur « les nouvelles technologies d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures non-conventionnels » porte plutôt sur la recherche pour l’utilisation de techniques nouvelles et n’affirme pas la faisabilité de l’exploitation par la stimulation au fluoropropane. Il a alors avancé que la presse française, qui a évoqué ce rapport en présentant la technique de stimulation au fluoropropane comme une réelle alternative permettant de répondre aux problèmes environnementaux posés par la fracturation hydraulique, « a déformé le contenu de ce document ».
Sur le même ordre d’idées, l’expert du bureau canadien spécialisé en environnement et en énergie Golder associés, Gabriel Canahai a plaidé pour que le développement de l’industrie du gaz de schiste soit mené en intégrant le souci de développement durable afin d’assurer une « exploitation responsable » de cette ressource non conventionnelle. De surcroît, il a mis l’accent sur la nécessité de maintenir et de renforcer le dialogue et la transparence de l’information entre les différentes parties prenantes, notamment entre les pouvoirs publics et la société civile. Pour rappel, l’ancien P-dg de Sonatrach avait souligné que le débat actuel sur le gaz de schiste est « un peu faussé » en ce qui concerne les éventuels risques sur l’environnement. Selon lui, la fracturation hydraulique est pratiquée depuis des décennies en Algérie sans aucun risque, et les volumes d’eau prévus pour le gaz de schiste sont insignifiants par rapport aux ressources existantes au Sahara. Si on se fie à ces déclarations, on voit bien qu’avec l’évolution des techniques, de la science et de la technologie, il sera possible, dans une quinzaine d’années, voir même avant, d’exploiter les schistes sans danger sur la nature. Mais avant de s’orienter vers le gaz de schiste ne serait il pas plus convenable de songer au développement des énergies renouvelables ? Notons, à ce sujet, que ce dont les autorités algériennes et les responsables du secteur évitent de parler, c’est du coût faramineux du développement du gaz de schiste. L’argument du coût élevé opposé à l’exploitation des énergies renouvelables. C’est pour ce que le projet Désertec tarde à voir le jour. Celui-ci était censé remplacer les hydrocarbures. Mais il s’est vite vu « détrôné » par les énergies non-conventionnelles. Décidément le mégaprojet va se finir en eau de boudin.
Lamia Boufassa

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44 Commentaires

  1. C’est une question de survie et d’intérêt national dont dépendra l’avenir des futures générations. Par politesse respect et considération, l’avis de tous les enseignants et cadres qui sont reste’ fidèles a` l’Algérie dans les moments difficiles les plus critiques est nécessaire. Une fois, considères’ les gens se sentent beaucoup plus concerne’.
    Les ordres c’est fait pour les moutons et puis ça ne marche pas, dans un monde civilise’.
    Vous avez plus de 20 Universités a` votre disposition. Vous n’avez donc pas le droit a` l’erreur. Un rapport technique de 2 a` 4 pages de chaque une d’elles, qui soit le fruit d’un débat ouvert entre enseignants et étudiants permettra de faire la synthèse globale, dans les meilleurs conditions. Il est évident que les universités et instituts spécialises dans le domaine du pétrole ont la priorité. Dans un esprit démocratique, qui haussera certainement la crédibilité de l’Algérie, toutes les universités des sciences et techniques du pays doivent participer a` la réflexion
    Une fois de plus, il ne s’agit pas de tout connaitre mais de savoir poser des questions avec politesse.
    Il est temps de changer de mode de gouvernance, au lieu de continuer a donner des ordres, qui le plus souvent ne marchent pas. Il faut les remplacer par une invitation a` la réflexion.

    • correction de la punctuation:

      Dans un esprit démocratique, qui haussera certainement la crédibilité de l’Algérie.Toutes les universités des sciences et techniques du pays doivent participer a` la réflexion

  2. Il y’a un grand espoir de découvrir du pétrole Offshore sur l’axe :
    – Annaba….. Skikda
    – Boumerdes …… Bejaia
    La possibilité’ de trouver l’équivalent d’Un Hassi-Messaoud ou même Deux, n’est pas a exclure, a` la seule condition de ne pas céder cette richesse énergétique moins de la fourchette technique suivante (105 a` 115)
    C’est le sang des chouhadas peut importe l’état d’avancement du gaz de schiste, qui bientôt le monde scientifique découvrira son side-effect, techniquement et économiquement.

  3. L’algerie n’a pas d’autres alternatives, que de relancer coûte que coûte le plan Desertec.
    Ainsi, que toute autre forme d’énergie renouvelable, de même que le recours a` l’énergie hydro-électrique n’est pas a exclure, dans le cadre de la stratégie énergétique globale.

  4. Si, vous faites appel aux compagnies étrangères pour faire la prospection. Il est fort probable que vous n’allez rien trouver ou presque : c’est-à-dire des petits gisements peu rentables.
    Il est temps que l’Algérie se lance dans le sondage offshore avec ses propres moyens techniques, humains et financiers.
    Pour réussir cette opération et lui donner toutes les chances de succès. Il impertinemment obligatoire que ce pays s’équipe d’un navire de prospection offshore ´Made in Norvège ’ d’après les spécialistes en la matière c’est le meilleur matériel pour cette besogne délicate. Le personnel navigant et technique ou opérationnel doit être exclusivement local compose’ des diplômes des universités et instituts algériens. Toutefois l’apport de l’expertise étrangère n’est pas a exclure dans le cadre de la complémentarité.
    De même que les Etats-Unis, la Grande Bretagne, le Japon et la France peuvent contribuer respectivement chacun dans son domaine d’excellence pour permettre à l’Algérie de réussir cette opération technique d’envergure.

  5. Il y’a une nette différence entre le sable bitumineux qui se trouve a ciel ouvert ou a` quelques mètres sous terre et le gaz de schiste qui lui se situe entre 1000 a` 3000 de profondeur, en général pour le Canada et les Etats-Unis.
    Qui possèdent des paramètres naturels exceptionnels, les favorisant ainsi du reste des autres pays concerne’ par cette nouvelle forme d’énergie, non conventionnelle.
    Dans ce dernier cas ; il faut prendre en considération le facteur géologique qui diffère selon les continents, les formations géologiques et des zones géographiques. Exemple, la structure géologique des Etats-Unis est totalement différente de celle de la Pologne (5000 a` 6000 mètres). D’où l’impact direct sur l’exploration et l’exploitation de cette nouvelle matière énergétique.
    Le deuxième facteur prépondérant sont les ressources hydriques, qui font une nette différence entre les deux premiers pays cites,ci avant et les reste des autres pays arides et semi arides.
    En conclusion : les models Canadiens et Américains ne sont transposables n’importe ou` et n’importe comment.

  6. A voir les videos de vulgarisation suivantes sur youtube:

    1- H2O -Oil : les Sables bitimeux de j’Alberta

    2- Sables bitimeux d’Alberta : desastre economique

    3- La Guerre de j’or noir, ja fin de j’ere du petrole

  7. Faire une étude comparative des documentaires vidéo et articles des éminences suivantes :

    1- Dr. Abdelkader Saadala (Geo-Sciences) expert pétrolier vivant actuellement en Norvège.
    2- Dr. Preure , (Ecole centrale) expert pétrolier – France

    A la fin vous remarquerez, que les deux experts en question ont des visions complètement divergentes sur ce sujet.

  8. Dans les proportions de la fourchette (60 a` 65) Dollars le baril, cette nouvelle forme de Fuel synthétique ou Gaz et huile de schiste n’est même pas rentable pour les compagnies américaines.
    Ceux de la taille moyenne sont endettées et les petites boites ont déclare’ faillite, purement et simplement.
    La Pologne est oblige’ de faire marche arrière pour des difficultés techniques et des problèmes de rentabilité.
    La Tunisie dont le géologie et les ressources hydriques se rapprochent le plus de ceux de l’Algérie est confronte actuellement a d’énormes difficultés devant la pression du public et des scientifiques locaux. Ceci, malgré la pression constante des grands groupes pétroliers internationaux.
    Les interventions et conférences de presse du Dr. Matloudi, expert en génie minier & hydrocarbures sont sans équivoques, sur ce sujet.
    Il serait souhaitable que l’Algérie prenne en considération, les expériences de ces deux pays, faire une étude comparative et dont tirer ses propres conclusions, avant de se lancer dans cette aventure trop risquées pour les pays arides et semi-arides.

    • ……. Lire:

      – Il serait souhaitable que l’Algérie prenne en considération, les expériences de ces deux pays, faire une étude comparative et d’en tirer ses propres conclusions, avant de se lancer dans cette aventure trop risquée pour les pays arides et semi-arides.

  9. Pour mieux appréhender cette théorie de gaz de schiste, il est dans l’intérêt de l’Algérie de faire confiance a` ses propres capacités techniques et scientifiques. Toutefois l’apport de l’expertise étrangère n’est pas a exclure dans le cadre de la complémentarité.
    Faire preuve d’indépendance de jugement, c’est l’unique façon de réussir dans cette option.

  10. correction:

    L’IAP – INH – INGM et le reste des autres Universités pour les sub-spécialités sont l’équivalent du MIT- Stamford- Oxford- Berkeley- Centrale- UMIST- Ecole des Mines (P) , etc ….
    Pour ce qui concerne les questions stratégiques en particulier énergétiques. Les solutions importées ne marchent pas, tout le temps.
    Il est grand temps de se libérer de ce complexe d’infériorité : c’est tout simplement une question de langue, d’équipements et d’expérience. Le reste est une épreuve de motivation personnelle et de responsabilité morale de l’individu. L’apport de l’expertise étrangère ne peut être considère’ que dans le cadre de la complémentarité.
    La décision sur le gaz de schiste est une question d’intérêt national qui relève des compétences et capacités locales. Par principe, l’expertise étrangère doit être reléguée au second plan et ne peut être considérée que : comme complément, si la nécessite’ l’exige.
    Il est temps que les algériens confirment leur personnalité, sur le plan technique et scientifique.
    Au lieu de continuer a donner des ordres, qui le plus souvent ne marchent pas. Il est temps, de les remplacer par une invitation a` la réflexion. C’est ce qui caractérise un monde civilise’ d’une société’ primitive.

  11. Par politesse, respect et considération le Ministre de l’Energie doit d’abord et avant toute chose consulter son potentiel technique national. Il a une vingtaine d’universités et instituts spécialises à sa disposition. Les diplômes algériens qui ont passe plus de 15 a` 20 années au service de la Sonatrach a` travers ses différents chantiers sont les mieux places pour évaluer la situation globalement et prendre la meilleure décision afférente pour le cas spécifique de l’Algerie. On ne leur demande pas d’écrire des thèses mais juste un rapport technique de 2 a` 4 pages qui soit le fruit d’un débat ouvert entre enseignants, étudiants et les travailleurs du secteur en question. Ce qui se passe au Canada et aux USA, n’est pas applicable n’ importe où` et n’importe comment pas moins pour ce qui concerne l’Algérie. Ces deux pays ont des critères naturels que vous n’avez pas, exemple une surabondance d’eau, ils sont entoure’ de l’océan des trois cotes en plus d’une climatologie et une géologie spécifiquement favorables. Ceci sans oublier les paramètres ou éléments techniques bien spécifiques qui leur sont propres. Dont vous etes en mesure de les énumérer. Il n y’a aucune étude comparative entre ces deux pays avances et l’Algérie. Pour ce qui concerne la question du gaz de schiste le cas de l’Algérie doit être considère’ selon ses propres attribues : zones arides ou semi-arides et manque chronique de ressource hydrique.
    Seuls les algériens qui vivent la réalité quotidienne sont en mesure de prendre une décision qui soit en faveur de leur pays. C’est l’esprit qui doit anime tout chef de projet ou administrateur de l’état,la politesse n’a jamais tuer personne.
    Toutefois l’apport de l’expertise étrangère n’est pas a exclure dans le cadre de la complémentarité.
    Dans ce cas les solutions clés en main ne marchent pas, tout le temps.

  12. Les gens sont plus sensibles lorsque on leur donne plus de considération et faire de la priorité un privilège qui leur revient de plein droit,
    Le reste ce n’est que du cinéma.

  13. Si vous faites un effort pour mettre sur la table 15 a` 25 /100 du projet ou même le minimum dont vous etes capables. Les étrangers vous respecteront plus. La` au moins ils savent de quoi vous parlez et seront prêt a coopérer avec vous, sans restriction.
    Les solutions importées ou standards ne sont pas conformes à la réalité sur le terrain.

  14. Le gaz de schiste peut marcher au Canada et aux Etats-Unis. Ils ont des critères naturels spécifiques que d’autres n’ont pas.
    Ce n’est pas le cas typiquement pour l’Algérie avec ses zones arides et semi-arides.

  15. Les options suivantes :
    1- Solaire et toutes autres formes d’énergies renouvelables
    2- Le recyclage des déchets ménagers
    S’imposent comme des solutions incontournables,c’est aux responsables algériens de rechercher dans les cinq continents les solutions afférentes qui répondent a leur besoins.

    • …… Lire:

      S’imposent comme des solutions incontournables,C’est aux responsables algériens de rechercher dans les cinq continents les solutions afférentes qui répondent a` leurs besoins.

  16. Il est souhaitable que les algériens apprennent a compter sur eux-mêmes et faire un effort pour mettre sur la table le minimum dont ils sont capables.
    Ce qui se passe au Canada et aux Etats-Unis, ceci ne veut pas dire automatiquement que cette technologie va marcher en Algérie. Il ont adopte cette méthode d’extraction en fonction de leurs propres paramètres naturels, que les algériens ne possèdent pas.
    C’est aux algériens d’en faire autant, c’est a dire considère’ ce procède’ technologique en fonction de leurs propres critères.
    Le gaz de schiste peut marcher pour les deux pays d’Amérique du Nord, tant mieux pour eux, c’est leur chance. Ils sont bénis pat la nature. De même que la solution pour les déchets résultant de l’exploitation n’est pas définitive, reste peut crédible et même contestable selon certains experts, en la matière.
    Les solutions clés en main ne marchent pas tout le temps.
    C’est une question délicate d’intérêt national et même de survie. Il est temps, que les algériens fassent preuve d’indépendance de jugement, dans leur propre intérêt et celui de leur pays.

  17. Pour des questions stratégiques d’une telle importance, personne ne demande aux algériens d’avoir un Doctorat ou un P’hd mais de faire preuve des principes fondamentaux de raisonnement logique, qui caractérise tout technocrate, digne de ce nom.

  18. Les solutions clés en main ne marchent pas pour les questions stratégiques .On doit faire preuve d’un esprit d’analyses critiques pour essayer de formuler ses propres solutions en fonction des paramètres et critères qui sont spécifiques. Comme, c’est le cas pour les pays arides et semi-arides dont l’Algérie en fait partie.

  19. Seuls les experts algériens qui vivent avec leurs familles, la réalité’ algérienne de tous les jours et qui ont donne’ 7 a` 15 années de leur vie a` la Sonatrach sont en mesure de se prononcer sur cette question de gaz de schiste pour le cas spécifique, de l’Algérie.
    L’expertise étrangère n’est pas a exclure dans le cadre exclusive, de la complémentarité.

  20. Les solutions stratégiques ça se ne s’achète et s’importent pas.Ca se formule, même avec le minimum dont ont est capable.
    C’est ce que l’on appelle le respect de soi même afin de pouvoir discuter avec les autres.

  21. Les options suivantes :
    1- Solaire et toutes autres formes d’énergies renouvelables
    2- Le recours a l’energie hydrau-ekectrique n’est pas a exclure.C;est une opportunite’ pour les villes cotieres et meme il faut deja penser a creer des chutes d’eau artificielles,la` ou` les conditions techniques le permettent.
    3- Le recyclage des déchets ménagers.Dans ce cas il est conseiller de prendre l’exemple des pays Scandinaves.
    S’imposent comme des solutions incontournables,c’est aux responsables algériens de rechercher dans les cinq continents les solutions afférentes qui répondent a` leur besoins.

    • correction de la frappe:

      Les options suivantes :
      1- Solaire et toutes autres formes d’énergies renouvelables
      2- Le recours a l’énergie hydro-électricité n’est pas a exclure. C’est une opportunité’ pour les villes côtières. Il faut déjà penser a créer des chutes d’eau artificielles, la` ou` les conditions techniques le permettent.
      3- Le recyclage des déchets ménagers. Dans ce cas il est conseiller de prendre l’exemple des pays Scandinaves.
      S’imposent comme des solutions incontournables. C’est aux responsables algériens de rechercher dans les cinq continents les solutions afférentes qui répondent a` leurs besoins.

  22. Pour tou ceux qui sont interesse’ par cette question enegetique epineuse ne devront pas rate,les rapports suivants:

    1- Le rapport Montebourg sur le gaz de schiste……………..paru dans le Figaro du 6 Avril 2015

    2- Le Gaz de Schiste: Miroir aux allouettes……………………paru dans La-Bai

    3- Compte rendu de la commission du developpement durable et de l’amenagement du territoire…….paru dans de Mclclalex du 19 Avril 2013

  23. Il est vivement souhaitable que les TROIS pays du Maghreb (Tunisie, Maroc, Algérie) suivent l’exemple de la France et de la Pologne, qui ont déjà tire des résultats prouves’ de l’étude expérimentale.
    En fait, économiquement parlant le gaz de schiste n’est pas rentable dans les fourchettes suivantes :

    Fourchette de rentabilité pour les USA : 75 a` 95 sera négative conséquences plusieurs compagnies américaines sont endettées ou commencent a déclarer faillite purement et simplement.

    Pour les pays du Maghreb la fourchette de rentabilité se situe entre 95+ a` 115, autrement ça sera un désastre économique, industriel (les rejets toxiques), écologique et médical aux conséquences graves irréversibles. Autrement dit des suites sans solutions définitives.

    Il serait donc plus sage pour les pays du Maghreb de préserver coûte que coûte ce que leur a donne Dieu :la nature,le beau temps et la fertilité des terres agricoles et d’oublier définitivement ce que leur propose les hommes a` des prix dérisoires.

    Conclusion :
    – la nature est une constante stable dans le temps
    – Le gaz de schiste est une variable industrielle bien limitée dont les conséquences négatives n’ont aucune solution definitive.

    C’est aux responsables scientifiques et techniques de ces pays de prendre leurs responsabilités historiques dans l’intérêt de leurs peuples respectifs.

  24. Pour les ardents adeptes du Gaz de Schiste ils n’ont qu’a se payer des vacances dans l’Etat de l’Oklahoma.
    J’en suis persuade’ qu’ils vont changer d’avis,sur place.

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