Accueil L'EXPRESS Émigration clandestine : 16 candidats interceptés à Oran

Émigration clandestine : 16 candidats interceptés à Oran

0

Seize candidats à l’émigration clandestine ont été interceptés, jeudi, au nord des côtes des «Andalouses» par des unités du groupement territorial des garde-côtes d’Oran, a-t-on appris jeudi, de la cellule de communication de ce corps de sécurité. Ces seize clandestins, dont un mineur, ayant tenté leur traversée en mer, à bord d’un zodiac doté d’un moteur, ont été interceptés jeudi, en fin de matinée, à deux miles au nord des «Andalouses», par une patrouille des garde-côtes, a expliqué la même source. Après les formalités d’usage, ce groupe a été remis aux services de la Gendarmerie nationale pour les présenter devant la justice, a-t-on ajouté de même source.

64 morts et 2 725 blessés sur les routes en 2018 à Sétif
Les accidents de la circulation, enregistrés dans la wilaya de Sétif durant l’année 2018 ont causé la mort de 64 personnes et des blessures à 2 725 autres, a-t-on appris jeudi, auprès d’un cadre de la direction de la Protection civile (DPC). Le bilan de l’année dernière se rapproche de celui de l’année 2017 a précisé à l’APS le capitaine Ahmed Lamamra, le chargé de l’information et de la communication au sein de cette direction détaillant que soixante trois personnes ont trouvé la mort et 2 777 autres ont été blessés en 2017. Le plus grand nombre des accidents de la circulation de 2018 ont été signalés au mois d’août avec 265 accidents recensés ayant provoqué le décès de six personnes et des blessures à 417 autres alors que le plus grand nombre de personnes décédées a été recensé durant le mois de juillet 2018, a-t-il ajouté. à cet égard, le capitaine Ahmed Lamamra a appelé à la nécessité d’intensifier les efforts de l’ensemble des acteurs, sur le terrain afin de préserver la vie et la sécurité de tous.

France : Marine Le Pen devant la justice pour avoir relayé des photos sur «Daech»
Le parquet de Nanterre, près de Paris, a requis le renvoi devant un tribunal de Marine Le Pen, figure politique et finaliste de la dernière présidentielle pour avoir relayé en 2015 des photos d’exactions du groupe terroriste autoproclamé État islamique (EI/Daech) sur Twitter, ont indiqué vendredi des sources concordantes. La présidente du parti d’extrême droite, Rassemblement national (RN), avait été inculpée pour «diffusion de message violent susceptible d’être vu ou perçu par un mineur. Le 16 décembre 2015, quelques semaines après les sanglants attentats terroristes de novembre, les pires jamais commis en France, elle avait twitté trois photos d’exactions du groupe EI, en réponse au journaliste vedette Jean-Jacques Bourdin qu’elle accusait d’avoir «fait un parallèle» entre l’EI et le FN.
Ces images, qu’elle accompagnait des mots «Daech, c’est ça», montraient un soldat syrien écrasé vivant sous les chenilles d’un char, un pilote jordanien brûlé vif dans une cage et une photo du journaliste américain James Foley, le corps décapité et la tête posée sur le dos».

La fièvre de Lassa a fait 83 morts depuis le mois de janvier au Nigeria
Le Nigeria a enregistré 83 morts liés à la fièvre de Lassa, a annoncé vendredi le Centre nigérian pour le contrôle des maladies (NCDC).
Dans un communiqué confirmant cette évolution, le NCDC a précisé que ce chiffre représente un taux de mortalité d’environ 21,8% depuis le mois de janvier 2019. Au moins 21 des 36 États du Nigeria sont touchés par cette fièvre hémorragique virale aiguë depuis le 13 janvier, ajoute le communiqué. Des cas ont aussi été signalés à Abuja, la capitale. Le NCDC a également confirmé 23 nouveaux cas de fièvre de Lassa, endémique dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, enregistrés entre le 18 et le 25 février. Jusqu’à présent, 1 279 cas suspects ont été signalés dans tout le pays, a dit le NCDC.
Le 22 janvier, les autorités nigérianes ont annoncé l’éruption de la maladie, indiquant qu’un centre des opérations d’urgence avait été activé pour coordonner la réponse. Le directeur général du NCDC, Chikwe Ihekweazu, a par ailleurs déclaré vendredi aux journalistes que 15 agents de santé avaient été touchés par la maladie, ajoutant que 4 499 personnes soupçonnées d’avoir eu un contact avec les personnes infectées avaient été identifiées dans 18 États. Parmi ces contacts suspectés, 1 987 sont suivis pour enrayer la propagation de la maladie et 2 461 ont terminé les 21 jours obligatoires de suivi, a ajouté M. Ihekweazu.
Des données épidémiologiques récentes montrent que la fièvre de Lassa est généralement présente au Nigeria pendant la saison sèche, entre janvier et avril. En 2018, le NCDC a signalé au moins 143 décès liés à cette maladie dans tout le pays, 22 États et 90 collectivités locales étant touchés l’an passé.

Article précédentCNAS : 8 800 milliards injectés dans les hôpitaux du pays
Article suivantPOLITIQUE CÉRÉALIÈRE DE L’ALGÉRIE : Une analyse évolutive montre les indices de la modernisation