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Un réseau spécialisé dans la falsification de la monnaie nationale démantelé à Aïn Defla

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Les éléments de la brigade de la Gendarmerie nationale de Tachta (55 km au nord de Aïn Defla) ont démantelé mercredi dernier un réseau de cinq personnes (âgées entre 23 et 38 ans) s’adonnant à la falsification et au trafic de la monnaie nationale, en saisissant plus de 260 000 dinars, a-t-on appris vendredi auprès de la cellule de communication du groupement local de ce corps de sécurité.
Ayant eu vent d’informations faisant état d’un individu s’adonnant à la falsification et au trafic de la monnaie nationale au niveau de Tachta, les gendarmes de la brigade de cette localité, appuyés par leur homologues d’El-Attaf et des éléments de la section de recherche et d’intervention (SSI) d’ El Abadia ont mis en place un plan visant sa neutralisation, a-t-on précisé. Les vastes recherches lancées ont permis aux gendarmes d’arrêter la personne en question en compagnie de trois de ses acolytes, saisissant la somme de 264 000 dinars (coupures de 2000 dinars) que la bande s’apprêtait à écouler sur le marché, a-t-on fait savoir, signalant qu’une cinquième personne appartenant à la bande est actuellement recherchée.
Présenté jeudi au procureur de la République près le tribunal d’El-Attaf, deux des mis en cause ont été placés au niveau de l’établissement de prévention de la ville au moment où les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire, a-t-on conclu de même source.

Graffitis antimusulmans sur une mosquée en République tchèque
Une mosquée de Brno, la deuxième ville tchèque, dans le sud-est du pays, a été vandalisée par des inconnus avec des graffitis menaçant de tuer des musulmans, a annoncé samedi la police. «Nous enquêtons sur cette affaire depuis vendredi après-midi, pour endommagement de biens», a déclaré le porte-parole de la police locale, Bohumil Malasek, cité par l’AFP. L’auteur du graffiti risque une peine d’un an de prison. «Nous le prenons au sérieux, comme une menace directe. Ce n’est pas un appel anonyme sur internet», a déclaré à l’agence de presse CTK Muneeb, Hassan Alrawi, directeur du Centre des communautés musulmanes tchèques. «Nous devons voir cela aussi à la lumière des attaques contre les mosquées dans le monde, ainsi que du sentiment et de l’ambiance d’oppression en République tchèque», a-t-il ajouté.

Saisie de près de 1 kg de cannabis et récupération de 18 pièces de monnaie archéologiques à Khenchela
Les éléments de la brigade mobile de la police judiciaire (BMPJ) de la wilaya de Khenchela en coordination avec d’autres services de sécurité ont démantelé un réseau criminel de commercialisation de drogue et ont saisi prés de 1 kg de cannabis et 18 pièces de monnaie archéologiques, a-t-on appris vendredi auprès de la cellule de communication de ce corps constitué. Une enquête a été déclenchée suite à des informations parvenues au service de la BMPJ relevant la commercialisation de drogue dans le cadre d’un réseau, a précisé la même source soulignant que les investigations lancées ont permis d’identifier deux suspects trentenaires, aussitôt appréhendés suite à une souricière de la police sur un axe routier menant vers la commune de Metoussa. La fouille des personnes arrêtées ainsi que du véhicule à bord duquel elles se trouvaient a permis la découverte de 9 plaquettes de cannabis totalisant 900 grammes et 285000 dinars, a-t-on encore détaillé indiquant que les investigations approfondies ont permis d’identifier un troisième suspect. La perquisition du domicile de ce suspect à N’sigha a permis de mettre la main sur 18 pièces de monnaie archéologique dont l’expertise a relevé que ces pièces étaient en bronze et remontent à une période ancienne. Les trois mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt pour «détention, vente et transport de drogue dans le cadre d’un réseau criminel organisé» et «recel de pièces de monnaie archéologiques, récupérées à travers des fouilles sans autorisation».

Démantèlement d’un atelier clandestin de fabrication de produits en plastique contrefaits à Sétif
Les services de la sûreté de wilaya de Sétif ont démantelé un atelier clandestin de fabrication de produits en plastique contrefaits, a-t-on appris jeudi du responsable de la cellule d’information et de communication auprès de ce corps de sécurité, le lieutenant, Abdelouahab Aissani. Cette opération qui s’inscrit dans le cadre des efforts de lutte contre la contrefaçon et la fraude a donné lieu à la saisie de 120000 unités de verres et cuillères et autres ustensiles en plastiques destinées à la commercialisation en plus de machines et équipements utilisés dans la fabrication et la transformation du plastique et autres pour le placement de fausses étiquettes, a précisé la même source à l’APS. Agissant sur la base de renseignements faisant état d’activité illégale d’un atelier clandestin qui s’adonnait à la production de produits contrefaits en plastiques portant une marques commerciale étrangère, les élément de la brigade économique et financière du service de wilaya de la police judiciaire ont intensifié les investigations et sont parvenus à l’identification du lieu, où est implanté l’atelier suspect. Après une perquisition des lieux, il s’est avéré que le propriétaire de l’atelier ne dispose pas de registre de commerce ou documents lui autorisant de pratiquer cette activité, a souligné la même source, précisant que le mis en cause n’a pas respecté les procédures légales du code du commerce et du code de protection du consommateur.

Deux morts dans un accident de la route à M’sila
Deux (2) personnes âgées de 45 et 16 ans sont mortes dans un accident de la route survenu, samedi, à la sortie ouest de la ville de Sidi amour (130 kilomètres au Sud de M’sila), ont rapporté les services de la Protection civile de la wilaya.
Cet accident s’est produit suite à une collision entre un véhicule touristique et une moto, ont précisé les même services, expliquant que les dépouilles des deux victimes ont été transférées à la clinique de Sidi amour.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes de ce tragique accident.

Aviation : Airbus redevient le numéro un mondial devant Boeing
Airbus a livré 863 appareils en 2019, ce qui représente une hausse 7,9% par rapport à 2018, reprenant ainsi à Boeing la place de premier constructeur aéronautique mondial selon des sources proches de l’avionneur. Contraint de réduire puis de suspendre la production de son 737 MAX, Boeing s’est nettement laissé distancer par son concurrent européen et s’est même séparé, le 23 décembre dernier, de son directeur général. Airbus a, lui aussi, rencontré des difficultés industrielles qui l’ont amené à réduire en octobre de 2% à 3% son objectif de livraisons pour l’année. Des ressources supplémentaires ont été déployées en toute fin d’année pour lui permettre de dépasser aux dernières heures de 2019 le chiffre de 860 appareils livrés qu’il avait dit viser. Les livraisons sont un indicateur de la santé des constructeurs mais aussi un moment crucial pour leurs comptes puisqu’ils perçoivent l’essentiel de leurs recettes au moment où leurs clients reçoivent les appareils commandés.
Le chiffre de 863 avions livrés représente un record jamais atteint auparavant par un constructeur et permet à Airbus de reprendre la place de numéro un mondial du secteur, une place qu’occupait Boeing depuis 2011. Pour parvenir à ce résultat, Airbus a redéployé des milliers de salariés et annulé les congés de certains d’entre eux ce qui pourrait avoir un impact, quoique modeste, sur sa marge d’exploitation. Les analyses s’accordent toutefois pour considérer que cette hausse des coûts n’entamera pas sa rentabilité.

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