Mobilis, partenaire officiel du Comité olympique algérien, accompagne la 11ème édition de la semaine Olympique Sport Sud, qui se déroule à Laghouat du 24 au 29 Décembre 2014. Après de nombreuses éditions, la 11ème édition prend ses quartiers à la wilaya de Laghouat, une véritable occasion en or pour offrir à des centaines de jeunes athlètes du sud algérien un espace d’expression et de découverte de nouveaux talents. Aussi, un programme très riche a été élaboré pour cette grande manifestation, qui comprend des compétitions sportives telles que : le Basket, Volley, Karaté, Football, Boxe, Tennis de table, Handball, et Judo. À cette occasion Saâd DAMMA, président directeur général de Mobilis, présent à cette grande manifestation, est très fier d’accompagner le mouvement sportif algérien, avec toutes ses disciplines et réitère l’engagement de l’entreprise à accompagner le sport national, et promouvoir les jeunes athlètes appelés à devenir de futurs champions. Pour rappel, Mobilis est partenaire officiel du Comité olympique algérien jusqu’aux JO de Tokyo 2020.
L’insécurité alimentaire touchera plus d’un million de personnes à cause d’Ebola
Le nombre de personnes confrontées à l’insécurité alimentaire en raison de l’épidémie d’Ebola en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone pourrait dépasser un million d’ici à mars 2015, à moins d’une nette amélioration de l’accès à la nourriture, assortie de mesures pour sauver la production agricole et l’élevage, selon la FAO et le Programme alimentaire mondial (PAM).
Le chanteur Pharrell Williams veut faire payer YouTube à hauteur d’au moins 1 milliard de dollars !
Représentés par une nouvelle entreprise de défense des droits d’auteurs, quarante-deux artistes dont Pharrell Williams demandent à YouTube de retirer 20.000 morceaux de musique. Sinon quoi ? Sinon, ils attaqueront en justice. Il a beau chanter en faisant des vagues avec ses bras et faire plus de 527.000.000 de vues sur YouTube, Pharrell Williams ne plaisante pas, quand il s’agit de sa propriété intellectuelle. Associé à quarante-et-un artistes, le créateur du mouvement Happy (décliné dans à peu près toutes les grandes villes du monde) a YouTube dans le viseur. La récente entreprise Global Music Right, qui regroupe ces artistes a en effet demandé à YouTube de retirer 20.000 morceaux de musique de sa plateforme.Le fondateur de cette entreprise, Irving Azoff, a expliqué au Hollywood Reporter les raisons de cette demande. Selon lui, les auteurs-compositeurs sont « beaucoup trop sous-payés ». C’est donc pourquoi il s’en prend au site. « N’importe quel service de diffusion, y compris YouTube, doit obtenir la permission auprès des propriétaires de copyright de distribuer leurs compositions, précise-t-il. Global Rights Music gère les droits de concerts d’environ 20.000 chansons, qui n’ont pas fait l’objet d’une licence avec YouTube. » Déterminé, il ajoute même que Global Rights Music pourrait retirer 150.000 dollars de dommages pour chaque vidéo diffusée sans autorisation. Un total de 3 milliards de dollars. Rien que ça ! Mais s’il y a procès ou résolution à l’amiable, The Hollywood Reporter estime plutôt l’indemnité à un milliard de dollars. Ce qui n’est déjà pas négligeable.
International Transparency : la conférence sur la corruption annulée
Le gouvernement tunisien a annulé la tenue de la conférence internationale sur la lutte contre la corruption. Cette décision est principalement due aux dépenses «excessives» imposées par International Transparency (IT), pour la tenue de cette rencontre, selon Anouar Ben Khelifa, secrétaire d’État à la gouvernance. Dans une déclaration aux médias, jeudi dernier, en marge de l’ouverture des travaux d’un atelier sur le «Projet de développement des services administratifs», Ben Khelifa a signalé que la Tunisie allait débourser, en vertu de l’accord établi avec IT pour l’organisation de cet événement en Tunisie, 4,5 millions d’euros, soit 11 millions de dinars. Soulignant que le gouvernement a économisé 9 millions de dinars, et qu’il avait déjà versé 0,8 million d’euros à l’organisation «IWatch». «La lutte contre la corruption n’est pas tributaire de l’organisation de conférences mais, c’est un effort quotidien», a-t-il indiqué évoquant les projets et mesures mis en œuvre par le gouvernement actuel dans ce domaine, à l’instar de l’élaboration d’un plan d’action national de «Partenariat pour un gouvernement ouvert» et d’un code de conduite pour les agents de la Fonction publique, ainsi que la création d’un portail de dénonciation de la corruption.