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Berraf refuse de lâcher le morceau

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Ahmed Mahour, athlète de renommée mondiale, et très au fait de ce qui se passe au sein du COA, a publié un « Post » fort instructif sur sa page Facebook. Celui-ci, rondement mené, mérite carrément d’être repris in-extenso « 04 mois après avoir salué le drapeau et l’hymne national d’Israel, 03 mois après sa démission verbale, 02 mois apres sa démission refusée, 01 mois après sa démission constatée et 15 jours après son départ souverain et définitif du COA, Berraf ne veux toujours pas rendre les clés de la villa d’hôte du COA sise à Ben Aknoun, ni ceux de la Mazda 4×4, achetée au fils de Sellal. Il veut faire de la villa, une annexe de l’ACNOA et se serai vu affecté par le COA, un travailleur à son service. Un emploi fictif au regard de la loi, puisque cet informaticien payé par le COA, avec l’argent des sportifs, va travailler pour le compte de Berraf. Pourquoi mettre ce pauvre travailleur dans une situation stressante et qui peut lui nuire? Une situation qui est illégale par rapport à la loi, d’autant plus que la villa d’hôte de Ben Aknoun n’est pas enregistrée auprès des services de sécurité, en tant que siège d’une ONG étrangère ».

Mustapha Hemissi, nouveau DG d’Echaâb
Le journaliste Mustapha Hemissi, a été désigné nouveau directeur général du quotidien arabophone public Ech chaâb, a-t-on appris auprès de la direction du journal. Hemissi devait même prendre ses fonctions hier à l’occasion d’une cérémonie officielle. Il remplace ainsi Fnides Benbella qui occupait l’intérim de la direction générale de cette publication. Mustapha Hemissi, journaliste et écrivain connu pour son professionnalisme, dirigeait un magazine spécialisé « Économie actuelle ».

Le « hold-up » de Mohammed VI
Confronté à la pire crise économique de son règne, le roi du Maroc, Mohammed, VI envisage de refinancer sa holding privée Al Mada grâce à un emprunt obligataire d’un demi-milliard de dollars. Le premier souscripteur devrait être la mutuelle des paysans, Mamda-MCMA, qui l’a déjà plusieurs fois sorti de l’ornière. Cette opération parfaitement illégale, est assimilable par les experts, à un véritable hold-up » qui ne dit pas son nom.

L’affaire Merouani prend de l’ampleur
Le transfert de Merouani suscite beaucoup d’interrogations, surtout qu’au départ, il était question de 800 millions avant que la somme ne soit doublée étant donné que les Mouloudéens ont payé la coquette somme de 1 650 millions pour l’avoir. Après la sortie médiatique de Merouani qui a affirmé que Saâdaoui n’est pas son manager, comment il a pris alors sa commission ? Les Mouloudéens ont déjà ouvert une enquête et ont rencontré Merouani pour l’entendre dans ce sens. Apparemment, le P-DG veut éclaircir cette affaire et si celle-ci doit passer par la justice, il le fera dans la mesure où l’on apprend qu’il a donné des instructions à la direction du MCA de fournir tous les documents concernant cette affaire à l’avocat de l’entreprise nationale des hydrocarbures. S’il y a vraiment contrainte portant atteinte au club mouloudéen, l’affaire sera portée en justice pour valoir les droits du Doyen.

La 4G stigmatisée en Algérie
Le régulateur algérien du secteur des télécommunications, l’Autorité de Régulation des Postes et des Communications Electroniques (ARPCE), a averti les trois opérateurs mobiles, Djezzy, Ooredoo et Mobilis, de se conformer à la 4G QoS, ou sinon de s’exposer à des sanctions. Dans un communiqué, l’ARPCE a indiqué que du 16 février au 12 mars 2020, elle a évalué la couverture et la qualité de service des réseaux 4G des opérateurs dans les régions de Blida, Djelfa, Tlemcen, Adrar et Constantine. Au cours de cette période, le régulateur a indiqué qu’il avait identifié des lacunes dans les services 4G de Djezzy, Ooredoo et Mobilis. « Les résultats de ce contrôle ont révélé que les trois opérateurs ne répondaient pas à certaines exigences de couverture et de qualité de service des réseaux 4G dans ces wilayas », a précisé l’ARPCE. La note du régulateur a confirmé les plaintes des abonnés concernant la qualité des services de télécommunications en Algérie. Les opérateurs ont reçu des rapports contenant des détails spécifiques sur les lacunes qui devraient être corrigées. Selon le régulateur, une autre évaluation sera effectuée et les opérateurs qui ne se seront pas conformés seraient alors condamnés à une amende.

ASL Airlines se replace en Algérie
La compagnie aérienne française ASL Airlines et son représentant à Alger Réda Benyounès cherchent à s’imposer sur la desserte Algérie-France en facilitant le retour des voyageurs bloqués par la pandémie. C’est ainsi que cette compagnie a mis à profit les opérations de rapatriement des ressortissants français bloqués en Algérie pour programmer durant toute la semaine à venir des vols inverses en faveur des Algériens bloqués en France.

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