À la lumière du discours prononcé lundi à l’APN, par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, et les différentes interventions des députés, par la formulation des problèmes considérés comme une priorité socio-économique, et soutenues par le contexte national, la priorité a été accordée à l’aspect social et la lutte contre les disparités. Un appui parlementaire ayant pour but d’assurer une bonne gouvernance, appelant les membres du gouvernement à remplir dignement et loyalement leurs fonctions, dans la formulation des politiques déclarées, la supervision de l’exécutif, ainsi que le soutien et la facilitation du travail des pouvoirs publics. Au centre des observations soumises, les groupes vulnérables de la société, d’où l’importance de suivre de nouveaux mécanismes ayant pour priorité ultime d’améliorer le cadre de vie du citoyen « moyen ». Des points de vue et des opinions exprimés en toute transparence, dressant ainsi une liste de défis majeurs pour les décideurs, en matière de santé publique, d’enseignement, de lutte contre le chômage, de la cherté des produits alimentaires de base et la régression du pouvoir d’achat, mais pas que. En effet, les disparités dans bon nombre de secteurs vitaux ont mis à nue un cadre de vie du citoyen plus que jamais contesté. Seul garant de la relance de la machine économique, comme issue à l’amélioration du quotidien du peuple algérien, à même de sortir de l’indépendance aux hydrocarbures et d’assurer la sécurité alimentaire primordiale pour la bonne santé du pays, dans toutes ses dimensions, l’administration d’Aïmene Benabderrahmane a prêté oreille avec attention à différentes réclamations des députés. Tout en admettant que cette présentation du ministre a porté en son sein « des indicateurs positifs », et en saluant également les efforts considérables qui ont été faits jusqu’à présent, les suggestions des parlementaires ont mis l’accent sur les moyens d’étendre, d’approfondir et d’enrichir les efforts existants, depuis septembre 2021, notamment. En tête des priorités, « la régulation des prix des produits de consommation ». C’est ce qu’ont soulevé à l’unanimité plusieurs députés, à l’instar d’Abderrahmane Boukermouche, du groupe des indépendants, de Belkacem Belmouaz, du parti du FLN, de Maâmar Omar et Aïssa Bencherchafa, lesquels ont tous rebondi dans le sens des préoccupations des citoyens quant aux conditions de vie qui nécessitent mûre réflexion, dont « L’octroi des subventions aux plus méritants, l’amélioration des prestations de transport, l’égalité des chances dans l’obtention du foncier par les investisseurs, la révision et l’augmentation des salaires des médecins et l’amélioration des services administratifs ». Par ailleurs, certains membres du parlement ont plaidé pour « la redynamisation de la diplomatie économique », comme souligné par La député Farida Ghemra. Pour sa part, le député Hocine Hadjadji a interpellé le Premier ministre pour « une prise en charge des secteurs de la santé et des travaux publics, notamment les questions relatives au problème des routes ». D’autre part, d’autres préoccupations ont été mentionnées par les présents à l’APN, dont « les faibles débits d’Internet, le dossier des contractuels non titularisés, ont été parmi les points soulevés par de nombreux députés, alors que certains se sont contentés de transmettre les préoccupations locales des citoyens dans les régions où ils ont été élus ». Hamid Si AhmedLES DÉPUTÉS PLAIDENT POUR L’AMÉLIORATION DU CADRE DE VIE DU CITOYEN Pour un gouvernement « solidaire » Àla lumière du discours prononcé lundi à l’APN, par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, et les différentes interventions des députés, par la formulation des problèmes considérés comme une priorité socio-économique, et soutenues par le contexte national, la priorité a été accordée à l’aspect social et la lutte contre les disparités. Un appui parlementaire ayant pour but d’assurer une bonne gouvernance, appelant les membres du gouvernement à remplir dignement et loyalement leurs fonctions, dans la formulation des politiques déclarées, la supervision de l’exécutif, ainsi que le soutien et la facilitation du travail des pouvoirs publics. Au centre des observations soumises, les groupes vulnérables de la société, d’où l’importance de suivre de nouveaux mécanismes ayant pour priorité ultime d’améliorer le cadre de vie du citoyen « moyen ». Des points de vue et des opinions exprimés en toute transparence, dressant ainsi une liste de défis majeurs pour les décideurs, en matière de santé publique, d’enseignement, de lutte contre le chômage, de la cherté des produits alimentaires de base et la régression du pouvoir d’achat, mais pas que. En effet, les disparités dans bon nombre de secteurs vitaux ont mis à nue un cadre de vie du citoyen plus que jamais contesté. Seul garant de la relance de la machine économique, comme issue à l’amélioration du quotidien du peuple algérien, à même de sortir de l’indépendance aux hydrocarbures et d’assurer la sécurité alimentaire primordiale pour la bonne santé du pays, dans toutes ses dimensions, l’administration d’Aïmene Benabderrahmane a prêté oreille avec attention à différentes réclamations des députés. Tout en admettant que cette présentation du ministre a porté en son sein « des indicateurs positifs », et en saluant également les efforts considérables qui ont été faits jusqu’à présent, les suggestions des parlementaires ont mis l’accent sur les moyens d’étendre, d’approfondir et d’enrichir les efforts existants, depuis septembre 2021, notamment. En tête des priorités, « la régulation des prix des produits de consommation ». C’est ce qu’ont soulevé à l’unanimité plusieurs députés, à l’instar d’Abderrahmane Boukermouche, du groupe des indépendants, de Belkacem Belmouaz, du parti du FLN, de Maâmar Omar et Aïssa Bencherchafa, lesquels ont tous rebondi dans le sens des préoccupations des citoyens quant aux conditions de vie qui nécessitent mûre réflexion, dont « L’octroi des subventions aux plus méritants, l’amélioration des prestations de transport, l’égalité des chances dans l’obtention du foncier par les investisseurs, la révision et l’augmentation des salaires des médecins et l’amélioration des services administratifs ». Par ailleurs, certains membres du parlement ont plaidé pour « la redynamisation de la diplomatie économique », comme souligné par La député Farida Ghemra. Pour sa part, le député Hocine Hadjadji a interpellé le Premier ministre pour « une prise en charge des secteurs de la santé et des travaux publics, notamment les questions relatives au problème des routes ». D’autre part, d’autres préoccupations ont été mentionnées par les présents à l’APN, dont « les faibles débits d’Internet, le dossier des contractuels non titularisés, ont été parmi les points soulevés par de nombreux députés, alors que certains se sont contentés de transmettre les préoccupations locales des citoyens dans les régions où ils ont été élus ».
Hamid Si Ahmed