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S’il venait à être élu président, Belaïd s’engage à ouvrir un dialogue «inclusif et sérieux»

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Le candidat du Front El Moustakbel Abdelaziz Belaïd, à la présidentielle du 12 décembre prochain, a promis hier, de lancer un « dialogue inclusif » pour sortir de la crise politique actuelle, s’il venait à être élu , au terme du scrutin présidentiel. Animant, hier, un meeting à l’Ouest du pays, à Mascara , précisément, Belaïd s’est engagé, à « édifier un État de droit » comme, « le demande le peuple » selon lui. Enchaînant, il dira que le changement du système politique, « ne pourra pas se faire sans la participation de tous », s’opposant à toute exclusion dans l’édification de l’État de droit, dont il a fait part, lors de son discours électoral, à son troisième jour de campagne électorale. Il lance à l’assistance que «  dès que je serai élu, je promets » s’engage-t-il «  à l’ouverture d’un dialogue sérieux et inclusif ». Pour ce candidat qui est à sa deuxième participation (en 2014 :Ndlr) à une élection présidentielle, plus explicite sur le dialogue dont il fait par, dira « que celui-ci «ne verra l’exclusion de personne », indiquant que tous les acteurs politiques et de la société et aussi le citoyen « participent à construire la nouvelle Algérie » dira-t-il . Sur le mouvement populaire pacifique, il a déclaré à ceux qui ont adopté une posture de rejet du scrutin du 12 décembre prochain que « ce ne sont pas nos ennemis » indiquant, à leur adresse, qu’il « il nous faut un Président pour le moment » suivra, ajoute-t-il « les discussions sur les solutions » à travers notamment « un vrai dialogue » qu’il promet encore une fois de lancer, s’il venait à être élu. Concernant les questions sociales, le candidat du Front El Moustakbel a indiqué que dans son programme électoral, il a mis « l’accent sur l’importance qu’il faut accorder aux secteurs de la Santé et de l’Éducation » et aussi à celui « de l’agriculture ». S’agissant des questions économiques, afin, souligne-t-il, « de construire une nouvelle République », par l’élaboration  « d’ une vraie stratégie nationale économique », résume-t-il.

Sarah Oubraham

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