• Macron, dans son œuvre néocolonialiste, donne l’air de vouloir s’établir au Liban, de prendre les rênes de pays à la place de ses dirigeants légitimes.
• Il pense empêcher ces derniers de détourner les (z)aides reçues à partir du monde entier.
• Jouant au père fouettard, il se voit « contraint de faire l’école buissonnière à la veille d’une rentrée scolaire historiquement covidienne ».
• Mal lui en prit, dans son message vidéo adressé aux potaches français, il commet une grossière et impardonnable erreur de liaison.
• Impardonnable, surtout, pour un chef de file planétaire de la francophonie, et impardonnable en plus parce qu’elle s’adresse à des écoliers sur le point de rejoindre leurs salles de classe.
• Mais qui donc était la maitresse de l’ancien élève-modèle qu’avait était le président français ?
• Wana aâreft…
M. A.
N.B : En visite au Liban, le Président français ne pourra se rendre dans une école pour marquer la rentrée. Emmanuel Macron a donc publié une vidéo sur Instagram pour souhaiter une bonne rentrée dans des circonstances particulières et appeler à respecter les gestes barrières, mais une petite erreur de liaison s’est glissée dans son discours. Ddans son discours, le chef d’État a affirmé que «l’école c’est une place pour chacun» en demandant aux écoliers de bien accueillir les élèves en situation de handicap. Mais une faute s’est glissée dans son discours. Le Président a parlé des «400.000 z’enfants et adolescents» qui sont dans cette situation. Emmanuel Macron a fait la liaison entre «mille» et «enfants», ce qu’il ne fallait pas faire car mille est invariable.