• Je souris, et je jubile, en pensant à tous ces « planqués », franchement pas plus méritants que la plupart d’entre nous, contraints désormais de se pousser du coude, de se serrer, n’en déplaise à la nécessaire distanciation sanitaire, histoire de partager avec nous « leur » plage de club des pins.
• Ils ragent, ils enragent. O rage ! ode des espoirs !
• Même la valeur vénale, très vénale même, de leurs chalets et villas acquis pour une bouchée de pain, a dû subir une franche chute libre depuis qu’ils se sont trouvés forcés de partager leurs « repères » avec nous autres membres de la plèbe.
• Bah, cette situation de non-droit ne pouvait franchement pas durer éternellement.
• Il s’en est quand même beaucoup pour accepter cette hérésie, et aller jusqu’à s’enorgueillir de détenir ce fameux blanc-seing qui permettait jadis de ses mêler aux Algériens du « premier collège ».
• L’amer goût de la mer doit leur rester en travers de la gorge. Quand ils boiront la tasse jusqu’à la lie, jusqu’à… hallali.
• Finalement, z’auraient mieux fait de piquer une tête au lieu de nous… piquer nos rêves et nos illusions.
• Nous y voilà, à l’image de l’as de pique.
• Mais au fait, tu passes où tes vacances cet été ?
• Wana aâreft…
M. A.