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NOUVEAU PLAN FORMULÉ PAR DES MÉDIATEURS : La résistance palestinienne confirme sa position

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Alors que les États-Unis, l’Égypte et le Qatar travaillent à la formulation d’un plan détaillé qui sera présenté publiquement, par le président américain Joe Biden, dit-on, au plus tard cette semaine, la résistance palestinienne a rappelé sa position confirmée à plusieurs reprises à propos  de l’accord : cessation complète de l’agression sioniste contre la population de Ghaza, retrait complet des forces d’occupation de la bande de Ghaza, la cessation du siège de la bande de Ghaza et le début de la reconstruction.
C’est une réponse aux propos du chef du Mossad sioniste qui a dit aux médiateurs que l’armée d’occupation se retirerait de l’axe de Philadelphie dans la deuxième phase de l’accord. Cela est « inacceptable pour la résistance ». Dans le même temps, l’armée sioniste poursuit son agression contre la Cisjordanie où elle subit des pertes humaines et en équipements sous les coups de la résistance palestinienne. Les colons, escortés par la police et l’armée sioniste, s’en prennent lâchement aux Palestiniens et méprisant toutes les annonces de prétendues sanctions émanant de l’Union européenne et de pays occidentaux. La seule riposte à cette agression vient de la résistance palestinienne sur place, à la grande surprise des forces d’occupation sionistes. Plus de 300 colons ont attaqué hier matin la mosquée Al-Aqsa, sur fond de silence du Comité El-Qods présidé par le roi du Maroc compromis par les Accords de normalisation signés avec l’entité sioniste.

Quand la Grande-Bretagne réitère son soutien à l’entité sioniste
La suspension par la Grande-Bretagne de certaines ventes d’armes à l’entité sioniste n’inclut pas les avions F-35. C’est ce qu’a confirmé le ministre britannique de la Défense, John Healey, qui a expliqué que c’est une « exception intentionnelle et délibérée ». Il a tenu à souligner le ferme soutien de son pays à l’entité sioniste. La suspension ne menacera pas la capacité de l’entité sioniste à se défendre, a-t-il  précisé. Pour Healey, cela « ne change rien à l’engagement ferme de la Grande-Bretagne à soutenir et à défendre Israël si celui-ci est à nouveau directement attaqué, tout comme les avions britanniques ont contribué à intercepter les drones et les missiles iraniens en avril ». Il s’agit, en fait de la suspension par la Grande-Bretagne de 30 des 350 licences d’exportation d’armes vers l’entité sioniste. On comprend qu’elle n’aura pas d’impact tangible sur la sécurité de l’entité sioniste. Le ministre de la Sécurité du gouvernement sioniste, Yoav Gallant, a été informé à l’avance de la décision de suspension avant son annonce. Par ailleurs, la Grande-Bretagne utilise la loi « antiterroriste » pour supprimer la liberté de toute expression en faveur de la Palestine. L’arrestation d’éminents militants et journalistes pro-palestiniens en vertu des lois « antiterroristes » au Royaume-Uni a suscité une vague d’inquiétude dans les médias sociaux concernant la censure des idées par l’État. La police a perquisitionné le domicile de la militante connue pour son soutien à la Palestine, Sarah Wilkinson (61 ans), le 29 août, et a confisqué tous ses appareils électroniques, sur fond de publications dans lesquelles elle parlait de la question palestinienne. Des militants ont confirmé que Wilkinson, assignée à résidence, avait refusé une demande de la police britannique de révéler l’emplacement exact de ses sources palestiniennes à Ghaza. Avant Wilkinson, la police britannique a arrêté le journaliste britannique Richard Medhurst le 15 août, alors qu’il sortait de son avion à l’aéroport d’Heathrow, en vertu des dispositions de l’article 12 du « Terrorism Act of 2000 ». Dans le même élan de soutien aux crimes de l’entité sioniste,  la police du Danemark a arrêté, mercredi, la militante écologiste Greta Thunberg lors d’une manifestation contre la guerre contre Ghaza à l’université de Copenhague. Le Danemark est témoin de manifestations massives en soutien à la Palestine occupée et pour exiger la fin de la guerre génocidaire menée par « l’armée » d’occupation sioniste à Ghaza. Cette fois, les manifestants, dont Greta Thunberg,  ont appelé au boycott des universités de l’entité sioniste.
M’hamed Rebah

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