Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, continue à exercer son sport favori : s’en prendre violement à l’Algérie qu’il bombarde d’injures et qu’il menace, chaque jour qui se lève dans l’Hexagone, de sanctions sévères qui toucheraient ses ressortissants, voire même ses entreprises. Verser sa haine sur l’Algérie est désormais une seconde nature chez-lui.
Pour mettre à exécution les missions sulfureuses dans le cadre du bras de fer qu’il engage avec l’Algérie, Retailleau ne s’interdit rien et ne se fixe aucune limite. Cette attitude jusqu’au-boutiste fait de lui un serviteur zélé de l’agenda de l’extrême droite dont les partisans sont allergiques à tout ce qui est algérien. Ainsi, le haineux et raciste Retailleau enchaîne les sorties sur les chaines de télévisions, de radios, des titres de la presse écrite et des médias sociaux, qu’il investit comme espaces et qui sont devenus à force son lieu de travail. Au lieu de se consacrer à sa fonction régalienne de ministre de l’Intérieur de la République française, Retailleau a choisi de mobiliser tous les médias mainstream pour servir la cause de ses amis, tous les nostalgiques de la France coloniale et des résidus de l’OAS, en dirigeant ses diatribes acerbes contre l’Algérie. Mais, ceci ne fait pas de lui pour autant un génie de la communication, et encore moins un bon orateur au service du gouvernement. Mais plutôt un serviteur zélé de l’extrême droite française et de tous ses relais racistes qui gravitent autour de la galaxie anti-algérienne. Retailleau s’est tellement illustré par des pratiques révolues que l’on croit à un homme fasciné par un célèbre ministre de la propagande nazie, Joseph Goebbels, dont le nom est lié à la manipulation des masses pour un personnage hitlérien connu aussi pour sa haine obsessionnelle. Bruno Retaillau, officiellement et accessoirement ministre de l’Intérieur sur le papier d’une France en état de déliquescence avancée, est officieusement un ministre de la propagande raciste qui devrait bien méditer, sur la triste fin de Goebbels…
F. G.